Pour A. G. Fisher en 1966[2], et Didier Néraudeau en 2010, le sous-genre Phymapatagus du Miocène moyen de l'Ouest de la France est à reconsidérer. Pour lui, il faut restituer l’espèce britannus au sous-genre Spatangus. Il est classé comme Synonyme junior de Spatangus[3].
J. E. Gray. 1825. An attempt to divide the Echinida, or Sea Eggs, into natural families. Annals of Philosophy, new series 10:423-431
Mortensen, T. 1951. A monograph of the Echinoidea. V, 2. C. A. Reitzel, Copenhagen.
A. G. Fischer. 1966. Spatangoids. In R. C. Moore (ed.), Treatise on Invertebrate Paleontology, Part U. Echinodermata. Geological Society of America and University of Kansas Press, Boulder and Lawrence 3(2):U543-U628
Phillipe, M. 1998. Les échinidés Miocènes du Bassin du Rhône: révision systématique. Nouvelles Archives du Museum d'Histoire naturelle Lyon 36(1/2), 3-251, 249-441.
Didier Néraudeau, Borghi, E. & Roman, J. 1998. Le genre d'echinide Spatangus dans les localites du Pliocene et du Pleistocene d'Emilie (Italie du Nord). Annales de Paléontologie 84, 243-264.
J. J. Sepkoski. 2002. A compendium of fossil marine animal genera. Bulletins of American Paleontology 363:1-560
Didier Néraudeau, Jean-Christophe Dudicourt, Frédéric Boutin, Luc Ceulemand, Philippe Nicolleau, Les Spatangus du Miocène et du Pliocène de l’Ouest de la France, Annales de paléontologie - Volume 96 - Issue 4, Octobre-, pp. 159-170. [3]
↑A. G. Fischer. 1966. Spatangoids. In R. C. Moore (ed.), Treatise on Invertebrate Paleontology, Part U. Echinodermata. Geological Society of America and University of Kansas Press, Boulder and Lawrence 3(2):U543-U628