À partir de 1889, il fait partie du jury de sculpture et des arts décoratifs au Salon. Participant aux divers Expositions universelles en commençant par celle du 1889, il en obtient la médaille d'or en 1900.
Connu pour ses combinaisons des marbres polychromes et du bronze, il travaille aussi la terre-cuite, l'ivoire ainsi que les métaux précieux.
Il est représentatif du courant de la sculpture néo-baroque[4].
Henri Allouard s'implique aussi dans les cours bénévoles de l'École normale d'enseignement du dessin (dite de la rue Vavin) et située au no 19 de cette voie : son atelier était d'ailleurs situé au no 28 bis de la rue Vavin.
Chartres : Monument à Noël Ballay, 1904, groupe en bronze, envoyé à la fonte en 1942 sous le régime de Vichy. Un nouveau bronze à partir du moulage qui avait été effectué sur le groupe original avant sa destruction est inauguré en 1950[10] ;
↑(en)L. Forrer, Biographical Dictionary of Medallists : Volume I, London, Spink & Son Ltd, , 43 p., Allouard.
↑Guillaume Peigné, « Henri Allouard », in Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Éditions CTHS, collection Format no 71, Paris, 2012, p. 37-44.
↑Paul Bauer, Deux siècles d'histoire au Père Lachaise, Mémoire et Documents, , 867 p. (ISBN978-2-914611-48-0), p. 49
Jules Martin (dir.), Nos peintres et sculpteurs, graveurs, dessinateurs, Flammarion, 1897, p. 14.
Guillaume Peigné, « Henri Allouard », in Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Éditions CTHS, collection Format no 71, Paris, 2012, p. 37-44, (ISBN978-2-7355-0780-1)