Pavie est une commune rurale qui compte 2 540 habitants en 2022, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération d'Auch et fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Paviens ou Paviennes.
Le Gers, d'une longueur totale de 175,4 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Layrac, après avoir traversé 47 communes[5].
Le Sousson, d'une longueur totale de 33,8 km, prend sa source dans la commune d'Aujan-Mournède et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gers à Auch, après avoir traversé 15 communes[6].
Le Cédon, d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans la commune de Lourties-Monbrun et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gers sur le territoire communal, après avoir traversé 8 communes[7].
En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 781 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auch à 4 km à vol d'oiseau[10], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,8 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Milieux naturels et biodiversité
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[14] :
les « pelouses, landes et champs extensifs de Pavie » (211 ha), couvrant 3 communes du département[15] et deux ZNIEFF de type 2[Note 2],[14] :
les « coteaux du Gers d'Aries-Espénan à Auch » (13 191 ha), couvrant 31 communes dont 28 dans le Gers et trois dans les Hautes-Pyrénées[16] ;
les « coteaux du Sousson de Samaran à Pavie » (2 695 ha), couvrant 14 communes du département[17].
Carte des ZNIEFF de type 1 et 2 à Pavie.
Carte de la ZNIEFF de type 1 sur la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Au , Pavie est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1].
Elle appartient à l'unité urbaine d'Auch[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 4],[I 5].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (52,2 %), terres arables (15 %), prairies (14,2 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
Pavie est une bastide orthogonale, ce qui implique un réseau routier dense et en forme de damier. La route principale de la commune est la route départementale 929 qui traverse la commune sur un axe nord-sud.
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gers, le Sousson et le Cédon. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIeContrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[21]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999, 2000, 2003, 2009, 2014 et 2022[22],[19].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 087 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 087 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 2002, 2009, 2011, 2012, 2016, 2017 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[25].
Toponymie
La nouvelle bastide prend le nom officiel de la ville de Pavie en Italie, célèbre à cette époque et que l'on retrouve dans les manuels scolaires d'histoire à cause de la célèbre bataille de 1525 entre les armées de Charles Quint et François Ier.
Histoire
L'occupation du site de Pavie remonte à la préhistoire, comme le prouvent ces matériels qu'on retrouve régulièrement aux alentours du village.
Pavie fut fondée le , à une époque où la construction des bastides était très fréquente dans le Sud-Ouest de la France. Elle est la sœur jumelle de Mirande qui naquit le même jour par la volonté des mêmes paréagers : le Sénéchal de Toulouse Eustache de Beaumarchais et l'abbé cistercien de Berdoues sur les terres duquel elle fut érigée.
Pavie présente le plan caractéristique des fondations du sénéchal : elle fut organisée selon deux axes perpendiculaires dont les rues principales et secondaires déterminent des îlots carrés réguliers. Si Mirande prospéra rapidement, l'urbanisation de Pavie souffrit de la proximité d'Auch. Son expansion est très récente et date des années 1960-1970. Si Auch, la grande rivale, lui porta longtemps ombrage, dorénavant, elle favorise plutôt son développement.
Propriétaire, Président départemental de la légion Vice-Président de la Chambre d'agriculture Nommé membre de la Commission administrative départementale en 1941[27]
Les habitants de la commune s'appellent les Paviens[29].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].
En 2022, la commune comptait 2 540 habitants[Note 6], en évolution de +2,38 % par rapport à 2016 (Gers : +1,04 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
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Manifestations culturelles et festivités
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Le festival TRAD'ENVIE (musiques populaires traditionnelles d'ici et d'ailleurs) se déroule chaque année lors du week-end de l'ascension.
Fin juin a lieu le festival "DUCK A DUB" (dub, ska et reggae music).
Santé
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Sports
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La commune compte plusieurs clubs de sport (volley, badminton, judo, pétanque, basket fauteuil). Celui dont l'effectif est le plus important est le football club pavien. Le club compte près de 300 licenciés et comporte une section féminine.
Économie
Revenus
En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 1 100 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 2 452 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 370 €[I 6] (20 820 € dans le département[I 7]). 57 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (43,9 % dans le département).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 1 451 personnes, parmi lesquelles on compte 73,8 % d'actifs (66 % ayant un emploi et 7,9 % de chômeurs) et 26,2 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 705 emplois en 2018, contre 767 en 2013 et 804 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 973, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,7 %[I 12].
Sur ces 973 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 174 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 92,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,6 % les transports en commun, 3,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
Secteurs d'activités
196 établissements[Note 10] sont implantés à Pavie au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
196
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
20
10,2 %
(12,3 %)
Construction
35
17,9 %
(14,6 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
67
34,2 %
(27,7 %)
Information et communication
2
1 %
(1,8 %)
Activités financières et d'assurance
5
2,6 %
(3,5 %)
Activités immobilières
12
6,1 %
(5,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
23
11,7 %
(14,4 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
22
11,2 %
(12,3 %)
Autres activités de services
10
5,1 %
(8,3 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,2 % du nombre total d'établissements de la commune (67 sur les 196 entreprises implantées à Pavie), contre 27,7 % au niveau départemental[I 16].
Entreprises et commerces
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[38] :
Pavidis, location de terrains et d'autres biens immobiliers (3 644 k€)
Beaulieu Auto Service, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (2 150 k€)
Commercialisation Piscines Gasconnes - CPG, commerce de détail d'articles de sport en magasin spécialisé (1 243 k€)
Viandes Gasconnes, commerce de détail de viandes et de produits à base de viande en magasin spécialisé (839 k€)
Agriculture
La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 49 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 30 en 2000 puis à 23 en 2010[41] et enfin à 18 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 63 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[42],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 405 ha en 1988 à 1 210 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 29 à 67 ha[41].
Un des monuments les plus remarquables de Pavie est le petit pont de style gothique qui enjambe le Gers. Construit au XIIIe siècle, il fut détruit et restauré plusieurs fois. La dernière restauration date d'il y a quelques années lorsqu'un camion a abîmé la moitié de la partie supérieure du parapet. Depuis, des mesures ont été prises empêchant les véhicules lourds de traverser le Gers par Pavie. Le pont est trop étroit pour que deux véhicules puissent s'y croiser. L'entrée ou la sortie de la commune par ce pont nécessitait un laborieux accord entre automobilistes, jusqu'à l'installation de panneaux indiquant la priorité à adopter, en 2005.
Tout aussi remarquable, la chapelle Notre-Dame-du-Cédon reconstruite au XIXe siècle, était un centre de pèlerinage jadis fréquenté. Elle abrite une très ancienne statue de la Vierge Marie, sortie des ateliers limousins au XIIIe siècle.
Château de Besmaux. C'est une ancienne métairie (XVIIe siècle) qui s'est progressivement agrandie au fil du temps. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Boy. Propriété privée, ne se visite pas.
Château du Cédon. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Lagrange. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Lagrangette. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Lavacant du XVIIe siècle, qui abrite aujourd'hui le lycée d'enseignement général et technologique agricole (LEGTA) d'Auch (antenne de Pavie).
Château de Monlaur. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Mounon. Il n'en reste en élévation qu’une tour de deux niveaux en pierres calcaires et deux pans de mur écroulés. Propriété privée, ne se visite pas.
Château de Saint-Christau (XIXe-XXe siècles). Propriété privée, ne se visite pas.
La Tour du Guet, vestige des anciens remparts, date du XIVe siècle, englobé dans l’ancien couvent des Carmes, qui héberge aujourd'hui la maison de la culture ainsi que la médiathèque municipale.
Écartelé, d'or aux trois pals de gueules fichés en pointe et réunis en chef par une traverse du même, et d'or aux deux vaches de gueule accornées et clarinées d'azur.
Voir aussi
Bibliographie
Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN2-9505900-7-1, BNF39151085)
Jean François Boyer, Véronique Notin, "Notre-Dame du Cédon : une statuette de l’œuvre de Limoges identifiée dans le Gers ", Bulletin de la Société archéologique et historique du Limousin, t. 136, 2008, p. 77-82.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine d'Auch, il y a une ville-centre et deux communes de banlieue.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )