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Pecquencourt

Pecquencourt
Pecquencourt
L'Hôtel de ville.
Blason de Pecquencourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Douai
Intercommunalité CA Cœur d'Ostrevent
Maire
Mandat
Joël Pierrache
2020-2026
Code postal 59146
Code commune 59456
Démographie
Gentilé Pecquencourtois, Pecquencourtoises
Population
municipale
6 160 hab. (2022 en évolution de +3,13 % par rapport à 2016)
Densité 642 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 41″ nord, 3° 12′ 59″ est
Altitude Min. 16 m
Max. 27 m
Superficie 9,6 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Douai
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sin-le-Noble
Législatives 16e circonscription du Nord
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pecquencourt
Géolocalisation sur la carte : France
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Pecquencourt
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Pecquencourt
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Pecquencourt
Liens
Site web https://www.pecquencourt.fr/

Pecquencourt est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France.

Située dans l'ancien Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, la Compagnie des mines d'Aniche y a ouvert les fosses Lemay et Barrois.

Géographie

Localisation

La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Douai ainsi que dans sa zone d'emploi, dans l'Unité urbaine de Douai-Lens et dans le bassin de vie de Somain[I 1].

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Vred, Bruille-lez-Marchiennes, Écaillon, Lallaing, Marchiennes, Masny, Montigny-en-Ostrevent et Rieulay.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 9,60 km2 ; son altitude varie de 16 à 27 mètres[1].

Hydrographie

Réseau hydrographique

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseau hydrographique de Pecquencourt[Note 2].

La commune est située dans le bassin Artois-Picardie.

Elle est drainée par la Scarpe canalisée, la Grande Traitoire, l'Ecaillon ou Scarpe, le Courant de Larrentis, le Courant du Rivage, le fossé le Bouchard, la Grande Traitoire[2], le Courant de Beaurepaire[3], le Courant des Fientons[4], le marais[5] et divers autres petits cours d'eau[6],[Carte 1].

La Scarpe canalisée et une section canalisée de la Scarpe, d'une longueur de 67 km, prend sa source dans la commune de Arras et se jette dans l'Escaut canalisée à Mortagne-du-Nord, après avoir traversé 34 communes[7].

La Grande Traitoire est un canal, chenal et un cours d'eau naturel non navigable, d'une longueur de 24 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Scarpe canalisée à Château-l'Abbaye, après avoir traversé onze communes[8].

Gestion et qualité des eaux

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Scarpe aval ». Ce document de planification concerne un territoire de 624 km2 de superficie, délimité par le bassin versant de la Scarpe aval, comprenant la Pévèle, la plaine de la Scarpe et le bassin minier avec l'Ostrevent. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le , puis révisé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le parc naturel régional Scarpe-Escaut[9].

La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[10]

  • Moyenne annuelle de température : 10,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,6 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 666 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,6 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,1 j

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s'agit d'une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[12].

Les paramètres climatiques qui ont permis d'établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre.

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1962 à 2019 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[16]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records PECQUENCOURT (59) - alt : 19 m 50° 23′ 18″ N, 3° 13′ 00″ E
Records établis sur la période du 01-01-1962 au 30-12-2019
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,7 0,7 3,1 4,7 8,4 11,3 13,4 13 10,3 7,3 3,8 1,5 6,5
Température moyenne (°C) 3,6 4 7,1 9,7 13,5 16,3 18,6 18,3 15,2 11,5 7 4,1 10,8
Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,4 11,1 14,8 18,5 21,2 23,8 23,6 20,1 15,6 10,2 6,7 15
Record de froid (°C)
date du record
−19
17.01.1985
−12,6
07.02.1991
−12
07.03.1971
−6
08.04.1968
−4
03.05.1967
1
01.06.1975
3
01.07.1984
3
26.08.1966
−1
19.09.1977
−7,5
30.10.1997
−9
23.11.1998
−14,2
29.12.1996
−19
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
02.01.03
20,4
26.02.19
24
29.03.1968
28,5
21.04.18
32,1
27.05.05
34,7
21.06.17
41,6
25.07.19
37
07.08.18
34,4
05.09.13
29,4
01.10.11
21,5
06.11.18
15,8
07.12.00
41,6
2019
Précipitations (mm) 58,1 48,6 58,3 46,6 61 69,8 72,4 67,8 57,7 68,3 67,9 67,3 743,8
Source : « Fiche 59456001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Urbanisme

Typologie

Au , Pecquencourt est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[17].

Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens[Note 6], une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 7],[18],[I 1].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Douai, dont elle est une commune de la couronne[Note 8],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 61 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,6 %).

La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (26 %), zones urbanisées (25,2 %), zones agricoles hétérogènes (17,4 %), prairies (11,4 %), forêts (10,5 %), mines, décharges et chantiers (6,7 %), zones humides intérieures (2,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,5 %)[21].

L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Habitat et logement

En 2021, le nombre total de logements dans la commune était de 2 790, alors qu'il était de 2 570 en 2016 et de 2 461 en 2011[I 2].

Parmi ces logements, 92,2 % étaient des résidences principales, 0,4 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 92,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Pecquencourt en 2021 en comparaison avec celle du Nord et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi la faible proportion des résidences secondaires et logements occasionnels (0,4 %) par rapport au département (1,8 %) et à la France entière (9,7 %).

Le logement à Pecquencourt en 2021.
Typologie Pecquencourt[I 3] Nord[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 92,2 90,9 82,2
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 0,4 1,8 9,7
Logements vacants (en %) 7,4 7,4 8,1

Voies de communication et transports

La commune est desservie par les lignes 3, 12, 19 et 112 du réseau de transport Évéole.

Toponymie

de Piscatoris curte (1079), Piscium curtem (1104), Pisciucurte (1123), Pescheucurt (1178), apud Piscatoris curtem (1189).

Du latin piscātōris curtis, la « ferme du pêcheur »[22].

Vissershoven en flamand[23].

Histoire

Moyen Âge

Cartulaire du Duc de Croy en 1603.

En 1339, vidimus d'un acte de Baudouin comte du Hainaut, (Baudouin V de Hainaut) et de sa femme Marguerite d'Alsace en 1178, reconnaissant n'avoir aucun droit sur les villages d'Auberchicourt et de Pecquencourt, appartenant à l'abbaye d'Anchin[24].

Il ne reste que quelques vestiges de l'entrée de l'abbaye à Pecquencourt qui se trouvent assez éloignés dans le prolongement de la rue d'Anchin en direction du Nord Ouest[25],[26],[27].

Époque contemporaine

La ville est située sur la concession de l'ancienne Compagnie des mines d'Aniche, avec les fosses Lemay et Barrois.

Fosses Lemay et Barrois de la Compagnie des mines d'Aniche

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

La commune se trouve dans l'arrondissement de Douai du département du Nord[I 1].

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Marchiennes[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Sin-le-Noble[I 1]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la seizième circonscription du Nord.

Intercommunalité

Pecquencourt était membre de la communauté de Communes de l'Est du Douaisis (CCED), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2000 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

En 2006, cette intercommunalité prend le nom de communauté de communes Cœur d'Ostrevent puis, en 2025, se transforme en communauté d'agglomération sous la dénomination de communauté d'agglomération Cœur d'Ostrevent. La commune en est donc membre[I 1].

Tendances politiques et résultats

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Nord, la liste DVG menée par le maire sortant Joël Pierrache obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 856 voix (66,73 %, 25 conseillers municipaux élus dont 3 communautaires), devançant très largement celles menées respectivement par[28] :
- Henri Fontaine (FG, 405 voix, 14,56 %, 2 conseillers municipaux élus) ;
- Paul Mondino[29] (DVG, 325 voix, 11,68 %, 1 conseiller municipalo élu) ;
- Jean Jacques Bracq[30] (DVG, 195 voix, 7,01 %, 1 conseiller municipal élu).
Lors de ce scrutin, 34,94 % des électeurs se sont abstenus.

Lors du premier tour des élections municipales de 2020 dans le Nord, la liste DVG menée par le maire sortant Joël Pierrache obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 258 voix (53,25 %, 22 conseillers municipaux élus dont 4 communautaires), devançant de 154 voix celle, également DVD, mené par Rémy Vanandrewelt, qui a recueillie 1 104 voix (46,74 %, 7 conseillers municipaux élus dont 1 communautaire).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 45,03 % des électeurs se sont abstenus[31].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1803[32] après 1807[33] M. Goube    
         
avant 1881[34]   M. Sion    
         
1893 1900 Jules Vanandrewelt   Brasseur[35]
         
1925 1945 Michel Vanandrewelt[36]    
         
années 1950   François Briquet    
         
mars 1971 mars 1977 Lucien Bourdon    
mars 1977 mars 1983 René Mercier[37] PCF  
mars 1983[38] septembre 1990 Lucien Bourdon   Mort en fonction
1990[38] mai 2006 Patrick Vanandrewelt[Note 9],[Note 10] DVD[41],[42] Mort en fonction
2006 mars 2008 Léon Brevière[Note 11],[44]   Président de la section CFTC de Pecquencourt
Ancien administrateur de la société de Secours Minière
Chevalier de l'Ordre national du Mérite
mars 2008 octobre 2009[45],[46] Henri Fontaine PCF Mandat écourté par la démission d'une partie du conseil municipal
octobre 2009 En cours
(au 30 novembre 2023)
Joël Pierrache DVG Cadre retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026[47],[48]

Équipements et services publics

Enseignement

Pecquencourt fait partie de l'académie de Lille.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[50].

En 2022, la commune comptait 6 160 habitants[Note 12], en évolution de +3,13 % par rapport à 2016 (Nord : +0,51 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3291 2691 2611 3041 3341 3001 3531 4381 350
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3661 4261 4271 3601 4051 3241 2591 2751 259
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 3811 4171 3451 3293 0183 7134 2635 1116 555
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8 7728 9117 9347 3876 7186 3616 0405 9395 950
2018 2022 - - - - - - -
6 0506 160-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune.

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,9 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 943 hommes pour 3 107 femmes, soit un taux de 51,36 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[52]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,1 
5,2 
75-89 ans
9,7 
13,3 
60-74 ans
15,7 
18,3 
45-59 ans
17,1 
20,1 
30-44 ans
19,0 
18,5 
15-29 ans
17,3 
24,0 
0-14 ans
20,1 
Pyramide des âges du département du Nord en 2021 en pourcentage[53]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,3 
75-89 ans
8,1 
14,8 
60-74 ans
16,2 
19,1 
45-59 ans
18,4 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,7 
15-29 ans
19,1 
20,2 
0-14 ans
18 

Manifestations culturelles et festivités

La commune a acquis une certaine notoriété grâce au Salon de la Moto[37] qui s'y déroule chaque année[réf. nécessaire].

Sports et loisirs

Le team Athlé Pecquencourt, club d'athlétisme spécialisé en courses hors stade et trail, organise chaque 3ème dimanche de septembre, une course pédestre depuis 2015, « Les foulées pecquencourtoises »[54].

Le club de football ; US Pecquencourt

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Pecquencourt Blason
D'azur semé de fleurs de lis d'or, au cerf d'argent passant sur le tout.
Détails
Ce sont celles de l'ancienne abbaye d'Anchin, qui se trouvait jusqu'en 1792 sur le territoire de la commune
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Folklore

Pecquencourt a pour géant Fery de Guyon[55].

Pour approfondir

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Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Accès au lien de l'article Wikipédia de la commune limitrophe en cliquant sur celle-ci.
  2. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[11].
  5. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
  6. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  7. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Douai-Lens comprend quatre villes-centres (Douai, Hénin-Beaumont, Lens, Liévin) et 63 communes de banlieue.
  8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  9. Un square de la commune porte le nom de ce maire[39]
  10. Un challenge de football porte le nom de ce maire[40]
  11. Une rue de la commune porte le nom de ce maire[43]
  12. Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.

Cartes

  1. « Réseau hydrographique de Pecquencourt » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

Autres sources

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « la Grande Traitoire »
  3. Sandre, « le Courant de Beaurepaire »
  4. Sandre, « le Courant des Fientons »
  5. Sandre, « le marais »
  6. « Fiche communale de Pecquencourt », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
  7. Sandre, « la Scarpe canalisée »
  8. Sandre, « la Grande Traitoire »
  9. « SAGE Scarpe aval », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  12. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  14. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d'outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le ).
  16. « Fiche du Poste 59456001 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  17. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  19. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Douai », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 788 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  23. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  24. Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplômes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome 9. Année 1339.
  25. GPS 50° 23' 1.44 N 3° 13' 10.23 E
  26. E. A. Escallier : l'Abbaye d'Anchin 1079 - 1792 (Lille, chez L. Lefort Libraire Imprimeur de Monseigneur l'Archevêque de Cambrai 1852) téléchargeable librement sur GoogleBooks ; toutes ne sont toutefois pas visibles car, microfilmées, certaines pages ne sont pas toujours dépliées avant cette opération ; ainsi la page 36 de 574.
  27. Il y a aussi une belle représentation de l'Abbaye d'Anchin dans les Albums de Croy — J.-M. Duvosquel, Albums de Croÿ, 26 vol. grand in-4°, Bruxelles, Crédit communal de Belgique, 1985-1996 (pour les t. I à XXV, il existe également un tirage daté de Lille, Conseil régional du Nord Pas-de-Calais, 1985-1991). Le t. XXVI (Bruxelles, 1996) qui clôture l'édition, regroupe une série d'études sur les albums. L'édition totalisant 7 510 pages reproduit les 2 544 planches d'albums et les 28 planches d'un carnet de croquis ainsi que plusieurs centaines d'illustrations enrichissant les textes introductifs qui ouvrent chaque volume. Bernard Delmaire a collaboré à cette vaste entreprise en rédigeant plusieurs études relatives au comté d'Artois (t. XVII, XX, XXI, XXIII à XXV).
  28. Résultats officiels pour la commune Pecquencourt
  29. « Pecquencourt : Paul Mondino emmènera une liste d’union de la gauche aux élections municipales », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ).
  30. « Municipales à Pecquencourt: Jean-Jacques Bracq veut redonner leur place aux quartiers », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Comme en 2008, Jean-Jacques Bracq est candidat aux élections municipales à Pecquencourt ».
  31. « Pecquencourt : Joël Pierrache est réélu maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Joël Pierrache, maire sortant de Pecquencourt, a été réélu avec 53,3 % des voix face à Rémi Vanandrewelt (46,7 %) ».
  32. Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 278, lire en ligne.
  33. « Annuaire statistique du Département du Nord. Année 1807. », p. 144-145..
  34. « Le Petit Nord : journal politique quotidien ["puis" journal républicain quotidien du matin "puis" journal républicain absolument indépendant] », sur Gallica, (consulté le ), p. 2-3..
  35. Jérémy-Günther-Heinz Jähnick, « Plaque de la tombe de Jules et Patrick Vanandrewelt », Wikimedia Commons, (consulté le ).
  36. Jérémy-Günther-Heinz Jähnick, « Plaque de la tombe de Michel Vanandrewelt », Wikimedia Commons, (consulté le ).
  37. a et b Julien Dufurier, « Il lance une pétition pour qu’Iris Mittenaere soit la future Marianne », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « René Mercier est un personnage étonnant. À 80 ans, il explique avoir été maire de Pecquencourt, près de Douai, de 1977 à 1983, à l’origine de la création du gigantesque Salon de la moto de sa commune et aimer relever les défis ».
  38. a et b « Pecquencourt: Paul Delannoy amer d’être écarté de la liste de Joël Pierrache », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « La liste l’emporte de peu et M. Bourdon est élu maire en 1983. M. Vanandrewelt lui succédera en 1990, à son décès ».
  39. « Pecquencourt : le nouveau square porte le nom de l’ancien maire Patrick Vanandrewelt », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Situé à deux pas de la mairie, sa deuxième maison de 1990 à 2006, un square porte désormais le nom de l’ancien maire, Patrick Vanandrewelt, décédé en cours de mandat. L’inauguration a eu lieu vendredi ».
  40. « Sequedin, vainqueur du deuxième challenge Patrick-Vanandrewelt », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Douze équipes de U13 ont répondu à l’appel de l’Union sportive de Pecquencourt pour participer au challenge de football Patrick-Vanandrewelt, du nom de l’ancien maire ».
  41. Annuaire des mairies du Nord (préf. Christian Poncelet et Jean-Louis Debré), Les Éditions Céline, , p. 199.
  42. Bernard Dolez, Annie Laurent, Christian-Marie Wallon-Leducq, La revanche de la gauche : Les élections législatives de 1997 dans la région Nord/Pas-de-Calais, Villeneuve d'Asq, Presses universitaires du Septentrion, , 193 p. (ISBN 978-2-85939-547-6, présentation en ligne), p. 69 « Finalement, Jean-Pierre Lemay (Nord, 9e ; ex-PPDF) et Patrick Vanandrewelt (Nord, 16e) ont été exclus ».
  43. « Pecquencourt : une rue au nom de Léon-Brévière à la cité des pâtures », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « L’on remarquait la présence d’une nombreuse assistance dont la proche famille du regretté maire. Il fut élu à ce poste en 2006 jusqu’en 2008. [...] En 1971, il est élu sur la liste de Lucien Bourdon. Une coupure de 1977 à 1983, il revient avec à nouveau Lucien Bourdon puis Patrick Vanandrewelt, dont il était le premier adjoint jusqu’en mai 2006 ».
  44. « Monsieur Léon Bréviere », Avis de décès, sur https://www.libramemoria.com/, (consulté le ).
  45. « Pecquencourt devient ingérable », L'Observateur du Douaisis,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  46. « Crise à Pecquencourt :vers un retour aux urnes ? », L'Observateur du Douaisis,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Mis en minorité, le groupe du maire de Pecquencourt Henri Fontaine n'a plus de pouvoir de décision. Ses opposants veulent retourner aux urnes ».
  47. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Rémi Siniarski, « 866 000 euros d’économies, une réserve de prudence pour le maire : Le 23 avril s’est déroulé le premier conseil municipal. Les 866 000 euros d’excédent du compte administratif 2013 titillent l’opposant P. Mondino. Le maire y voit une réserve pour l’avenir incertain », L'Observateur du Cambresis, no 1336,‎ , p. 24
  48. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Pecquencourt: Joël Pierrache retrouve le poste de maire qu’il occupe depuis 2009 », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne Accès payant, consulté le ) « Il ne pouvait pas y avoir de surprise. Il n’y en a pas eu. Joël Pierrache est installé à nouveau dans ses fonctions de maire. Il a fait le choix d’être assisté de huit adjoints et quatre conseillers municipaux délégués ».
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
  52. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pecquencourt (59456) », (consulté le ).
  53. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
  54. « 4ème foulées pecquencourtoises », sur pecquencourt.fr, (consulté le ).
  55. Benjamin Dubrulle, « Le SOS de passionnés pour sauver des géants abandonnés », La Voix du Nord, no 24596,‎ , p. 14-15
Prefix: a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9

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