Paul Gasq est né à Dijon, rue de la Gare, maison Andriot. Il est le fils de Joseph Gasq, employé du chemin de fer et domicilié habituellement au 2, rue de Perrache à Lyon, et de son épouse Ursule Jacotot, sans profession.
Au Salon des Artistes français, il obtient une médaille de seconde classe en 1893, une médaille de première classe en 1896 et la médaille d'honneur en 1911.
Statue en marbre, en collaboration avec Mathurin Moreau et Xavier Schanosky pour la réalisation du piédestal[6]. Le monument est installé au chevet de l'église Saint-Jean place Bossuet en 1921.
Médaillon représentant les époux Grangier, et statue de La Bonté
Médaillon, et statue en marbre, faisant initialement partie du Monument aux époux Grangier inauguré en 1916.
Dijon. Statue installée à l'origine sur la place Grangier, déplacée sur le site du Centre gériatrique de Champmaillot de 1967 à 1983, déposée dans les ateliers municipaux jusqu'en 2009, puis réinstallée à Champmaillot en 2009[8].
Statue en marbre non poli, 245 × 210 cm. Soldat mourant tendant un bras vers la Victoire voilée tenant une couronne de lauriers. Le bras gauche de la Victoire est cassé. « À la mémoire d'Henri Chardon sous-lieutenant au 15e Chasseurs à Pied tué le et en souvenir de tous ceux qui sont tombés à l'aube de la victoire ».
Thann, érigé à l'origine sur l'actuelle place De Lattre de Tassigny, réérigé sur la rue Marsilly, face au pont du musée des Amis de Thann[9].
Haut-relief en pierre. Le Départ est l'une des figures du Monument de la Victoire et du Souvenir réalisé avec trois autres sculpteurs bourguignons : Henri Bouchard, Jean Dampt et Eugène Piron[12].
↑Archives de Paris Acte de décès no 1707 dressé au 17e arrondissement, vue 8 / 31 (le jour de naissance indiqué est erroné, le 31 mars est en réalité celui de la déclaration de l'acte de naissance)
Guillaume Peigné, Dictionnaire des sculpteurs néo-baroques français (1870-1914), Paris, CTHS, coll. « Format no 71 », , 559 p. (ISBN978-2-7355-0780-1, OCLC828238758, BNF43504839), p. 250-256.