Le , le Crédit Agricole obtient par voie judiciaire que soit reportée la parution de son livre Le Crédit Agricole hors la loi ?[3]. Le juge des référés estime que l'ouvrage pourrait « fausser les règles du marché » alors que la cotation en bourse du Crédit Agricole va débuter le [4]. Selon Libération, le livre, enquête journalistique documentée, révèle par exemple que « la banque, comme ses homologues, abuse des paradis fiscaux »[5].
Faut-il brûler l'ONU ?
Dans son livre ONU, Violations humaines, Jean-Loup Izambert critique le fonctionnement et la politique de gestion du personnel à l'Organisation des Nations unies[6]. Il évoque une situation souvent difficile des fonctionnaires internationaux confrontés sur le terrain à des problèmes majeurs, les jeux de pouvoir des États occidentaux qui se partagent les postes de direction de l'ONU et les conséquences qui en découlent, tout particulièrement l'aggravation de la situation économique et politique internationale. Selon Le Monde diplomatique, dans ce livre, Jean-Loup Izambert critique, comme de nombreux observateurs, le fonctionnement du Conseil de sécurité des Nations unies devenu selon lui « lieu de conciliabules et marchandages », et théâtre d’une « démocratie de façade »[7].
Ouvrages
Le Krach des quarante banques, avec Emmanuelle Leneuf, Le Felin, 1998.
Le Crédit agricole hors la loi ?, Carnot, 320 p., 2001.