– : combats vers Montfaucon et vers Véry, Cheppy et Vauquois ; puis stabilisation du front et occupation d’un secteur dans la région l’Aire, l’est de Vauquois, étendu à droite, le , jusqu’au pont des Quatre Enfants.
28, 29 et : attaques françaises sur Vauquois et sur Boureuilles.
– : retrait du front et repos au sud de Clermont-en-Argonne.
– : mouvement vers le front et occupation d’un secteur vers Vauquois et la Haute Chevauchée (guerre de mines) :
17, , 1er et : attaques françaises sur Vauquois ; prise d’une partie du village.
5 - : nouvelles attaques françaises sur Vauquois. À partir du , la D.I n’occupe plus que les abords sud de Vauquois.
: front étendu à gauche jusqu’à l’Aire, et, le , à droite, jusque vers Avocourt.
- : front réduit, à droite, jusqu’au pont des Quatre Enfants.
1916
1er août – : retrait du front, transport par camions et regroupement vers Saint-Dizier ; repos. À partir du , mouvement par étapes vers le camp de Mailly, par Arrigny, Chavanges et Ramerupt ; instruction. À partir du 1er septembre, transport par V.F dans la région de Grandvilliers, puis, à partir du , à l’est d’Amiens.
– : occupation d’un secteur vers Chevreux et le Ployon.
12 – : retrait du front ; repos et instruction vers Vandeuil et Serzy-et-Prin.
– : mouvement vers le front ; occupation d’un secteur vers la Miette et le Ployon.
1918
– : retrait du front ; mouvement par étapes vers Condé-en-Brie ; repos. À partir du , mouvement vers Lizy-sur-Ourcq ; puis, à partir du , vers Lagny[3]. À partir du , mouvement vers Crécy-en-Brie ; repos et instruction.
– : retrait du front ; transport par camions vers Damery. À partir du , poursuite vers la Vesle ; puis organisation d’une position entre Jonchery-sur-Vesle et le nord de Vandeuil.
Ainsi que tous les services des grandes unités : sapeurs mineurs, télégraphique, compagnie auto de transport, groupe sanitaire divisionnaire, groupe d'exploitation, etc.
Les 9 et , elle reçoit le renfort du Groupe d'Escadrons Motorisés du 19e GRCA, commandé par le Chef d'Escadrons Robert de Vanssay qui sera tué le après que les Allemands aient refusé qu'un soldat français lui porte secours.
Période 1944 à 1945
La division est reconstituée, principalement de troupes d'origines FFI/FTP parisiennes, le sous le commandement du général Pierre Billotte. Formée comme une division américaine[1]. À l’origine, elle devait comporter :
Le 46e RI est rapidement remplacé par la 4e Demi-Brigade de Chasseurs du commandant Petit, constituée du 4e BCP et du 1er BCP de Paris.
La division prend part à la bataille de Colmar ( au ). Acheminée sur la côte atlantique elle participe ensuite à la libération des dernières poches de résistance autour des ports. En Allemagne, elle se voit attribuer la région de Coblence (armée d'occupation). À la demande du général Billotte au COMAC, on retrouve le Colonel Rol Tanguy Commandant de l'infanterie divisionnaire, il deviendra par la suite adjoint au commandant du gouvernement militaire du district de Coblence au sein de la 10e DI.
L’après Seconde Guerre mondiale
La 10e DI fait partie des troupes d'occupation en Allemagne jusqu'à sa dissolution le . Durant celle période la division est affectée au 2e corps d'armée.
Notes et références
↑ ab et cJacques Sicard, « La 10e division d'infanterie et ses insignes », Militaria Magazine, no 100, , p. 71-75
↑Du 20 au , une brigade de la 125e D.I. est à la disposition de la 10e D.I. À partir du 7 octobre, une brigade de la 10e D.I est à la disposition de la 125e D.I.
↑Du 27 janvier au 2 mars 1918, la 10e D.I est à la disposition du GMP.
Voir aussi
Sources et bibliographie
De Lattre de Tassigny, Histoire de la première armée française - Plon - 1949.
AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).