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Danny Kushmaro ( hébreu : דני קושמרו) ; né le 10 mai 1968) est un journaliste et présentateur télévisé israélien. Très populaire, Haaretz l'a surnommé le journaliste de télévision le plus reconnaissable en Israël[1]. À partir de 2023, sa proximité affichée avec Tsahal et son traitement de la guerres dans la bande de Gaza et au Liban lui ont valu des critiques vives sur son éthique professionnelle.
Kushmaro est marié[3] et a deux fils[4]. C'est un motocycliste passionné. En juin 2018, il a eu un grave accident de moto à Modène, en Italie[5],[6].
Carrière dans les médias et le journalisme
Il a commencé sa carrière comme présentateur dans une station de radio locale en 1996. En 2001, il rejoint la chaîne de télé Canal 12. De 2003 à 2013, il a présenté le magazine d'information du samedi de Channel 2.
Le 1er février 2003, il couvre le retour de la navette spatiale Columbia, censée ramener sur Terre le premier astronaute israélien, Ilan Ramon, après une longue mission[7]. Le père de Ramon, Eliezer Wolferman, était présent dans le studio. Lors de la diffusion initialement festive, la NASA a perdu le contact avec l'équipage de la navette. Une fois que cela fut clair, Wolferman est expulsé du studio, loin de la caméra[7]. Kushmaro annonce que la navette s'était désintégrée au-dessus du Texas, entraînant la mort de Ramon et ses six collègues.
En 2008, il est devenu présentateur du soir après le départ de Gadi Sukenik. Lui et Yonit Levi animent alternativement les principales émissions d'information en semaine[8]. En 2012, il a remplacé Yair Lapid en tant que présentateur permanent de Studio Friday אולפן שישי (oulpan chichi) après l'entrée de Lapid en politique. Il a également animé des émissions télévisées matinales et réalisé plusieurs documentaires.
Il est dit passionné d'adrénaline et s'est mis en scène, dans des émissions diffusées le vendredi soir et fortement suivies, conduisant des voitures de course ou des motos en Israël et en Europe[9].
En 2017, il interviewe le suprémaciste blanc Richard Spencer. Par la suite, un téléspectateur publie le numéro de téléphone de la société de presse israélienne, afin que d'autres puissent critiquer la chaîne pour avoir interviewé un néo-nazi[10].
Cushmaro couvre les attaques du 7 octobre 2023 dès leur début et devient un symbole culturel, avec de nombreux objets à son effigie[12] et une chanson en son nom devient populaire sur les réseaux sociaux[13],[14].
Il est décrit comme un « élément utile de la machine de propagande » de l'armée israélienne par Haaretz, qui relève sa « fascination», voire son « idolâtrie », pour Tsahal. Les habitants de Gaza ou du Liban, auxquels il ne donne presque jamais la parole, sont régulièrement décrits comme des fanatiques sanguinaires dans ses reportages[15],[9].
En octobre 2024, alors qu’Israël a envahi le Liban-Sud, il se fait filmer détonant avec fierté des explosifs installés par l'armée israélienne afin de détruire une maison où des armes sont prétendument entreposées. La mise en scène lui vaut des critiques vives sur son professionnalisme par des confrères israéliens et étrangers[1].