Laroque-d'Olmes est une commune rurale qui compte 2 414 habitants en 2022. Elle appartient à l'unité urbaine de Laroque-d'Olmes et fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet. Ses habitants sont appelés les Laroquais ou Laroquaises.
Sur le plan historique et culturel, Laroque-d'Olmes fait partie du pays d'Olmes, haut lieu de la tragédie cathare alliant des paysages d'une extrême diversité[1].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 14,36 km2[7],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 14,32 km2[10]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 327 mètres. L'altitude du territoire varie entre 408 m et 735 m[11].
Le Touyre (ou rivière le Touyre)[14] est le principal cours d'eau communal. Il conflue avec le Grand Hers[15], affluent de l'Ariège. Il traverse le territoire communal dans une orientation sud-nord. Au cours de cette traversée, le Touyre reçoit les apports d'eaux des ruisseaux de Coucu Ruch[16] et des Esclauzades (rd), d'Esclagne[17] et de Feyche Longue (rg).
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Léran à 4 km à vol d'oiseau[20], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 810,2 mm[21],[22]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[23].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Cinq ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[24] :
les « coteaux secs, vallons et collines de l'ouest du bas pays d'Olmes » (6 664 ha), couvrant 19 communes du département[25] ;
le « lac de Montbel et partie orientale du bas pays d'Olmes » (7 200 ha), couvrant 38 communes dont 30 dans l'Ariège et 8 dans l'Aude[26] ;
« le Plantaurel entre Foix et Lavelanet » (11 312 ha), couvrant 26 communes du département[27] ;
« le Plantaurel oriental » (3 272 ha), couvrant 11 communes dont 9 dans l'Ariège et 2 dans l'Aude[28] ;
le « réseau hydrographique du Touyre entre Montferrier et Léran » (64 ha), couvrant 10 communes du département[29] ;
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Laroque-d'Olmes.
Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Laroque-d'Olmes est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[32].
Elle appartient à l'unité urbaine de Laroque-d'Olmes, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[33],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lavelanet, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[34],[35].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (31,2 %), prairies (27,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,3 %), zones urbanisées (13,6 %), terres arables (7,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %)[36]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 452, alors qu'il était de 1 454 en 2013 et de 1 393 en 2008[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Laroque-d'Olmes en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,4 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 67,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %)
3,4
24,6
9,7
Logements vacants (en %)
15,2
9,7
8,2
Voies de communication et transports
Accès routiers
Laroque-d'Olmes se trouve à la jonction des routes[37] :
D 625, route départementale qui traverse la commune dans un axe nord-sud, et relie Mirepoix (14 km) à Lavelanet (5 km).
D 1 qui relie Laroque-d'Olmes à Foix, la métropole située à l'ouest, distant de 28 km.
D 620 qui la relie à l'est à Limoux, distant de 40 km, via Chalabre.
D 928 reliant Laroque-d'Olmes à Léran, commune au nord-est, distante de 4,5 km.
D 528, jonction à gauche à la sortie nord du bourg, mène au village voisin d'Esclagne, distant de 3,5 km.
Transports
La commune est située sur la ligne de bus régionale Lavelanet-Pamiers via Mirepoix qui assure plusieurs aller-retours quotidiens.
La commune n'est plus desservie par la SNCF ; la L'ancienne voie ferrée qui passait par la commune est devenue, de Lavelanet à Mirepoix, la « Voie Verte en Pyrénées Cathares, le chemin des Filatiers »[38]. La gare la plus proche est celle de Foix à 34 km (TER, Intercités). Celle de Laroque est fermée.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Touyre, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le Touyre figurent les crues de 1992[41].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Laroque-d'Olmes[42]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[43].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 7 juillet 2008[44].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[45].
Toponymie
Laroque-d'Olmes devient La Ròca d’Òlmes en occitan. La ròca signifie la roche, le gros rocher. Laroque-d’Olmes veut dire « la Roche du Pays des Ormes (ou Olmensé) »[46].
Histoire
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
A compter du 25 août 1903, la gare de Laroque-d'Olmes se trouve sur la ligne de Moulin-Neuf à Lavelanet. Le service voyageur a été fermé en 18 avril 1939. Il y eut une réouverture temporaire du service voyageur du 5 mai 1941 au 6 mai 1946, effectivement la pénurie de transports routiers conduisit à ajouter une voiture au train de marchandises subsistant. Le service marchandise fut fermé le 16 décembre 1973 en même temps que la ligne devenue depuis une voie verte.
Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 2 500 habitants et 3 499 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de vingt trois[49],[50].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[54].
En 2022, la commune comptait 2 414 habitants[Note 6], en évolution de −1,63 % par rapport à 2016 (Ariège : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 318 personnes, parmi lesquelles on compte 68,3 % d'actifs (55,4 % ayant un emploi et 12,9 % de chômeurs) et 31,7 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Lavelanet, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 11]. Elle compte 813 emplois en 2018, contre 1 013 en 2013 et 1 315 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 744, soit un indicateur de concentration d'emploi de 109,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,7 %[I 12].
Sur ces 744 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 249 travaillent dans la commune, soit 34 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 88,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,2 % les transports en commun, 6,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
220 établissements[Note 10] sont implantés à Laroque-d'Olmes au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
220
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
43
19,5 %
(12,9 %)
Construction
30
13,6 %
(14,2 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
62
28,2 %
(27,5 %)
Information et communication
4
1,8 %
(1,8 %)
Activités financières et d'assurance
11
5 %
(2,8 %)
Activités immobilières
9
4,1 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
21
9,5 %
(13,2 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
24
10,9 %
(14,4 %)
Autres activités de services
16
7,3 %
(8,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,2 % du nombre total d'établissements de la commune (62 sur les 220 entreprises implantées à Laroque-d'Olmes), contre 27,5 % au niveau départemental[I 16]. Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[61] :
Sage Automotive Interiors (ex Adient, ex Michel Thierry), France - Mtsa, tissage (31 221 k€)
Societe Armengol, sciage et rabotage du bois, hors imprégnation (15 189 k€)
Nico, supermarchés (14 630 k€)
Ram, commerce de détail de quincaillerie, peintures et verres en grandes surfaces (400 m² et plus) (3 449 k€)
Quatiris France, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures et équipements industriels divers (420 k€)
Usine textile spécialisée dans les tissus pour les sièges automobiles. Créée en 1955 et connue pendant plus de 50 ans sous le nom de Michel Thierry, l'entreprise a ensuite appartenu aux groupes industriels américains Johnson Controls, Adient et désormais Sage Automotive Interiors, et emploie plus de 200 personnes à Laroque. L'entreprise a innové dans la production temporaire de masques lavables et de surblouses pour répondre à la demande de la crise liée au Covid-19[62], elle innove par ailleurs dans le domaine des géotextiles.
Les deux zones industrielles (Moulin d'Enfour au nord, Entounadou au sud) situées sur la commune accueillent de nombreuses entreprises (Ariège Composites, Icre, Armengol ...).
Commerce : Laroque possède des commerces de toutes sortes situés au centre-ville, au Centre commercial de Castillanes/RD625 ainsi que trois grandes surfaces sur la zone industrielle nord (Intermarché, Bricomarché, DistriClub Médical).
Depuis les années 2000, un projet de création d'une zone commerciale en face l'usine Michel Thierry divise la population. Celui-ci concerne l'installation d'un magasin Leader Price, d'une grande surface de bricolage, d'une enseigne de restauration et de deux autres enseignes non dévoilées. Remis sur la table courant 2009, le conseil municipal s'y est opposé, rassurant les petits commerçants de la ville et l'ensemble des grandes surfaces de Laroque et Lavelanet. En 2012, le projet est relancé avec la perspective avancée de voir la grande surface Intermarché de la ville déménager et s'implanter sur ce terrain, avec une enseigne de restauration. Ce projet aboutit et permet l'installation d'Intermarché, McDonalds puis Lidl.
Agriculture : Très peu d'agriculteurs sont présents sur la commune.
Écoles : maternelle Joliot-Curie, élémentaire Mixte 1 Joliot-Curie (CP au CM2). collèges et lycées dans les villes voisines de Lavelanet et Mirepoix.
Services Publics
La commune fait partie de la communauté de communes du Pays d'Olmes (à qui elle a délégué les compétences économie et tourisme) et adhère à quelques syndicats intercommunaux : SAEPPO (Syndicat d'alimentation en eau potable du Pays d'Olmes) pour la gestion de l'eau et qui a son siège à Laroque, SDCEA (Syndicat des collectivités électrifiées de l'Ariège), SMECTOM du Plantaurel (Syndicat mixte de collecte traitement des ordures ménagères). Elle gère en régie municipale l'assainissement.
Services communaux : administratifs (comptabilité, urbanisme, secrétariat, état civil, cadastre) à l'hôtel de ville, police municipale à l'hôtel de ville, services techniques (espaces verts, assainissement, voirie, bâtiments, travaux) à l'impasse Victor-Hugo, culturel (musique au Château municipal, bibliothèque en mairie), enfance jeunesse (au Château municipal et à la MJC).
Une permanence des services sociaux départements est assurée à Laroque d'Olmes, sur rendez-vous.
Sports
Rugby à XV
L'Étoile Sportive Laroque Bélesta est un club issu de la fusion entre l'Étoile Sportive Laroquaise (créée en 1925) et l'AS Bélesta en 2009. L'ESLB est en entente avec le Stade Lavelanétien et l'Union Sportive Chalabre-Kercorb-La Bastide-Le Peyrat (USKCBP) pour l'École de Rugby, les cadets et les juniors (Rugby Pays d'Olmes). Le club évolue pour la saison 2012-2013 en Honneur Midi-Pyrénées (élite régionale). Alors minime, Fabien Barthez, y a touché ses premiers ballons[66].
Palmarès de l'Équipe 1 :
Champion de France, 3e série, 1964
Champion des Pyrénées, Honneur, 1977, 1986, 2009, 2016
Champion de France, Honneur, 1993
Champion des Pyrénées, Promotion Honneur, 2006
Vainqueur de la coupe Voivenel 2009 (trophée des clubs de fédérale Ariégeois)
Football
Laroque-d'Olmes est le siège du Football Club Laroquais, en entente avec Léran-Aigues-Vives et Villeneuve d'Olmes au niveau de l'école de football (Football Pays d'Olmes).
Voie verte de Lavelanet à Mirepoix, a été aménagée (ancienne sur la ligne de Moulin-Neuf à Lavelanet) pour les piétons, cavaliers et cyclistes sur une longueur de 38 km.
La chapelle Notre-Dame[68] se trouve au nord-est du bourg, en face et à l'est du cimetière, par delà la rivière le Touyre qu'une passerelle permet de traverser à cet endroit.
Le bâtiment est de plan simple, à nef unique. Une abside semi-pentagonale prolonge la nef. Six vitraux ornent les façades latérales, et quatre autres l'abside. Une statue de la Vierge et l'Enfant est flanquée sur le côté droit. Est présent un petit clocher à deux niveaux, avec trois cloches.
La façade principale, semi-hexagonale, chapeautée d'un triangle isocèle, possède au-dessus du portail, une niche avec une statue de la Vierge et l'Enfant, blanche. Autour du portail sont flanquées deux fenêtres avec barreaux.
L'édifice a été restauré deux fois, comme on le lit gravé sur la façade principale : "Restorato Anno DNI 1778", et au-dessus, "Restaurée en 1956".
Façade principale de la chapelle Notre-Dame.
Chœur de la chapelle Notre-Dame.
Vitrail sainte Anne de la chapelle Notre-Dame.
Vitrail Jésus de la chapelle Notre-Dame.
Orgue de la chapelle Notre-Dame.
Autres
Chapelle Saint-Roch[69] qui a été construite à la suite de la grande peste de 1549. L'édifice religieux se situe à environ 1 km « à vol d'oiseau », au sud-est de église du Saint-Sacrement. Elle a été construite isolément, sur une ligne de crête, à près de 550 m d'altitude, faisant face au sud à la Serre de Galinat.
Patrimoine civil
Jardin d'agrément dit parc des Ricalens
Le jardin d'agrément dit « parc des Ricalens » situé rue Georges-Clemenceau, propriété de la commune, figure au pré-inventaire des jardins remarquables. Il est repris à l'Inventaire général du patrimoine culturel (documentation préalable)[70].
Autres
Monument aux morts, situé au sud du cimetière, à l'entrée du bourg par la route D 928.
Présence des traces d'un sarcophage dans les murs d'enceinte du cimetière (origine romaine ?).
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[8],[9]
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[65].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑https://maitron.fr/spip.php?article174633, notice SÉGUÉLA Roseline épouse TOURNIL par Jacques Girault, version mise en ligne le 19 juillet 2015, dernière modification le 19 juillet 2015.
↑A. C., « Reconversion de l’entreprise Sage à Laroque d’Olmes : “la relocalisation, ce n’est pas encore concret” », La Gazette ariégeoise, (lire en ligne)