À 13 ans, il devient l’élève du peintre franc-comtois Jean Vuillemey[1]. Plus tard, il rejoint l’École des Arts Décoratifs de Genève. Plusieurs de ses œuvres ont été sélectionnées par l’ONU, en particulier Le Droit à la Vie, reproduite sur affiche à l’occasion de la Commémoration du 40e Anniversaire de la Déclaration universelle des droits de l'homme[2].
Guy Breniaux a créé l'« oxydogravure », technique originale qui associe gravure et peinture, où l’empreinte et l’oxydation de différents métaux deviennent gravure. Il a été plusieurs fois récompensé par la Société des poètes et artistes de France. La Confrérie des Chevaliers du Tastevin en Bourgogne a reproduit plusieurs œuvres sur le thème de la vigne à l’occasion de différents chapitres. En 2003, un mécène grec, séduit par l’oxydogravure, décide d’en faire la promotion en Grèce à travers un livre d’art, ainsi qu’une exposition sur le thème des Olympiades antiques à l’occasion des Jeux olympiques d'Athènes en 2004[3].
Il pratique également l’art du vitrail et a mis au point de nouvelles techniques de sertissage du verre à partir de polymères. En 2009, il crée ainsi les nouveaux vitraux de la chapelle de Chille[4].
L'Encyclopédie des Arts en Franche Comté, Jacques Rittaud-Huttinet et Chantal Leclerc (2005)
Harmonie = Lumière, Guy Breniaux. Aréopage (2007) (ISBN9782908340518)
Notes et références
↑Propos recueillis par Karine JOURDANT), « Lons-le-Saunier - Portrait. Guy Breniaux : « Sans la peinture, je deviens infernal » », Le Progrès, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Expo - L’association Espace 7 présente les œuvres de l’artiste Guy Breniaux avec des textes de Jacques ... », L'Est républicain, (lire en ligne, consulté le ).