Pour des raisons techniques historiques[1] de codage informatique du L cédille, celui-ci est utilisé dans l'écriture du letton pour représenter le L virgule souscrite ‹ l̦ › et sa cédille est représentée par un trait ressemblant à une virgule souscrite dans les fontes adaptées au letton.
Le L cédille ‹ ļ › est utilisé en marshallais (dans l’alphabet standard[2],[3],[4]) pour représenter la consonne spirante latérale alvéolaire voiséevélarisée /lˠ/. À cause du manque de fontes adaptées il est souvent affiché comme un L virgule souscrite letton ou remplacé par un L macron souscrit.
Serbo-croate
Le dictionnaire serbo-croate de Đuro Daničić, Rjecnik hrvatskoga ili srpskoga jezika, publié par l’Académie yougoslave des sciences et des arts de 1880 à 1976 a initialement utilisé une orthographe serbo-croate faisant usage de la lettre L cédille (avec la forme d’une cédille conventionnelle au lieu d’une virgule souscrite)[5] remplaçant ainsi le ‹ lj › de l’alphabet Gaj.
Représentations informatiques
Le L cédille peut être représenté avec les caractères Unicode suivants :
↑Initialement dans Unicode, la cédille et la virgule souscrite étaient considérées comme étant des variantes du même diacritique, mais maintenant elles sont considérés comme des diacritiques différents.
(sh) Jugoslavenska akademija znanosti i umjetnosti, Rjecnik hrvatskoga ili srpskoga jezika, Zagreb, (lire en ligne)
(en) Marilyn Low et Rodrigo Mauricio, « Lost in Translation: From English to Pacific Languages in Early Reading Assessment », dans Research Brief, Pacific Resources for Education and Learning, . (copie en ligne)
(en) Rachel Leah Miller, Wa kuk wa jimor: Outrigger canoes, social change, and modern life in the Marshall Islands, thèse, Université d’Hawaii, . (copie en ligne)
(en) Lori Phillips, Marshallese alphabet, Pacific Resources for Education and Learning, 2004. (copie en ligne)