Elle intègre l'université de Pennsylvanie où elle est nommée professeur titulaire en 2016.
Aissa Wade fait partie du comité scientifique du AIMS Next Einstein de l'Institut africain des sciences mathématiques, qui cherche à connecter science, société et politique en Afrique[5] ; elle est élue présidente de l'Institut et est la première femme à occuper ce poste. En 2017, Aissa Wade est nommée membre de l'Académie africaine des sciences[6].
Publications
Avec Jean-Paul Dufour : « Formes normales de structures de Poisson ayant un 1 jet nul en un point », dans Journal of Geometry and Physics, vol. 26, n° 1–2, juin 1998, p. 79-96.
(en) « Conformal Dirac Structures », dans Letters in Mathematical Physics, vol. 53, septembre 2000, p. 331–348 Aperçu en ligne.
Avec David Iglesias-Ponte : (en) « Contact manifolds and generalized complex structures », dans Journal of Geometry and Physics, vol. 53, n° 3, mars 2005, p. 249-258.
Avec Samson Apourewagne Djiba : « Bicrossed products induced by Poisson vector fields and their integrability », dans International Journal of Geometric Methods in Modern Physics, vol. 13, n° 3, mars 2016 En ligne.
« Cosymplectic-Nijenhuis structures on Lie groupoids », dans Banach Center Publications, vol. 110, 2016, p. 295-307 Lire en ligne.
Références
↑ a et b(en) « Aissa Wade », sur Black women in mathematics (consulté le ).
↑Charles-Michel Marle, « Normalisation formelle de structures de Poisson », Comptes Rendus de l'Académie des Sciences - Series I - Mathematics, vol. 324, no 5, , p. 531-536 (lire en ligne).