Le territoire de la communauté de communes Océan Marais de Monts est composé de côtes littorales (plage et cordon dunaire). Il est également marqué par la présence de la forêt domaniale des Pays-de-Monts qui s’étend sur près de 2 200 hectares. Les marais sont très présents sur ce territoire : on dénombre plus de 12 500 hectares de marais.
Démographie
Évolution démographique du territoire communautaire tel qu'existant au
1968
1975
1982
1990
1999
2006
2011
2016
11 486
12 080
12 475
13 596
15 155
17 089
18 262
19 104
Nombre retenu à partir de 1968 : population sans doubles comptes. Les données mentionnées ci-dessus sont établies à périmètre géographique constant, dans la géographie en vigueur au . (Source : INSEE RGP 2016[5])
Économie et infrastructures
L’activité principale de ce territoire est liée au littoral et plus particulièrement au tourisme : la population est multipliée par 10 en période estivale.
La communauté de communes est administrée par son conseil communautaire, composé, pour la mandature 2020-2026, de 32 conseillers municipaux représentant chacune des communes membres et répartis de la manière suivante[6] :
- 14 délégués pour Saint-Jean-de-Monts ;
- 7 délégués pour Soullans ;
- 4 délégués pour Notre-Dame-de-Monts et La Barre-de-Monts ;
- 3 délégués pour Le Perrier.
À la suite des élections municipales de 2020 dans la Vendée, le conseil communautaire renouvelé a élu le sa nouvelle présidente, Véronique Launay, maire de Saint-Jean-de-Monts, et désigné ses vice-présidents, qui sont[7] :
Rosiane Godefroy, maire du Perrier ;
Raoul Grondin, maire de Notre-Dame de Monts ;
Jean-Michel Rouillé, maire de Soullans,
Pascal Denis, maire de La Barre-de-Monts ;
Miguel Charrier, premier maire-adjoint de Saint-Jean-de-Monts.
L'intercommunalité exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[1] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes membre ainsi qu'une dotation globale de fonctionnement (DGF) bonifiée[1] .
L'intercommunalité ne verse pas de dotation de solidarité communautaire[13] (DSC) à ses communes membres[1].
Identité virtuelle
Projets et réalisations
Conformément aux dispositions légales, une communauté de communes a pour objet d'associer des « communes au sein d'un espace de solidarité, envue de l'élaboration d'un projet commun de développement et d'aménagement de l'espace[14] ».
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Notes et références
Notes
↑La communauté de communes est officiellement désignée en tant que « CC Océan Marais de Monts » (par la Base nationale sur l’intercommunalité[1]), tandis que l’arrêté préfectoral portant changement de dénomination de la structure lui attribue le nom de « Communauté de Communes Océan-Marais de Monts »[2].
↑ a et b« Arrêté no 263/SPS/02 autorisant la modification de l’arrêté préfectoral portant création de la communauté de communes du Canton-de-Saint-Jean-de-Monts », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Vendée, nos 2002/10, , p. 10 (lire en ligne [PDF]).
↑Les densités de population sont calculées automatiquement dans un SIG en utilisant la surface géométrique de la commune, avec un niveau de précision du contour de 5 m tel qu'il ressort de l'export du découpage administratif au niveau communal (contours des communes) issu d'OpenStreetMap, et non la superficie cadastrale définie par l'Insee, qui est une donnée purement administrative. Des différences de classe peuvent ainsi éventuellement apparaître pour les communes qui se situent en limite de franchissement de seuil de classe.
↑« Saint-Jean-de-Monts. Véronique Launay, élue présidente de l’interco : Avec 17 nouveaux élus communautaires sur 32 et une nouvelle présidente avec Véronique Launay, la communauté de communes change presque de visage », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).