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Brahim Hammouche, né le à Smaoun (Algérie), est un médecin (généraliste, gériatre, psychiatre) et homme politique français, membre du MoDem. OriginesBrahim Hammouche est issue d'une famille nombreuse (fratrie de huit enfants) d'origine ouvrière. Son grand-père est mineur à Audun-le-Tiche et son père sidérurgiste[1]. Né en petite Kabylie en 1971, Brahim Hammouche part le rejoindre, avec le reste de sa famille, dans la vallée de la Fensch en 1973[2]. Il est naturalisé français en 1997[3]. CarrièreCarrière professionnelleIl exerce comme chef de service de psychiatrie générale adulte au CHR Metz-Thionville[1],[4],[5]. Carrière politiqueIl adhère au PS au lendemain de l'accession de Jean-Marie Le Pen au second tour de l'élection présidentielle de 2002 et le quitte après les émeutes de 2005, critiquant la « logique néocoloniale, répressive » du parti à l'égard de ces dernières[3]. Passé au MoDem en 2007, il en devient le président départemental de Moselle en décembre 2014[2],[6],[7]. Il est élu le député de la huitième circonscription de la Moselle avec un score de 58,84 %[8], face à Hervé Hoff, candidat du Front national. Pendant sa députation, il se tient à l'écart des positions de la majorité présidentielle sur certains sujets de société. Le 5 février 2019, il est ainsi le seul député de la majorité à voter contre le projet de loi anti-casseurs porté par le gouvernement[9]. En novembre de la même année, il critique la décision du président Emmanuel Macron d'avoir accordé une longue interview sur l'islam, l'immigration et l'identité à l'hebdomadaire d'extrême droite Valeurs actuelles : « Tout ramener à l’islam, placer l’extrême droite en situation d’être la seule opposition en 2022, je trouve ça dangereux. »[10],[11],[12]. Cependant, il vote à deux reprises en faveur du projet de loi séparatisme en 2021[13],[14]. Au premier tour des législatives de 2022, il est devancé par Laurent Jacobelli, arrivé en tête, et Céline Léger[15]. Notes et références
Liens externes
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