Il est conseiller auprès du Premier ministre Michel Debré (1959-1962) et au cabinet d'André Malraux[2]. En 1968, il est inspecteur général de l'économie nationale et président du Comité européen de coopération économique et culturelle[3].
Il publie tout au long de sa carrière des ouvrages mêlant traits d'esprit et observations de son époque, attaquant le pouvoir politique qu'il considère envahi par les élites de l'ENA. Ses bons mots sont souvent repris en citations[4],[5],[6].
1953 : L'Aide économique des États-Unis à la France : Plan Marshall et « defense support », La Documentation Française, coll. « Recueils et monographies » (no 26), , 47 p. (présentation en ligne)
1956 : Des rapports de la morphologie régionale et générale et de l'aspect radiographique de la vésicule biliaire..., impr. de R. Foulon, , 59 p. (présentation en ligne)
1968 : Lettre ouverte à un jeune technocrate : ou Lettre ouverte à un esprit fermé, Paris, Éditions Albin Michel, coll. « Lettre ouverte », , 167 p. (présentation en ligne)
1970 : Louis Armand, Georges Elgozy, Jean Fourastié et Guy Spitaels (Rédacteur), L'Entreprise de demain, Gérard, coll. « Marabout service » (no 140), , 192 p.
1972 : André Boll et Georges Elgozy, Les Loisirs et l'Avenir, Éditions Olivier Perrin, coll. « Art, théâtre et métier », , 117 p. (présentation en ligne)