Le texte ne doit pas être écrit en capitales (les noms de famille non plus), ni en gras, ni en italique, ni en « petit »…
Le gras n'est utilisé que pour surligner le titre de l'article dans l'introduction, une seule fois.
L'italique est rarement utilisé : mots en langue étrangère, titres d'œuvres, noms de bateaux, etc.
Les citations ne sont pas en italique mais en corps de texte normal. Elles sont entourées par des guillemets français : « et ».
Les listes à puces sont à éviter, des paragraphes rédigés étant largement préférés. Les tableaux sont à réserver à la présentation de données structurées (résultats, etc.).
Les appels de note de bas de page (petits chiffres en exposant, introduits par l'outil « Source ») sont à placer entre la fin de phrase et le point final[comme ça].
Les liens internes (vers d'autres articles de Wikipédia) sont à choisir avec parcimonie. Créez des liens vers des articles approfondissant le sujet. Les termes génériques sans rapport avec le sujet sont à éviter, ainsi que les répétitions de liens vers un même terme.
Les liens externes sont à placer uniquement dans une section « Liens externes », à la fin de l'article. Ces liens sont à choisir avec parcimonie suivant les règles définies. Si un lien sert de source à l'article, son insertion dans le texte est à faire par les notes de bas de page.
La Coalition de la rupture, initiée en , est un regroupement politique des opposants pour la présidentielle de 2016 au Bénin. Ce bloc est composé, au départ, des opposants présitiables et des acteurs politiques ne soutenant par la candidature de Lionel Zinsou pour succéder au président Boni Yayi.
Le 13 mars 2016, la Cour constitutionnelle proclame, au premier tour du scrutin, Lionel Zinsou, premier avec 28,44 % des voix, Patrice Talon deuxième avec 24,80% et Sebastien Ajavon arrivé troisième avec 23,03% des voix[5]. Dès lors, la performance des 15 premiers candidats de la Rupture s'établit comme suit:
Aucun candidat n'ayant obtenu la majorité absolue[7], les deux premiers sont allés au second tour où Patrice Talon, soutenu par la rupture notamment Sébastien Ajavon[8] , est élu président avec 65,39 % des voix contre 34,61 % pour son adversaire Lionel Zinsou, pour un taux de participation de 65,57 % des électeurs inscrits[9].