Bordée au sud par la rivière Marne et au nord par la départementale 934.
Cette ville est située à 22 km à l'est de Paris, et à 20 minutes en train de la gare de l'Est. Elle est desservie par la gare de Vaires-Torcy sur la ligne P : Ligne Transilien Paris-Est-Meaux via Chelles. C'est à partir de Vaires, un peu à l'est de cette gare, que débute la LGV Est, ligne sur laquelle est atteint le record mondial de vitesse sur rail à 574,8 km/h.
L'altitude de la commune varie de 38 mètres à 52 mètres pour le point le plus haut, le centre de la ville se situant à environ 42 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Hydrographie
La ville de Vaires est bordée au sud par la Marne, qui abrite l'île de Vaires qui, elle-même, abrite la forêt régionale occupant 0,61 km2.
La Marne, longue de 514,26 km[3], principal affluent de la Seine, est navigable en amont de Vaires. Au niveau de Vaires, vers l'aval, elle se divise en, une Marne libre non navigable en raison de la chute de Noisiel (2,5 m de chute environ) et le canal de Chelles, parallèle à la Marne accessible via une écluse et rejoignant la Marne à Neuilly-sur-Marne via Chelles.
La commune est également traversée par le ru de Venante, long de 5,64 km[4] au nord-est et qui se jette dans la Marne.
Le ru de Chantereine, long de 7,38 km, affluent de la Marne touche la commune en bordure sud ouest.
La longueur linéaire globale des cours d'eau sur la commune est de 5,39 km[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 692 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Torcy à 3 km à vol d'oiseau[8], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].
Statistiques 1991-2020 et records TORCY (77) - alt : 43m, lat : 48°51'48"N, lon : 2°39'03"E Records établis sur la période du 01-06-1993 au 03-12-2023
Source : « Fiche 77468001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base
Milieux naturels et biodiversité
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[12].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[13],[Carte 1] :
le « Bois de Vaires-sur-Marne », d'une superficie de 96,63 ha, situé en grande partie dans le secteur aval du bassin versant du ruisseau du Gué de l’Aulnay à proximité de sa confluence avec la Marne et constituant une importante zone humide localisée dans un contexte péri-urbain[14],[15].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Vaires-sur-Marne comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 1],[16],[Carte 2] :
les « Bois de Brou, bois de Vaires et prairies associées » (396,83 ha), couvrant 5 communes du département[17] ;
le « plan d'eau de Vaires-sur-Marne » (182,15 ha), couvrant 2 communes du département[20] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[16], la « vallée de la Marne de Gournay-sur-Marne à Vaires-sur-Marne » (1 336,91 ha), couvrant 9 communes dont 8 en Seine-et-Marne et 1 dans la Seine-Saint-Denis[21].
Carte des ZNIEFF de type 1 de la commune.
Carte des ZNIEFF de type 2 de la commune.
Espace protégé pour la Faune et la Flore sauvage sur l'isthme du Lac de Chelles-Vaires.
Urbanisme
Typologie
Au , Vaires-sur-Marne est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22].
Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[23],[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[24]. Cette aire regroupe 1 929 communes[25],[26].
Occupation des sols
Le territoire de la commune se compose de 38,2 % de zones urbanisées, 23,4 % d’espaces verts artificialisés non agricoles, 13,6 % de zones industrielles commercialisées et réseaux de communication, 12,8 % d’eaux continentales, 12 % de forêts et environ 0,5 % de prairies[5],[27].
Elle comprend le Square Paul-Algis, les Pêcheurs et la ZAC des Pêcheurs, la cité EDF, le bois de Vaires (ou cité de la Gare), le parc de l'Aulnay (immeubles modernistes construits en 1968 par l'architecte Jacques Beufé pour le promoteur Manera S.A.), le Centre-Ville, République et le quartier du Canal.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par la gare de Vaires-Torcy, située au centre de Vaires, et par plusieurs lignes de bus[29].
En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 5 824 dont 43,7 % de maisons et 54,4 % d’appartements.
Parmi ces logements, 94,5 % étaient des résidences principales, 0,8 % des résidences secondaires et 4,6 % des logements vacants.
La part des ménagesfiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 58,5 % contre 39,8 % de locataires[30],[Note 7], dont 23,2 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 8] et, 1,6 % logés gratuitement.
Toponymie
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Le nom de la localité est mentionné sous les formes Vernus et Verninsis terminus vers 700[31] ; Villa Verno en 710[32] ; Ver en 1172[33] ; Variae vers 1190[34] ; Veres en 1249[35] ; Veres en 1337[36] ; Veres en la chastellerie de Montjay en 1365[37] ; Veires en 1407[38] ; Vairez en 1480[39] ; Le fief de Veretz près Laigny en 1542[40].
L’étymologie du nom de la ville est directement liée à sa situation. Vaires provient du nom gaulois de l’aulne, Verne ou Vergne, latinisé en Vernus. Cet arbre typique des régions humides était autrefois très répandu sur le territoire, comme l’attestent les noms de certains lieux (chemin du Gué-de-l’Aulnay, parc de l’Aulnay).
Le nom de Vaires-sur-Marne a été substitué à celui de Vaires par décret du 11 novembre 1911.
Selon le site web de la ville, l'histoire de Vaires « commence, il y a 500 000 ans : des outils en pierre datant de cette époque ont été trouvés sur le territoire de la commune, mais c’est en 710 que l’on trouve la première mention de son nom donné à un domaine rural dépendant alors de Lagny-sur-Marne[41]. »
En mai 1430, Jeanne d'Arc, venant de Lagny-sur-Marne, livre combat aux Bourguignons, commandés par le capitaine Franquet d'Arras (fait prisonnier, Franquet d'Arras sera décapité à Lagny), au lieu-dit la ou les Plaines[42].
En 1916, les autorités militaires françaises décident de construire un camp de permissionnaires sur la ligne Est, à mi-chemin des gares de Chelles et Vaires qui deviendra quelques années plus tard un triage[41]. En 1932, ce triage s’étend sur une superficie de 210 hectares et comprend environ 500 km de voies. Pendant des années, il deviendra l'un des plus actifs de France[41]. En 1944, le triage joue un rôle essentiel dans les communications ferroviaires avec l’Allemagne, mais il subit cinq attaques aériennes en quatre mois provoquant des destructions importantes et de nombreux morts ; à la suite de ces événements, Vaires recevra la croix de guerre en 1948[41]. Vaires-sur-Marne est libéré de l'occupation allemande le 28 août 1944[43].
Au début des années 1960, Vaires voit se construire une centrale thermique à charbon, terminée en 1966[41]. La centrale sera pendant plus de 40 ans « le point culminant de la ville de Vaires-sur-Marne[41]. » Elle est dynamitée le [41].
La mairie de la ville est rénovée entre 1991 et 1992[41].
À la fin 2015, le club d'histoire de la ville lance un appel à renseignements ou témoignages pour connaitre le nom d'un jeune soldat américain, ayant appartenu à la quatrième division d'infanterie, tombé sous l'occupation allemande à l'intersection de l'avenue Henri-Barbusse et de la rue de Paris[44],[43].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[54],[Note 9].
En 2021, la commune comptait 13 518 habitants[Note 10], en évolution de −0,45 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Vaires-sur-Marne possède son propre cinéma, Les Variétés[57].
Équipements sportifs
L'île de loisirs de Vaires-Torcy est implantée au sud de la commune. Le site de Vaires de la base est implanté pour la plus grande partie sur Vaires où se trouve l'entrée principale et pour le reste sur Chelles. Le site de Vaires est construit sur une ancienne gravière, mais qui est, à l'origine, l'une des propriétés agricoles appartenant à la ferme Hubert-Brierre établie dans le Vieux-Vaires.
La base nautique et son stade d'eau vive accueillent les épreuves d'aviron et de canoë-kayak (en ligne et slalom) des Jeux Olympiques d'été de 2024. L'activité nautique a toujours été une vocation de cette ville, puisque bien avant l'édification de la centrale EDF, deux sociétés nautiques très actives (dont celle du TCF) étaient installées sur les berges de la Marne, en face de la sortie de l'écluse et que de nombreux dériveurs y évoluaient pendant la belle saison. Depuis janvier 2016, la base de plein air a fait l'objet d'aménagements afin de devenir le plus grand centre de sport d'eau vive en Europe[58]. Le stade d'eaux vives de Vaires-Torcy, inauguré en 2019, est considéré comme le plus grand site de canoë-kayak au monde[59].
Toujours au sud de la commune, en face de la base nautique, est implanté un complexe sportif. On peut notamment nommer le stade Roger Sauvage, qui abrite l'US Vaires-sur-Marne, ou encore la Bulle de Tennis, qui comme son nom l'indique, regroupe des terrains de tennis[60]. On peut aussi trouver des « City Stades », au nombre de 4 et en accès libre, au square Paul Algis et au Parc de l'Aulnay notamment. Enfin, au Bois de Vaires se trouve un « Parcours de Santé » : circuit composé d'agrès qui permettent des exercices ludiques adaptés à l'âge des utilisateurs.
La salle Olivier-Girault accueille quant à elle le club de handball de l'Union sportive de Vaires. Créé en 1963, le club a su sous l’impulsion de son président fondateur, M. Brodard, devenir un club formateur et une référence au sein de la Seine-et-Marne. En 1989, l'équipe masculine devient le premier club dans un sport collectif à accéder à l'échelon national dans la commune grâce notamment à sa politique de formation, le meilleur exemple étant Olivier Girault, formé au club entre 1990 et 1994 et qui terminera sa carrière de joueur sur l'or olympique à Pékin en 2008 en tant que capitaine de l'équipe de France masculine de handball.
Manifestations culturelles et festivités
La ville de Vaires-sur-Marne a fêté ses cent ans au cours du mois de mai 2008.
Baptisée Vaires-sur-Marne 1908-2008, cette fête a vu plusieurs spectacles retraçant l'histoire de la ville au cours du siècle passé. Un défilé de voitures anciennes a été aussi à l'honneur.
Média et presse
Une page est consacrée à Vaires-sur-Marne dans l'hebdomadaire de presse régional La Marne. De plus un journal d'information de Vaires-sur-Marne intitulé Le Trait d'union (celui-ci succédant à Vaires Info) est distribué aux Vairois. Dix numéros sont publiés dans l'année, mais aussi des numéros spéciaux selon les événements que peut connaître la ville.
En 2017, le nombre total d’emplois dans la zone était de 2 067, occupant 5 669 actifs résidants.
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 67,5 % contre un taux de chômage de 7,9 %.
Les 24,6 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 11,4 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,8 % de retraités ou préretraités et 6,5 % pour les autres inactifs[62].
Entreprises et commerces
En 2017, le nombre d'établissements actifs était de 187 dont 10 dans l’industrie, 26 dans la construction, 130 dans le commerce-transports-services divers et 21 étaient relatifs au secteur administratif[63].
En 2019, 143 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 119individuelles.
Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[64].
Site ferroviaire
Vaires-sur-Marne abrite, en partie, le site ferroviaire de Vaires situé, principalement sur la commune de Chelles et, dans une moindre mesure, Brou-sur-Chantereine, site ayant eu fonction d'une des principales gares de triage et de dépôt de locomotives de France au XXe siècle. Et, comme le furent tour à tour d'autres villes de triage de la couronne parisienne : Creil, Achères, Noisy-le-Sec, Trappes, Villeneuve-Saint-Georges, Juvisy..., Vaires ainsi que la commune voisine de Brou-sur-Chantereine, furent lourdement bombardées à cinq reprises au cours de la Seconde Guerre mondiale. Une des scènes les plus spectaculaires du film Le Train (1964) de John Frankenheimer reconstitue le bombardement des installations de la gare de Vaires. Ce site ferroviaire de Vaires comprend aujourd'hui toutes les installations implantées sur les communes de Le Raincy jusqu'à Dampmart (soit 6 points d'arrêt voyageurs) et également la bifurcation de la LGV EE à destination de la Région Grand-Est.
Centrale électrique
À l'est de la ville, se trouve une centrale électrique exploitée par Électricité de France. À l'origine, le site accueillait une centrale thermique à charbon. Cette centrale a été arrêtée le 18 mars 2005, puis démantelée. Ce démantèlement a débuté le 6 novembre 2006 par la démolition des anciennes cheminées de 120 m de hauteur pour se terminer le samedi 11 décembre 2010 par la destruction par foudroiement de l'imposant bâtiment de l'ancienne centrale.
EDF a conservé le site pour y installer trois unités au fioul à démarrage immédiat (sous 30 minutes), de 185 MW chacune, pour répondre aux pics de consommation électrique (moins de 500 heures annuelles sur quelques semaines par an). Les deux premières unités ont été mises en service pour l'hiver 2008-2009. L'approvisionnement en fioul est assuré par rail via l’embranchement particulier de la centrale. Ces unités sont raccordées au réseau public de transport électrique haute tension (HTB) de RTE par les deux lignes Vaires-Villevaudé à 225 000 volts qui raccordaient l'ancienne centrale.
Le , la centrale thermique (15 000 tonnes) est détruite par 280 kg de tir explosif[41],[65]. Elle est remplacée par de nouvelles turbines à combustion qui fournissent de l’électricité en complément du réseau national pendant les hivers rudes[41]. Le réaménagement du site permet notamment : la suppression de six pylônes électriques, le remplacement des cheminées de 120 m par des cheminées de 40 m de hauteur, et le remplacement d'un imposant bâtiment par des bâtiments de plus faible hauteur.
Ancienne église Sainte-Agathe de Vaires-sur-Marne, attestée au XIIIe siècle, désaffectée dès 1840, détruite vers le début du XXe siècle[67].
Personnalités liées à la commune
La chanteuse Berthe Sylva eut une maison de campagne à Vaires-sur-Marne[68].
Georges Carpentier (1894-1975), champion du monde de boxe, est enterré à Vaires-sur-Marne (ancien cimetière).
Olivier Girault (1973-), joueur de handball, a débuté au club de handball de Vaires-sur-Marne. Une des salles du Cosec porte son nom.
Michel Modo (1937-2008), acteur apparaissant souvent dans les films de Louis de Funès, avec son acolyte Guy Grosso, puis très actif dans le doublage, vivait et est mort à Vaires-sur-Marne.
Marie Jorand, infirmière assistante-sociale à Vaires avant la guerre, membre d'un réseau de renseignement allié à partir de 1942. Elle fut arrêtée et déportée à Ravensbrück en 1944. Elle meurt en juin 1947 des suites de sa déportation[69]. Son nom a été donné à une école maternelle de la commune.
Jean-Claude Petit, pianiste, compositeur et arrangeur, césarisé en 1991 pour la musique de Cyrano, est né le 14 novembre 1943 à Vaires-sur-Marne.
Pascale Petit, actrice, a vécu son enfance à Vaires où ses parents s'y sont mariés en 1934.
Dans les arts
La scène spectaculaire du bombardement aérien de la gare de triage du film Le Train de 1964, avec Burt Lancaster, est tournée à Vaires.
Le tournage du film Tomboy de Céline Sciamma a lieu à Vaires-sur-Marne, dans deux décors, une forêt et un appartement, pendant vingt jours en août 2010, avec une équipe réduite de quatorze personnes.
Le poète mexicain Cypriano Brassar livra de nombreuses réflexions liant Vaires-sur-Marne à son village natal dans son recueil de poésie Pinche Carbon[réf. nécessaire].
Héraldique
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : échiqueté d’argent et d’azur de huit tires, chaussé vairé d’or et de gueules.
Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN2-84234-100-7), « Vaires-sur-Marne », p. 275–276
Livres sur l'histoire de Vaires-sur-Marne édités par Lys Éditions Amatteis (Dammarie-les-Lys) rédigés par le club d'histoire du collège René Goscinny, juin 1985, 364 pages.
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
↑Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Paris comprend une ville-centre et 406 communes de banlieue.
↑Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
↑En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Le nom de l'ancien maire de Brou,Victor-Thiébaut, héritier des célèbres fonderies de bronze artistique (Fonderies Victor Thiébaut),n'a été donné à cette voie qu'après son décès en 1963
↑Matthieu Beigbeder, « Paul Miguel : « À terme, l’idée est de former une communauté à cinq », Le Journal du Grand Paris, (lejournaldugrandparis.fr/paul-miguel-a-terme-lidee-de-former-communaute-a-cinq/).
↑H. D., « Vaires-sur-Marne : le maire Jean-Pierre Noyelles (LR) démissionne », Le Parisien, édition de Seine-et-Oise, , Ravi par la gauche, en 2001, après des décennies de gouvernance de droite, Vaires-sur-Marne a largement choisi l’alternance. La maire socialiste sortante Danièle Querci a été battue, dimanche, par son rival de l’UMP, Jean-Pierre Noyelles.
Ancien conseiller municipal d’opposition, âgé de 63 ans, il a capitalisé sur son nom près de 60 % des suffrages et « est arrivé en tête dans tous les bureaux de vote », assure-t-il (lire en ligne, consulté le ).