Il publie des romans, dont les thèmes sont souvent noirs – viol, suicide, désespérance sociale[4].
Dans son essai Autoportrait du professeur en territoire difficile (Gallimard, 2010), il fait un bilan provisoire de son expérience de professeur en banlieue parisienne[2],[6],[7]. Les Petits Blancs (Éditions Plein Jour, 2013) mêle témoignages et essai pour brosser le portrait du « petit Blanc », qu’il définit comme un Blanc pauvre, prenant conscience de sa couleur de peau dans un contexte de métissage. Aymeric Patricot cherche notamment à savoir s’il est possible d’identifier sur le territoire français un équivalent à ce que les Américains nomment le white trash[8],[9].
Avec son essai Les vies enchantées, enquête sur le bonheur (Plein Jour, 2016)[10],[11], l'auteur propose une vision du bonheur, évoquant l'idée que le bonheur est avant tout question de folie douce et d'autopersuasion.