C'est à l'instigation de François Trombert, originaire de Lyon, et propriétaire depuis 1893[6] du Cabaret des Quat'z'Arts, à Montmartre[7], que Constant Jacquet vint à Paris.
Le véritable nom de François Trombert étant François Jacquet, Constant Jacquet prit alors le pseudonyme de Yon-Lug qui exprime son origine : « Yon » pour « Lyon », « Lug » pour « Lugdunum »[8]. C'est sous ce nom qu'il devint une figure du milieu montmartrois, le dernier Mohican de la Butte[9]. Celui-ci fait en effet partie intégrante de l'histoire des temps héroïques des cabarets montmartrois.
↑Les obsèques du chansonnier Lauff.] Le Journal, 7 février 1923, p. 3, lire en ligne sur Gallica.
↑Dans ce caveau reposent également Xavier Privas 1863-1927) et son épouse Francine Lorée (1876-1963), Léon de Bercy (1857-1915), Georges Joussain (1900-1931), Jean Maader (1853-1930), Henri Colhumeau (1866-1924), Antoine Lauff (1884-1923) et Henri Enthoven (1886-1920).