Le nom du groupe est largement inspiré de celui du Chaos Computer Club allemand.
La maxime du Chaos Computer Club France (CCCF) était : « Pirater, c'est avoir un regard irrespectueux vis-à-vis de la technologie au quotidien ». Téléphoniquement, le CCCF signait ses messages par 2223, la lettre C étant associée au chiffre 2 sur le cadran téléphonique et la lettre F au chiffre 3.
Le CCCF avait son magazine électronique, le Chaos Digest (ChaosD), dont 73 numéros sont parus entre le et le , d'abord de manière hebdomadaire puis quotidienne (ISSN1244-4901)[5],[6],[7].
↑Bertrand Warusfel, Contre-espionnage et protection du secret : Histoire, droit et organisation de la sécurité nationale en France, Panazol, Lavauzelle, , 496 p. (ISBN2-7025-0451-5), p. 86.
Mark A. LUDWIG, préface et traduction de l'anglais par Jean-Bernard CONDAT, "C'est décidé, j'écris mon virus", Addison-Wesley France ;
Mark A. LUDWIG, préface et traduction de l'anglais par Jean-Bernard CONDAT, Mutation d'un virus: vie artificielle et évolution, Addison-Wesley France, 1994