: avec près de 2 000 hommes mis hors de combat, s'empare de Coincourt puis, en fin d'après-midi, vers le bois du Haut-de-la-Croix avec la victoire de Moncourt où ceux de la 57e brigade (111e et 112e régiments) sont les seuls de la 2e armée à mettre en fuite l'infanterie allemande[17] .
: combats acharnés pour conquérir les six kilomètres de la butte de Bidestroff. À noter en soirée l'exploit du 24e bataillon de chasseurs alpins s'emparant de la position allemande de Cutting en avant des positions du 16e corps d'armée de Montpellier.
1er – : transport par VF dans la région de Dunkerque ; repos[18].
– : mouvement vers le nord-est et occupation d'un secteur vers Nieuport[18].
– : retrait du front, regroupement vers Bergues. À partir du , transport par VF dans la région de Crèvecœur-le-Grand ; instruction au camp. À partir du , mouvement vers le sud-est de Beauvais ; repos et instruction[18].
- : les brigades alternent entre elles pour des travaux exécutés vers Proyart et Cappy[18].
8 – : transport par VF, de la région Conty, Longueau, dans celle de Dunkerque[18].
– : occupation d'un secteur à Nieuport : , attaque allemande précédée d'une violente émission de gaz[19].
– : retrait du front (relève par l'armée britannique) ; repos dans les régions de Vieille-Église et de Calais (éléments occupés à des travaux vers Waayenburg)[19].
: mouvement vers Rexpoëde, et, le , vers Vieille-Église et Calais ; repos et instruction.
– : retrait du front ; éléments au repos dans la région de Roesbrugge-Haringe, puis dans celle de Warhem ; éléments occupés à des travaux sur tout le front de Belgique[19].
– : mouvement vers le front, et, le , occupation d'un secteur entre Nieuport et la mer du Nord (relève d'éléments britanniques), étendu à droite, le , jusqu'à Saint-Georges-sur-l'Aa[19].
1918
– : retrait du front, mouvement vers Bergues ; travaux de 2e position[19].
: combats sur la Luce, et, le 5, vers le bois de Sénécat et vers Hangard. Puis organisation d'un secteur dans la région Hangard, l'Avre.
– 1er mai : retrait du front. Le , transport par VF à Tannois ; repos[19].
1er mai – : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Bezonvaux et Damloup, étendu à gauche, le , jusque vers la ferme de Chambrettes, puis, le , jusque vers Beaumont[19].
– : retrait du front, et, à partir du , transport par VF à Pont-Sainte-Maxence, puis transport par camions vers Ecuiry ; repos et instruction[20].
Dissoute en janvier 1956 à Toulon (ses éléments entrent notamment dans la constitution de la 12e DI), elle est recréée en avril 1956 dans le cadre du plan Valmy d'appel au contingent[27].
Le premier insigne de la division, fabriqué en 1939, présente un tête de chamois devant des montagnes surplombant la mer (référence aux Alpes-Maritimes)[37].
Le second insigne de la division, homologué G.1275 en 1956, présente des montagnes devant la mer (en référence à l'origine provençale et alpine des unités de la division) chargées d'une grenade et d'une ancre (symboles des troupes métropolitaines et des troupes coloniales). Il existe en version métallique et en tissu[27].
↑ ab et cStephane Weiss, "Le jour d'après" : organisations et projets militaires dans la France libérée : août 1944 - mars 1946, Université Lumière-Lyon-II, (HALtel-01419407), p. 566-568
↑« Le président du conseil fera une déclaration aujourd'hui à 21 heures devant l'Assemblée nationale », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Le général Bertron est nommé commandant de la 29e D. I. », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
↑« AFFECTATIONS D'OFFICIERS GÉNÉRAUX », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Arrêté samedi, le colonel de Blignières serait le chef de l'état-major de l'O.A.S. en France », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Nominations et promotions dans les armées », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Le général Katz quitte Oran et devient l'adjoint du général Cantarel commandant du 2e corps en Allemagne », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
↑« NOMINATIONS ET PROMOTIONS MILITAIRES », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Le général Simon, commandant des écoles militaires de Coëtquidan • Le général Cazelles, commandant de l'École polytechnique », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
↑ abc et dJacques Sicard, « Les grandes unités d'AFN et leurs insignes, 1954-1962 », Militaria Magazine, no 182, , p. 30-38
↑« L'EXERCICE " MIMOSA " se déroule de Nîmes à Cannes », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« II. - Vers le régime de croisière », Le Monde, (lire en ligne, consulté le )
↑(en) Charles R. Shrader, The First Helicopter War: Logistics and Mobility in Algeria, 1954-1962, Greenwood Publishing Group, (ISBN978-0-275-96388-0, lire en ligne), p. 40
↑« 20 tués, 15 blessés et 16 disparus parmi les forces de l'ordre », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Nos troupes ont exploré pendant deux jours le massif des Béni-Chougrane », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
↑« Une importante opération a été déclenchée dans la région d'Aïn-Témouchent où les rebelles ont multiplié ces derniers jours attentats et raids contre les exploitations agricoles », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
J.M.O. - Journaux des marches et opérations des unités engagées dans la Première Guerre mondiale, Service historique de la défense (SHD), Vincennes [1]
André Payan-Passeron, Contrevérités sur la Grande Guerre : 1914-2024, cent-dix ans d’impostures historiques (Les pages 28-30, 51-58, 68-75, 118-119, 124-128, 130-132, 141-149 sont consacrées au 15e corps - et notamment à sa 29e division - durant la bataille de Lorraine puis les pages 153-162 durant la bataille de la Marne du 7 au 12 septembre 1914 et enfin pages 163-180 durant la bataille de Verdun-Malancourt les 20-21-22 mars 1916), Paris, Les Impliqués Éditeur (Groupe L'Harmattan), , 189 p., 15,5 × 24 cm (ISBN978-2-38541-999-8, présentation en ligne, écouter en ligne)[pertinence contestée].