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Hyacinthe-François-Georges de Montecler appartient à la famille de Montecler, une famille de la noblesseangevine, originaire du diocèse du Mans, propriétaire du château de Montecler depuis 1658. Sa devise était : Magnus inter pares.
Il est le fils de Joseph-François de Montecler, cinquième marquis de Montecler (1694-1766) et de Hyacinthe de Menon de Turbilly, marquise de la Rongère (1699- 1742), fille de Francois-Henri de Menon, comte de Turbilly et d'Henriette-Antoinette de Quatrebarbes, marquise de la Rongère. Ses parents se marient le 4 mars 1716 et ont sept fils et quatre filles parmi lesquels :
Hyacinthe-Jeanne de Monteclerc, née à Paris le , connue sous le nom de dame de Châtres depuis la mort de son père en 1764. En 1766, Hyacinthe-Jeanne de Montecler, demoiselle, fille unique héritière de feu Hyacinthe-François-Georges, comte de Montecler, seigneur de Chéronne, plaide contre Thomas Busson. Elle épouse, le , René-Georges-Marie de Montecler (1738-1810) - son oncle à la mode de Bretagne - devenu le sixième marquis de Montecler dont elle a cinq filles. Membre de l'assemblée provinciale de Touraine en 1787, il émigre en 1791. La marquise de Montecler envoie le à la Gazette de Paris le nom des prêtres de sa connaissance qui avaient refusé le serment[3], suit d'abord son mari, puis rentre à Paris pour tenter se sauver une partie de la fortune de sa famille. Emprisonnée sous la Terreur, elle obtient de continuer à demeurer en tant que « citoyenne Monteclair » dans son hôtel de la rue du Cherche-Midi - sa mère y avait eu un cercle renommé - "sous la garde de deux vrais sans-culottes relevés tous les décadis" mais c'est rue Garancière qu'elle s'éteint le .
Sa vie militaire est couronnée par le grade de maréchal de camp le . Il meurt le à La Rongère où il était retiré depuis le . Il était alors seigneur de Saint-Denis-des-Coudrais, dans la Sarthe.
François-Augustin Gérault, Notice sur la famille, et le château de Montecler. Mémorial de la Mayenne, volume 2. [2]
Société historique et archéologique du Maine, Revue historique et archéologique du Maine . G. Fleury & A. Dangin (Mamers). 1910. p. 93.
Notes et références
↑notes prises aux archives de l'État-civil de Paris par le comte de Chastellux, Paris, 1875, p. 430.
↑Marie-Charlotte de Monthulé, vivait encore sous la Terreur; elle est emprisonnée, mais on lui permit de rentrer chez elle sous la garde de deux sans-culottes. Elle tenait un salon rue du Cherche-Midii où elle recevait la « petite académie de peinture » que décrira Jacob-Nicolas Moreau.
↑Saint-Sulpice, Houssay, Villiers, Châtres, Saint-Léger etc.
↑Charles Philippe d'Albert duc de Luynes, Mémoires du duc de Luynes sur la cour de Louis XV (1735-1758), Firmin didot frères, fils et cie., (lire en ligne)