Fils de Dossie (née Kasin) et de Paul, Charles Kenneth Williams est né à Newark dans l'état du New Jersey[7].
Après ses études secondaires, il entre au Bucknell College puis à l'université de Pennsylvanie où il obtient son Bachelor of Arts en 1959, avec les spécialités de philosophie et de littérature anglaise. En 1965, il épouse Sarah Jones, et ils ont une fille, Jessica Anne, qui est citée dans des poèmes de C.K.. Au Pennsylvania Hospital de Philadelphie il crée une thérapie de groupe par l'expression poétique en direction d'adolescents en grandes difficultés[8]. En 1975, il épouse une française Catherine Mauger. Il enseignera dans diverses universités[9] : l'université Columbia, l'université de New York, l'université de Boston, la Drexel University, la l'université George-Mason, le Franklin and Marshall College pour enfin enseigner la création littéraire et les problèmes de la traduction à l'université de Princeton de 1996 à sa mort[10].
À la fin de sa vie il alternera des séjours entre la France et Princeton[réf. souhaitée].
Dissentiments : ma mère mon père moi-même (titre original : Misgivings), trad. par Michelle-Viviane Tran Van Khai, Actes Sud, coll. « Un endroit où aller », 2006
Remembering Charlie (C. K.) Williams, par Tzvetan Todorov pour FSG / Work in Progress, 2015[19],
Mort du poète américain C.K. Williams, par Thierry Clermont pour Le Figaro, 2015[20],
C.K. Williams au New Yorker , par David Haglund pour la revue The New Yorker, 2015[21]
C.K. Williams, distinguished poet and ‘great mentor’, dies at 78, par Jamie Saxon pour le service de communication de l'université de Princeton, 2015[10],
C. K. Williams, 1936–2015, par Dan Piepenbring pour la Paris Review, 2015[22],
C. K. Williams, Poet, Dies at 78; Pulitzer Winner Tackled Politics and Morality, par William Grimes pour le New York Times, 2015[23]
Poet who won awards for more than a dozen books of poetry, par Ahren Warner pour le Guardian, 2015[7],
Poets Who Look Death in the Eye, par Dana Jennings pour le New York Times, 2012[24]
Poet Marshals His Moral Passion Against the War, par Chris Hedges pour le New York Times, 2005[25],
↑(en) « C. K. Williams (1936-2015) », The Library of Congress, (lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) Martin Weil et Martin Weil, « C.K. Williams, Pulitzer-winning poet, dies at 78 », The Washington Post, (ISSN0190-8286, lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) William Grimes, « C. K. Williams, Poet, Dies at 78; Pulitzer Winner Tackled Politics and Morality », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) Dana Jennings, « Poems on Mortality by C. K. Williams and Cynthia Cruz », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
↑(en-US) Chris Hedges, « Poet Marshals His Moral Passion Against the War », The New York Times, (ISSN0362-4331, lire en ligne, consulté le )
↑(en) archive of recorded poetry and literature (library of congress), gertrude clarke whittall poetry and literature fund, williams, c. k. (charles kenneth) et zagajewski, adam, « Adam Zagajewski and C.K. Williams reading their poems in the Mumford Room, Library of Congress, Feb. 29, 1996 », The Library of Congress, (lire en ligne, consulté le )