Espigoule est le nom provençal d'un village du Var, le film étant tourné dans ce département à Ginasservis, commune dont est originaire le réalisateur.
Synopsis
Un an de la vie d'Espigoule, petit village perché dans les collines du Haut Var, où la caméra suit pas à pas les exaltations quotidiennes d'une communauté de Provençaux espiègles et chaleureux.
Parmi les habitants, certains cherchent à prouver l'existence d'un monstrueux porc sauvage imaginaire qui rôderait autour du village : le « phacomochère » dont la description évoque un déodonte, mais dont le crâne exposé au muséum départemental du Var est en fait le canularcryptozoologique d'un ancien conservateur : c'est un crâne de sanglier auquel on a ajouté des cornes[1].
Fiche technique
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
Direction artistique : Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
Production : Christian Cesbron et Christian Pfohl
Sociétés de production : Lardux Films, Cedolozo Production, VBC Production
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par les bases de données Allociné et IMDb.
« Ce modeste village a des allures d'école buissonnière, de kermesse et de bal populaire, une vraie pagnolade. », Pariscope, 24 mars 1999.
« C'est frais, joyeux, même s'il y a parfois du laborieux quand le régionalisme cherche à tenir lieu d'exotisme. », Le Canard Enchaîné, 24 mars 1999.
« On est proche de l'univers de Pagnol ou de celui de Giono. C'est naïf, tendre et drôle. », Le Parisien, 24 mars 1999.
« Un film intelligent, socialement correct, innovateur et... drôle. », La Provence, 24 mars 1999.
« Un faux village, de vrais gens. Clochemerle vu de l'intérieur avec humour et tendresse. », Le Monde du 25 mars 1999 et Les Inrockuptibles du 24 avril 1999.
« Des personnages hauts en couleur au langage ensoleillé et aux accents de Pagnol. », Le Figaro, 29 mars 1999.
« Le film du mois : la longue, jolie et phénoménale histoire d'un petit village, d'un jeune réalisateur et d'un bien marrant film. », Première, avril 1999.
« Ce film se déguste comme ces histoires qu'on se raconte, en hiver, au coin du feu. », Studio Magazine, avril 1999.
Box-office
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le film a recueilli 100 940 entrées en France, dont 16 674 à Paris[2].
Distinctions
Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section peuvent être confirmées par le site IMDb.