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Il s'agit d'un ruminant, herbivore de grande taille (1,30 m au garrot pour 200 kg en moyenne), proche des antilopes, vivant en vastes troupeaux dans les savanes herbeuses et arborées où ils effectuent de grandes migrations spectaculaires.
Physiologie
Hauteur au garrot : 115 à 145 cm[1] (1,30 m en moyenne)
Longueur du corps : 180 à 240 cm (210 cm en moyenne)
Longueur de la queue : 70 à 100 cm (85 cm en moyenne)
Poids des mâles : 170 à 270 kg[1] (220 kg en moyenne)
Poids des femelles : 120 à 220 kg (170 kg en moyenne)
Gestation : 8 mois
Nombre de jeune par portée : 1
Longévité : jusqu'à 24 ans en captivité contre une dizaine d'années dans la nature
Vitesse de pointe : 65 km/h en moyenne avec des pointes à 80 km/h sur de courtes distances, ils sont très rapides et endurants.
Couleur : son pelage est gris foncé nuancé de bleu, d'où son nom spécifique.
Il s'agit d'un animal puissant et endurant qui peut se déplacer à la recherche d'eau et de nourriture en grands troupeaux pouvant compter plusieurs dizaines de milliers d'individus. Les gnous effectuent de longues migrations annuelles (deux migrations, d'environ trois-mille kilomètres par an) qui dépendent de l'importance des pluies. Lorsque la sécheresse apparaît, les troupeaux de gnous se rassemblent et se dirigent vers le nord. Durant ces déplacements, beaucoup d'animaux périssent, notamment les jeunes, les animaux faibles ou âgés.
Les gnous sont en général bruyants ; ces animaux grégaires ne cessent ainsi de se renseigner mutuellement sur les dangers qui guettent le troupeau ou sur leur propre état émotionnel : peur, colère ou rut. Ils sont généralement pacifiques et sociables mais parfois ils peuvent être agressifs, étant assez irrités et protecteurs par nature.
Rut
Comme beaucoup d'herbivores, les gnous forment à l'intérieur du troupeau des harems, chaque mâle défendant son territoire. Ils communiquent par des grognements, sifflements et meuglements. Très territorial, le mâle se livre à des démonstrations rituelles : mugissant, il piétine, redresse fièrement la tête, laboure le sol de ses cornes, se vautre à terre, défèque, urine et dépose sur l'herbe ou les buissons, les sécrétions de ses glandes préorbitaires. Lorsque survient un rival, les deux mâles s'affrontent en un duel spectaculaire. La lutte se termine la plupart du temps sans blessé par le départ du mâle dominé. Les mâles qui n'ont pas su conquérir de territoire se tiennent à l'écart, de même que les groupes de jeunes mâles inaptes à la reproduction.
Les gnous mâles règnent sur un harem qui comprend de 5 à 150 femelles accompagnées de leurs petits. Le mâle, arborant un air dominateur, trotte autour d'elles, les obligeant à se regrouper. Le rut se poursuivant lorsque commence la migration, le territoire du mâle devient itinérant. Il a alors peine à contenir ses femelles, qui ne sont rassemblées que pendant la halte et se dispersent aussitôt que reprend la marche. Mais il continue à les défendre, tant des autres mâles que des prédateurs. Dans ce dernier cas, il ne fuit généralement pas, mais fait face à son agresseur, il galope autour de lui en sautant, puis fonce et l'attaque brusquement[2].
Reproduction
La gestation dure environ 250 jours. La femelle met bas un seul jeune, le gaou.
Sens
Ils repèrent leurs prédateurs à la vue, l’ouïe et l'odorat, leurs sens sont très développés. Ils interviennent également dans d'autres comportements ; l'odorat joue un rôle capital dans la reconnaissance d'un partenaire ou d'un petit.