En 2012, Antonal Mortimé a contrecarré l'action du Commissaire du Gouvernement qui a publié dans un spot le nom de certains accusés qui devraient comparaître devant le tribunal dans le cadre des assises criminelles en raison de l’incapacité de la population illettrée à plus de 70% et qui n'est pas en mesure d'établir la différence entre accusés et condamnés[4].
En , Antonal Mortimé dénonce la passivité de l'État haïtien face aux affrontements entre la police et les groupes armés de la troisième circonscription de Port-au-Prince qui ont fait plus de 25 victimes[2].
En , il intervient auprès du Conseil Électoral Provisoire afin de prendre des dispositions pour définir la durée du mandat des sénateurs[5].
En , lui et d'autres personnalités ont dénoncé la violation du droit des citoyens dont les maisons ont été détruites sous l'ordre du Commissaire du Gouvernement à Pèlerin 5[6].
En , il a argumenté pour montrer que le président Jovenel Moïse n'a pas la volonté réelle d’entamer un vrai dialogue[7].