Naoum Kleiman

Biographie
Naissance	1er décembre 1937 (87 ans); Chișinău
Nationalité	russe
Formation	Institut national de la cinématographie (jusqu'en 1961)
Activités	Journaliste d'opinion, historien, réalisateur, théoricien du cinéma, théoricien du cinéma, critique de cinéma, professeur d'art dramatique, historien du cinéma
Période d'activité	Depuis 1961
Conjoint	Alewtina Alexejewna Rumjanzewa (d)
A travaillé pour	The State Central Film Museum (d) (1992-2014); Cours supérieurs pour les scénaristes et réalisateurs de films (depuis 1988)
Distinctions	Liste détaillée European Film Academy Special Achievement Award (d) (1993); Médaille Goethe (1995); Artiste d'honneur de la fédération de Russie (d) (1998); Doctorat honoris causa de l'université Nancy-II (2001); Chevalier des Palmes académiques (2002); Chevalier de l'ordre du Mérite de la république de Pologne (2003); Ordre du Soleil levant (2005); Commandeur des Arts et des Lettres‎ (2010); Ordre du Mérite de la république de Pologne

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Naoum Kleiman est un historien du cinéma russe né en décembre 1937 à Kichinev.

Biographie

Spécialiste de Sergueï Eisenstein dont il a édité les œuvres complètes et considéré comme le Langlois russe, Naoum Kleiman a dirigé le Musée du cinéma de Moscou depuis son ouverture en mars 1989 jusqu'en 2014^[1]. Historien érudit et responsable d'institutions qu'il fait vivre dans des conditions matérielles et politiques difficiles, mais surtout " inlassable pédagogue" comme l'écrit Jean-Michel Frodon dans le portrait qu'il lui consacre en 1993^[2], il a accompagné l'émergence de plusieurs générations de cinéastes et de chercheurs soviétiques.

Selon Le Monde, Naoum Kleiman « est l'une des grandes figures mondiales de l'histoire du 7e art »^[3].

Il a été distingué lors de la Berlinale 2015^[4].

Publications

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Notes et références

↑ Eugénie Zvonkine, « Le Musée de Moscou perd son âme », Cahiers du cinéma, n^o 706, décembre 2014, p. 49-50
↑ Jean-Michel Frodon, « RENCONTRE AVEC NAOUM KLEIMAN Les films, école de la liberté », Le Monde,‎ 29 juillet 1993 (lire en ligne )
↑ « Naoum Kleiman, cinéphile chez les Soviets »Le Monde, 1^er février 2003
↑ Isabelle Spicer, « La Berlinale honore Naoum Kleiman, l’ancien directeur du Musée du cinéma de Moscou, limogé en juillet dernier », Le Journal des Arts, 17 février 2015 [1]

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Biographie de Naoum Kleiman sur Mémoires européennes du Goulag

[1] Eugénie Zvonkine, « Le Musée de Moscou perd son âme », Cahiers du cinéma, n^o 706, décembre 2014, p. 49-50

[2] Jean-Michel Frodon, « RENCONTRE AVEC NAOUM KLEIMAN Les films, école de la liberté », Le Monde,‎ 29 juillet 1993 (lire en ligne )

[3] « Naoum Kleiman, cinéphile chez les Soviets »Le Monde, 1^er février 2003

[4] Isabelle Spicer, « La Berlinale honore Naoum Kleiman, l’ancien directeur du Musée du cinéma de Moscou, limogé en juillet dernier », Le Journal des Arts, 17 février 2015 [1]

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