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Vytautas Mačernis est un poète lituanien né à Šarnelė le 5 juin 1921.
Biographie
Ses parents possédaient une ferme dans le village et avaient des vaches et des moutons. Son père était un chasseur qui est mort prématurément tué par un taureau quand le jeune Vytautas avait seulement 17 ans. Il est le deuxième enfant d'une fratrie de 13 enfants (dont 6 sont décédés en bas âge). Selon lui, il fut élevé principalement par sa grand-mère car sa mère fut désintéressée de lui, car elle espérait une fille après son premier fils. Ainsi , il fut très proche de sa grand-mère qui a eu une grande influence sur lui. Elle décèdera en 1934[1].
En 1939, il étudie la langue et la littérature anglaises à la Faculté de théologie et de philosophie de l'Université Vytautas le Grand. En 1940, il est transféré à la Faculté des sciences humaines de l'Université de Vilnius pour étudier la littérature et la langue anglaises. En 1943, l'université sera fermée par les autorités d'occupation allemandes, à la suite de quoi il rentrera en Samogitie. Il fut tué à Žemaičių Kalvarija le 7 octobre 1943 par un éclat d'obus[2].
Œuvres
Il publia ses premiers poèmes en 1936 dans la revue "Ateities Spinduliai" (Rayons d'avenir). Vytautas Mačernis est le plus jeune poète lituanien. Son œuvre se caractérise par la mondanité de l'existentialisme, selon laquelle le monde qui entoure l'homme est hostile, gris et l'individu est condamné à la lutte, à la souffrance et à la mort.
Sa poésie circulait en Lituanie sous forme de manuscrits et de transcriptions avant même sa mort et a influencé d'autres poètes. Jusqu'en 1970, la publication de la poésie de V. Mačernis était interdite en Lituanie[2].
Le seul recueil de poèmes qu'il a terminé est "„Vizijos“ (Vision) composé de 1939 à 1942. Toutes ses autres œuvres furent publiées après sa mort [3]
Bibliographie
"Vizijos“, Par le Comité central lituanien en Italie, Rome 1947
"Poezija", Chicago 1961
"Žmogaus apnuoginta širdis" ("L'homme au cœur nu"), 1970