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Paul Louis Georges Benoît-Guyod, né le à Salins (Jura) et mort à Rambouillet (Yvelines) le [1], est un historien et officier de gendarmerie français.
il est le fils de Lucien Benoît-Guyod (1850-1917), percepteur, et de Claire Joly[2]. Il est le père d'Henri Benoît-Guyod (1926-1990), magistrat militaire[3].
Biographie
Engagé comme militaire du rang au 13e régiment de dragons à Melun en 1907, il y effectue deux années de service militaire, puis y est rappelé comme sous-officier en 1914, et affecté comme estafette auprès d'un chef de bataillon. Il est cité à l'ordre de la brigade pour sa conduite au feu.
En 1917, par effet de la pénurie des cadres et compte-tenu de son niveau d'instruction, il est promu sous-lieutenant à titre temporaire dans l'infanterie coloniale. Confirmé comme lieutenant à titre définitif en 1919, il passe l'année suivante dans la gendarmerie et après une courte formation à l'école d'application de Versailles, il est nommé à la tête de la section de Vico (Corse). Il préfère cependant s'embarquer pour le Levant et rejoint, à Beyrouth, le détachement de gendarmerie française.
De retour en 1922, il sert à l'état-major particulier de la gendarmerie, puis commande la compagnie de Valognes (Manche). En 1928, il est capitaine à la légion de gendarmerie de Paris et commande l'arrondissement de Melun (Seine-et-Marne)[4].
Admis à la retraite au grade de Chef d'escadron, il met sa retraite à profit comme historien et écrivain prolifique deux fois couronnés par l'académie française[5]. Il est en particulier spécialiste de l'histoire des explorations maritimes et de la gendarmerie. Il est en 1936 l'inventeur du premier « gendarme mort pour la France », le prévôt des maréchaux Le Gallois de Fougières, et de sa tombe.
Georges Benoît-Guyod, L'invasion de Paris, 1940-1944, choses vues sous l'Occupation, .
Georges Benoît-Guyod, Bruat, amiral de France, .
Georges Benoît-Guyod, Dumont d'Urville et la Terre Adélie, .
Georges Benoît-Guyod, Le centenaire du Coup d'État, Victor Hugo représentant du peuple, .
Georges Benoît-Guyod, Le conscrit de 1913,
Prix Halphen de l'Académie française.
Georges Benoît-Guyod, Georges Herwegh et la « Légion allemande » de Paris, .
Georges Benoît-Guyod, Les colonisations manquées, .
Georges Benoît-Guyod, Alphonse Daudet, son temps, son œuvre, .
Georges Benoît-Guyod, Navigateurs du temps jadis, .
Georges Benoît-Guyod, Qu'est devenu Drouet, le maître de postes de Varennes ?, .
Georges Benoît-Guyod, La vie maudite d'Hégésippe-Moreau, .
Georges Benoît-Guyod, La déesse de Vaugirard, .
Georges Benoît-Guyod, Sur les traces de Lapérouse, .
Georges Benoît-Guyod, Au temps de la marine en bois. Sur les traces de Lapérouse. L'expédition d'Entrecastreaux (1791-1795). Les trouvailles du capitaine Dillon (1813-1827), une mission de Dumont-d'Urville (1828-1829), .
Georges Benoît-Guyod, Hymne à l'Alsace-Lorraine, 1870-1944, .
Georges Benoît-Guyod, Le voyage de l’obélisque,
Prix Lange de l'Académie française
Georges Benoît-Guyod, Au temps de la marine en bois, le tour du monde de "l'Uranie" (1817-1820), le voyage triomphal de "la Belle Poule" (1840), .
Georges Benoît-Guyod, Le Gallois de Fougières, prévot des Maréchaux de France à la bataille d'Azincourt, 1415, .
Georges Benoît-Guyod, Nouvelles histoires de gendarmes, .