Tourisme, électronique, construction navale, produits pharmaceutiques, construction, vêtements, aéronautique, services financiers, services de technologie de l'information
Machines et équipements de transport, combustibles minéraux, aéronautique, livres et journaux imprimés, produits pharmaceutiques, jouets, jeux et équipements sportifs
Combustibles minéraux, machines et équipements de transport, machines électriques, produits plastiques et d'autres produits semi-fabriqués, automobiles, pétrole, biens aéronautiques
Les points forts de l'économie de Malte sont son emplacement stratégique, étant située au milieu de la mer Méditerranée, à un carrefour entre l'Europe, l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient, son économie de marché ouverte pleinement développée, la population multilingue (88 % des Maltais parlent anglais)[9], une main-d'œuvre productive, un faible impôt sur les sociétés[10] et les pôles de la finance et les clusters en TIC y sont bien développés. L'économie est dépendante du commerce extérieur, de la fabrication (en particulier l'électronique), du tourisme et des services financiers. En 2014, plus de 1,7 million de touristes ont visité l'île[11].
Le PIB par habitant de Malte, ajusté à la parité de pouvoir d'achat, s’élève à $ 29 200[12] et se classe à la 15e place dans la liste des pays de l'UE en termes de standard de pouvoir d'achat[13]. Dans l'année civile 2013, Malte a enregistré un déficit budgétaire de 2,7 %[4], ce qui est dans les limites imposées pour les pays de la zone euro par les critères de Maastricht et la dette publique brute est de 69,8 %[3]. Avec un taux de 5,9 %, Malte a le sixième taux le plus bas de chômage dans l'UE[2].