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Calendrier de Coligny

Calendrier de Coligny
Calendrier de Coligny,Musée Lugdunum à Lyon.
Calendrier de Coligny,
Musée Lugdunum à Lyon.
Période IIe siècle
Culture gauloise
Date de découverte novembre 1897
Lieu de découverte Coligny, France
Coordonnées 46° 22′ 59″ nord, 5° 20′ 46″ est
Conservation Musée gallo-romain de Fourvière
Géolocalisation sur la carte : France

Le calendrier de Coligny, ou « calendrier gaulois », est une grande table de bronze trouvée en morceaux à Coligny, dans l'Ain, en France, et datée du IIe siècle. Sa reconstitution a révélé qu'il s'agit d'un calendrier servant à fixer les dates des fêtes religieuses ainsi que les jours fastes et néfastes. Il est exposé au Lugdunum, le musée des antiquités gallo-romaines de Lyon.

C'est une source épigraphique capitale pour la connaissance de l’Antiquité celtique, qui renseigne sur la conception que les Celtes avaient du temps, leurs connaissances en astronomie et la tradition druidique[1]. Plus long texte écrit en gaulois qui nous soit parvenu, c'est aussi un document linguistique qui contribue à la connaissance du vocabulaire de cette langue.

Découverte

Le dieu à taille d'homme trouvé avec le calendrier et reconstitué par A. André.

En novembre 1897, au lieu-dit « Verpoix » sur la commune de Coligny dans l’Ain, le long de l'antique route de Lugdunum à Lons-le-Saunier à un peu plus de vingt kilomètres au nord de Bourg-en-Bresse, Alphonse Roux, un agriculteur, trouve dans un champ qu'il est en train de miner[2], ce qui ressemble au contenu d'une hotte dont les fibres ont été dissoutes par le temps. Ce sont 550 fragments de bronze enfouis à une trentaine de centimètres sous terre[2].

Le travail d’assemblage mené par Paul Dissard, conservateur des Musées de Lyon qui en font l'acquisition[2], révèle qu’il s’agit de deux objets distincts :

  • une statue[3] gallo-romaine[4] d'un mètre soixante dix[5] fondue entre la fin du Ier siècle av. J.-C. et le début du IIe siècle apr. J.-C.[6] (environ 400 pièces),
  • un calendrier dont il manque environ la moitié (149 pièces, dont 126 portent une inscription[7]).

La statue en bronze représente un dieu[2] nu, glabre et chevelu, levant une main droite[8] qui devait tenir une lance[4]. Un hypothétique casque disparu l'identifie[4] à Mars[6], possible avatar du dieu à la lance Lug, la divinité éponyme de la ville de Lyon que le Livre de Leinster qualifie « d'au long bras » (Láṁḟada). Sa destruction et celle du calendrier sont rapprochées d'une razzia conduite par Chrocus en 275[6].

Les fouilles récentes menées sur les lieux n'ont pas permis de retrouver d'autres fragments. Pour éviter des fouilles sauvages, la zone a été classée. Le calendrier et la statue sont exposés au Musée gallo-romain de Fourvière. Une reconstitution à l'identique du calendrier est visible à la mairie de Coligny.

Présentation

Fac-similé du calendrier de Coligny publié par Seymour de Ricci en 1926.

Reconstitué par Paul Dissard en une quinzaine de jours[7], le calendrier se présente sous la forme d’une table aux dimensions de 1,48 m sur 0,90 m[9], les cent quarante neuf fragments assemblés couvrant moins des deux tiers de la surface totale.

Graphiquement, le calendrier s'organise en 16 colonnes de 8 blocs quinzaines, représentant 62 mois, et non 64. En effet, chaque colonne contient 4 mois sauf la première et la neuvième qui n'en contiennent que 3 : ce sont en effet les deux mois intercalaires, qui occupent, dans la moitié haute de la table, un espace double des mois normaux[10].

Calendrier de Coligny (reconstitué).

Comme sur d'autres calendriers trouvés à Rome, à chaque jour correspond un trou, où l’on place une goupille pour indiquer la date du jour[2]. Au-delà de ce constat, le calendrier pose des questions, en particulier sur sa fonction, perpétuelle ou pas, son utilisation éventuelle à des fins civiles inconnues, questions qui restent sans réponses[11], mais son caractère druidique est indéniable[Passage contradictoire][12].

Les lettres et chiffres sont gravés en caractères latins, mais la langue est gauloise. Le document comporte environ 2 000 mots, avec environ 130 lignes par colonne, soit environ 2200 cellules : c'est le plus long connu en cette langue. L'étude apporte une soixantaine de mots nouveaux dont le sens, basé essentiellement sur la philologie comparée aux langues gaéliques, reste très incertain en l'état actuel des connaissances.

60 mois lunaires plus 2 pour 5 années solaires

Détail du calendrier de Coligny :
le mois (mid) de Samonios.

Les douze mois de l'année

C’est un calendrier luni-solaire, semblable à tous les calendriers protohistoriques des zones tempérées, depuis la Chine jusqu'à Rome[13], qui présente un cycle de 5 années[9] de 12 mois de 29 ou 30 jours, chaque mois étant divisé en deux quinzaines[2]. On remarque que les mois de 29 jours sont notés « anmatu » et que les mois notés « matu » sont de 30 jours.

Les noms des douze mois avec leur durée et leur attribut seraient :

  • Samonios (30 jours, matu), été (irlandais Samain « Toussaint », sámhradh « été », breton hañv) au sens téléologique de terme, résumé ou bilan de la saison estivale[14]
  • Dumannios (29 jours, anmatu), peut-être fumigation (moyen irlandais dumacha « brouillard »)
  • Riuros (30 jours, matu), gelées (cf. irl. reo, gallois rhew, bret. reviñ)
  • Anagantios (29 jours, anmatu), protection[15], peut-être au sens de bénédiction
  • Ogronios (30 jours, matu), frimas[15] (cf. vieil irlandais úar, gall. oer)
  • Cutios (30 jours, matu), sans doute un emprunt au mois grec Kooútios (nom régional de Chaléion)
  • Giamonios (29 jours, anmatu), hiver[15] (cf. v.irl. gaim, geimred, bret. goañv) au sens téléologique de terme de la saison hivernale[14]
  • Simi Visonnios (30 jours, matu), mi-printemps[15] (cf. gall. gwanwyn « printemps », cornique gwenton) au sens de milieu de la belle saison
  • Equos (30 jours, matu), peut-être une forme dialectale séquanaise archaïsante[16] d'epos « cheval » en référence au poulinage
  • Elembivios (29 jours, anmatu), peut-être en rapport avec les cerfs, sans doute un emprunt au grec attique Eláphios, Elaphebolión
  • Aedrinios (30 jours, matu), peut-être ardeurs ou flamboyance (cf. v.irl. áed « feu », gall. aidd « ardeur », bret. oaz « jalousie, inimitié »)[14]
  • Cantlos (29 jours, anmatu), chant[15] (cf. gall. cathl « chant », bret. keñtel « leçon »), peut-être au sens de célébrations bardiques

Deux mois intercalaires par lustre

S'y ajoutent deux mois[2] intercalaires[9], dont nous ignorons les noms exacts, leurs en-têtes n'ayant pu être reconstitués complètement :

  • Qvimon (d'après le dernier mot de son en-tête) entre Cantlos et Samonios (30 jours, matu)
  • Ciallos (d'après le premier mot de son en-tête) entre Cvtios et Giamonios (30 jours, matu)

L’ajout d'un mois intercalaire au début de la première année, et d'un second au milieu de la troisième, soit en fait un tous les deux ans et demi, aboutit au terme d’une période de trente ans, période qui correspond à un « siècle » gaulois de six lustres romains, à un nouveau décalage entre le calendrier lunaire et le calendrier solaire. On compte en effet par rapport à l'année tropique un retard de 4,789 jours par lustre de 5 ans (5x365,2422 - 1831), qui aboutissent à un écart de 28,734 jours par « siècle » de 30 ans. Le siècle gaulois pourrait alors se marquer par l'absence d'un de ces deux mois intercalaires[17] pour rétablir l'alignement avec les saisons, ce qui s'accorderait avec l'inscription sonnocingos — traduite par « course du soleil », composée de sonno « Soleil » (cf. gall. huan) et cing- « courir, marcher » (cf. v.irl. cingid « il marche », racine retrouvée dans « Vercingétorix ») — sur le second mois intercalaire.

Ainsi, pour un lustre d'un nombre de jours toujours identique, les années, elles, ne comptent pas le même nombre de jours.

Alternances propitiatoires

Les mots « matu » (issu du celtique *matos, breton mad) et « anmatu » (*an, marque du contraire) indiquent certainement les périodes (jours et mois) fastes et néfastes. Le mois d'Eqvos, noté « anmatv », rompt la régularité de l'alternance. Les fragments sur lesquels étaient inscrits trois des cinq occurrences de ce mois n'ont pas été retrouvés. Sur les deux qui l'ont été (années 1 et 5), Eqvos compte 30 jours. Comme, pour la troisième année, où le fragment portant Eqvos manque, l'en-tête du mois intercalaire évoque une durée de 385 jours, on conclut que cette troisième occurrence d'Eqvos compte également 30 jours.

Le mystère de cette apparente irrégularité trouve une explication avec l'hypothèse émise en 1924 par l'Irlandais Eoin Mac Neill qu'Eqvos ne compte habituellement que 28 jours, en particulier pour la deuxième et la quatrième année dont on ne possède pas l'inscription[18]. Une série de notations de jours (« ivos ») comptent en effet un nombre variable de jours, de 5 à 9. Or ce « ivos » est allongé de 2 jours la seconde année autour du mois « Eqvos » incomplet[19]. Ce comput aurait l'avantage de donner un lustre de 1831 jours, très proche des 62 lunaisons de 1830,89 jours.

Le nycthémère gaulois, appelé « latis » (pluriel « lates »), se compose d’une nuit suivie d’un jour, et non l'inverse. Le changement de date intervient au coucher du soleil.

Les mois sont divisés en deux quinzaines numérotant les jours de un à quinze, ou quatorze pour la seconde. Chaque quinzaine est séparée par le mot « atenoux », qui a été envisagé comme un « ateno VX », au sens de nouvelle quinzaine (en breton, gallois et irlandais quinze, XV, se dit cinq dix, VX)[20] ; cependant la numérotation du dernier jour de chaque quinzaine est notée "XV". Ce mot a d'abord été compris comme désignant la pleine lune[21], mais Pline l'Ancien[22] indique que les Gaulois démarrent leur mois le sixième jour de la lune montante, ce qui correspond au premier quartier. Étant situé quinze jours plus tard, "atenoux" indiquerait donc le dernier quartier et le passage à la moitié "obscure" du temps.

Les mois de vingt-neuf jours se terminent par une indication « divertomv » qui signifie peut être sans ultime, sous entendu sans jour ultime[20]. Deux indications récurrentes, « prinni lovdin » et « prinni laget », semblent donner les dates de lancer et de dépose des dés pour le tirage des sorts[20].

Rémanence des fêtes

La fête de Samain, Samonios en gaulois ou Trinox samoni (les « Trois nuits de Samonios »[23]), se passe lors des trois premières nuits de la deuxième quinzaine du mois (en 2015 donc lors des nuits du 4 au 5 novembre, du 5 au 6 et du 6 au 7), marque le début de l’année gauloise. Tous les cinq ans donc, ce temps de passage d'une année à l'autre est précédé du mois intercalaire Qvimon.

Cette identification de Samain sur le calendrier de Coligny autorise d'y projeter aux jours notés « ivos » les autres fêtes traditionnelles[24], celles dont les moines irlandais ont transmis le souvenir dans leurs efforts de christianisation, Beltaine[25], Imbolc[26], Lugnasad[26], aussi bien que celles dont les ethnologues ont retrouvé les traces, Eginane (« Au gui l'an neuf! »[27]), douze jours suivant le solstice d'hiver[14], ou Calan haf au premier mai[25]. Cependant, le calendrier de Coligny démontre que c'est une erreur de vouloir fixer les dates de ces fêtes sur le calendrier solaire. Parce que calculées à partir de cycles lunaires, elles y étaient mobiles, comme l'est Pâques. Ces fêtes perdurent en de multiples rituels et conceptions traditionnels pratiqués dans toute l'Europe occidentale[26].

La troménie de Locronan n'est pas le moindre exemple d'une christianisation d'un rituel fixé par un calendrier semblable à celui de Coligny. Son déroulement sextennal lui-même est une projection, dans un paysage composé d'une vallée ombrée et d'un coteau situé au midi, de la représentation résumée du cycle alterné de l'année luni-solaire telle que la décrit le calendrier de Coligny[28]. Sur le parcours suivi par les pèlerins durant la troménie, chaque station correspond à un des mois et chacun des quatre virages de l'itinéraire à un « ivos »[28].

Signes triples

À plusieurs endroits du calendrier figurent des marques constituées de trois traits verticaux, dont l'un, plus long que les deux autres, est barré. Ces triples hastes surviennent généralement, mais pas toujours, sur trois jours continus et, dans ce cas, le grand trait se décale d'une position chaque jour.

Leur signification est inconnue mais elles notent vraisemblablement un évènement, fête ou cérémonie, dont la date se décale d'un lustre à l'autre. Trois lustres faisant un « demi-siècle » (soit une période de quinze ans), il est possible[29] que les évènements notés par ces triples hastes aient servi également de repère pour l'année en cours dans le « siècle » gaulois, de la même façon qu'un eqvos de trente jours ou qu'un un mois intercalaire permettent de situer l'année dans le lustre. Cette hypothèse expliquerait l'existence avérée d'une triple haste isolée : elle marquerait un évènement unique par « demi-siècle », voire par « siècle », comme le calendrier romain comptait des fêtes séculaires.

Datation

Une pierre calendaire de Knowth montre l'héritage néolithique du comput de Coligny.

La graphie latine et les artefacts trouvés alentour indiquent un contexte gallo-romain de la fin du IIe siècle apr. J.-C., époque retenue pour dater la fabrication du calendrier. Cette date tardive est corroborée par la répugnance des druides à consigner leur savoir par écrit. La contextualisation archéologique à partir d'autres fragments de calendriers (sites du lac d'Antre sur la commune de Villards-d'Héria, d'Andésine, de Bibracte)[30] révèle la résilience des conceptions religieuses celtiques dans la Gaule romaine[30]. La grande similarité des deux calendriers a été établie dès 1898 par Antoine Héron de Villefosse[31].

La complexité du calendrier [32]dénote de bonnes connaissances astronomiques, ainsi qu’une lente élaboration, probablement en plusieurs phases[33]. Le rapprochement avec une gravure du tumulus de Knowth en Irlande, daté de -2500 à -2200, renvoie à des concepts très antérieurs à la civilisation celtique de La Tène, à savoir une alternance de mois lunaires de vingt-neuf et trente jours répartis en deux quinzaines centrées sur les trois jours de la nouvelle lune et un cycle lustral de cinq années[30].

Étapes du déchiffrement

Jusqu'aux années 1920

Dès sa découverte en 1897, le calendrier de Coligny est reconstitué par Paul Dissard, conservateur de musée. C'est à lui que revient la première publication sur ce sujet : Compte-rendu à l'Académie des inscriptions et belles-lettres, tome XXV (1897) et XXVI (1898).

Cette première publication fait connaître le calendrier aux spécialistes de la langue et de la civilisation celtiques. Plusieurs parutions suivront :

  • Seymour de Ricci, Revue celtique, tome XIX (1898), et tome XXI (1900).
  • Émile Espérandieu, Fac-similé du calendrier, publié dans la Revue celtique, tome XXI (1900).
  • Nicholson, Zeitschrift für Celtische Philologie, 1901.
  • Joseph Loth, Compte-rendu à l'Académie des Inscriptions et Belles Lettres, 1904.
  • Joseph Loth, Revue celtique, tome XXV (1904).

De 1920 aux années 1970

L'année 1920 voit la première transcription complète des inscriptions figurant sur le calendrier. C'est Georges Dottin qui la publie dans La langue gauloise (Paris, Klincksieck, 1920).

Plusieurs chercheurs vont alors tenter l'élucidation complète de ce calendrier : sur le plan de la langue, sur le plan historique, et sur le plan astronomique :

  • Françoise Le Roux, Le calendrier gaulois de Coligny et la fête irlandaise de Samain (Samonios), Ogam IX (1957).

De 1970 au XXIe siècle

Les années 1970 et suivantes voient une nouvelle reprise de l'approche scientifique. Il faut noter les travaux de plusieurs chercheurs :

  • Paul-Marie Duval : Observations sur le calendrier de Coligny, in Hommages à Albert Grenier, Latomus, tome LVIII (1962).
  • Christian-J. Guyonvarc'h, Françoise Le Roux et Georges Pinault, Le calendrier gaulois de Coligny, Ogam XIII.
  • Georges Pinault, qui a travaillé avec les deux précédents : P.-M. Duval et G. Pinault, Les calendriers (Coligny, Villards d'Héria). Recueil des Inscriptions gauloises, volume III, CNRS, 1988.
  • Pierre-Yves LambertUn calendrier gaulois, in La langue gauloise, Errance, 1997.
  • Jean-Michel Le Contel et P. Verdier : Un calendrier celtique, le calendrier gaulois de Coligny, éditions Errance, 1998.

Les travaux de ces chercheurs se recoupent malgré quelques divergences. Ces études de base ont récemment servi à des publications en langues étrangères, et à des reconstitutions qui se veulent définitives :

  • Hans-Rudolf Hitz : Der gallo-lateinische Mond- und Sonnen-Kalender von Coligny, 1991.
  • Garrett S. Olmsted : The Gaulish calendar, 1992.
  • Annemarie Bernecker : Der galloroemische Tempelkalender von Coligny, 1998.
  • Garrett S. Olmsted : A definitive reconstructed text of the Coligny calendar, 2001.
  • Adolfo Zavaroni : On the structure and terminology of the Gaulish Calendar, 2007.

Récupération astrologique

Les recherches scientifiques menées sur le calendrier de Coligny ont donné prise à la récupération de ces données par différentes associations astrologiques et mouvements néo-druidiques[34]. Certains ont tenté de mettre à jour ce calendrier, et de s'en servir pour renommer les jours et mois du XXIe siècle. Quoi qu'il en soit de cette récupération, cela ne remet pas en cause les travaux scientifiques sur lesquels elle prétend s'appuyer.

Annexes

Bibliographie

Présentations et études du calendrier
Le calendrier dans la mythologie celtique

Sources

  1. P.M. Duval et G. Pinault, Les calendriers (Coligny, Villars d'Héria). Recueil des Inscriptions gauloises, vol. III, CNRS, Paris, 1988.
  2. a b c d e f et g A. Héron de Villefosse, cité in Séance du 17 décembre 1897, in Comptes rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, 41e année, n° 6, pp. 703-705, Paris, 1897.
  3. Photographie in Ch. Picard, Le bronze de Coligny, op. cité infra, p. 11.
  4. a b et c Ch. Picard, Le bronze de Coligny, in L. Rosenthal, "Florilège des musées" du Palais des Arts de Lyon, p. 10, Mairie de Lyon, [s.d.] (1920<>1932).
  5. Ch. Picard, Le bronze de Coligny, in L. Rosenthal, "Florilège des musées" du Palais des Arts de Lyon, p. 9, Mairie de Lyon, [s.d.] (1920<>1932).
  6. a b et c Joseph Buche, Le Mars de Coligny (Musée de Lyon), in Monunments et Mémoires de la Fondation Eugène Piot, X, pp. 61-90, Académie des inscriptions et belles-lettres, Paris, 1904, en ligne sur Persée.
  7. a et b A. Héron de Villefosse, cité in Séance du 29 décembre 1897, in Comptes rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, 41e année, n° 6, pp. 730-732, Paris, 1897 (comprend une reproduction du calendrier).
  8. A. Héron de Villefosse, cité in Séance du 24 octobre 1902, in Comptes rendus des séances de l'Académie des inscriptions et belles-lettres, 46e année, n° 5, p. 550, Paris, 1902.
  9. a b et c A. Allmer & P. Dissard, Inscriptions antiques de Lyon n° 87, I, Musée des beaux-arts de Lyon, Lyon, 1898.
  10. Jean Lefort, La saga des calendriers, Paris, Belin, coll. « Pour la science », , 192 p. (ISBN 2-84245-003-5), p. 172-178
  11. D. Laurent, [ Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique.], p. 5, Agence Bretagne Presse, Pouldreuzic, novembre 2007.
  12. P.-Y. Lambert, Un calendrier gaulois, in La langue gauloise, p. 115, Errance, 1997 (ISBN 2-87772-089-6).
  13. D. Laurent, Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique., p. 8 & p. 9-10, Agence Bretagne Presse, Pouldreuzic, novembre 2007.
  14. a b c et d C. Lainé Kerjean, in Zeitschrift für keltische Philologie und Volksforschung n° 23, pp. 249-284, université Frédéric-Guillaume, Berlin, 1943.
  15. a b c d et e P.-Y. Lambert, Un calendrier gaulois, in La langue gauloise, p. 110, Errance, 1997 (ISBN 2-87772-089-6).
  16. P.-Y. Lambert, Un calendrier gaulois, in La langue gauloise, p. 111, Errance, 1997 (ISBN 2-87772-089-6).
  17. Keltia Magazine
  18. E. Mac Neill, On the Notation and Chronology of the Calendar of Coligny, Ériu n° X, pp. 1-67, Académie royale d’Irlande, Dublin, 1928.
  19. Eóin MacNeill, « On the Notation and Chronology of the Calendar of Coligny », Ériu, no 10,‎ 1926-1928, p. 1-67.
  20. a b et c P.-Y. Lambert, Un calendrier gaulois, in La langue gauloise, p. 112, Errance, 1997 (ISBN 2-87772-089-6).
  21. Francisco Marco Simon, « Entre chaque période de quinze jours des mois du calendrier de Coligny, le mot atenoux est inscrit (interprété comme renaissance ou la nuit qui revient) ; atenoux indique la nuit de la pleine lune, l'équivalent du romain idus », Celtic Ritualism from the (Graeco)-Roman Point of View, in Rites et croyances dans les religions du monde romain ; Huit exposés suivis de discussions, Vandoeuvres, Fondation Hardt, coll. « Entretiens sur l'Antiquité classique LIII », , 329 p. (ISBN 978-2-600-00753-5, lire en ligne), p. 174).
  22. Histoire Naturelle, XVI, 249-251, trad. Jacques André, 1962, Paris, Les Belles Lettres.
  23. Christian-J. Guyonvarc'h, Françoise Le Roux, Les druides, Ouest-France Université, 1986, p. 448.
  24. D. Laurent, Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique., pp. 5-6, Agence Bretagne Presse, Pouldreuzic, novembre 2007.
  25. a et b D. Laurent, Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique., p. 8, Agence Bretagne Presse, Pouldreuzic, novembre 2007.
  26. a b et c D. Laurent, Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique., p. 7, Agence Bretagne Presse, Pouldreuzic, novembre 2007.
  27. Th. Hersart de la Villemarqué, La tournée de l'Aguilaneuf, in Barzaz Breiz, II, 7, note p. 452, Librairie académique Perrin, Paris, 1963.
  28. a et b D. Laurent, Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique., pp. 8 & 9, Agence Bretagne Presse, Pouldreuzic, novembre 2007.
  29. Grégory Luguet, La société gauloise (Keltia Magazine), Éditions du Nemeton, (ISSN 1779-2126).
  30. a b et c D. Laurent, Le calendrier celtique de la table de Coligny aux traditions des pays de langue celtique., p. 15, Agence Bretagne Presse, Pouldreuzic, novembre 2007.
  31. Antoine Héron de Villefosse, « Le calendrier du lac d'Antre », Comptes-rendus des séances de l année - Académie des inscriptions et belles-lettres, vol. 42, no 2,‎ , p. 264–272 (DOI 10.3406/crai.1898.71173, lire en ligne, consulté le )
  32. « "Les Celtes" (le calendrier de Coligny expliqué dès 16:51 au compteur) », sur YouTube (consulté le ).
  33. http://www.david-romeuf.fr/Archeologie/CalendrierGaulois/SyntheseRestitutionsCalendrierGaulois.html
  34. Le calendrier celtique de Coligny in F. Dupuy-Pacherand & G.A. Mathis, Atlantis no 247 Les calendriers Luni-solaires antiques, août 1968.

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Mammal belonging to the deer family of ruminants Alces redirects here. For other uses, see Moose (disambiguation) and Alces (disambiguation). Not to be confused with Mousse. MooseTemporal range: Late Pleistocene–Recent PreꞒ Ꞓ O S D C P T J K Pg N ↓ A bull (male) moose in Alaska, US A cow (female) moose in Alaska, US Conservation status Least Concern  (IUCN 3.1)[1] Scientific classification Domain: Eukaryota Kingdom: Animalia Phylum: Chordata Class: Mammalia Order: Artiod…

Radio station in Fredericksburg, Texas For the FM radio station in Fredericksburg, Texas, United States, see KNAF-FM. KNAFFredericksburg, TexasBroadcast areaKerrville-FredericksburgFrequency910 kHzBrandingAM COUNTRY 910 AMProgrammingFormatCountryLive SportsOwnershipOwnerJ. & J. Fritz Media, Ltd.Sister stationsKFAN-FM, KNAF-FMHistoryFirst air date1983Technical informationFacility ID22670ClassDPower1,000 watts day174 watts nightTransmitter coordinates30°17′12″N 98°52′58″W / &…

For other uses, see Sagebrush (disambiguation). Not to be confused with sage plants, in the genus Salvia. Artemisia tridentata (big sagebrush) Leaves and flowers of Artemisia tridentata Artemisia pygmaea Sagebrush is the common name of several woody and herbaceous species of plants in the genus Artemisia. The best known sagebrush is the shrub Artemisia tridentata. Sagebrushes are native to the North American west. Following is an alphabetical list of common names for various species of the genus…

العلاقات الأوزبكستانية الأوكرانية أوزبكستان أوكرانيا   أوزبكستان   أوكرانيا تعديل مصدري - تعديل   العلاقات الأوزبكستانية الأوكرانية هي العلاقات الثنائية التي تجمع بين أوزبكستان وأوكرانيا.[1][2][3][4][5] مقارنة بين البلدين هذه مقارنة عامة ومرجع…

Artikel ini sebatang kara, artinya tidak ada artikel lain yang memiliki pranala balik ke halaman ini.Bantulah menambah pranala ke artikel ini dari artikel yang berhubungan atau coba peralatan pencari pranala.Tag ini diberikan pada Oktober 2022. BaeksukTempat asalKoreaBahan utamaDaging (termasuk ikan dan daging unggas)Sunting kotak info • L • BBantuan penggunaan templat ini  Media: Baeksuk Nama KoreaHangul백숙 Hanja白熟 Alih AksarabaeksukMcCune–ReischauerpaeksukIPA[p…

Artikel ini sebatang kara, artinya tidak ada artikel lain yang memiliki pranala balik ke halaman ini.Bantulah menambah pranala ke artikel ini dari artikel yang berhubungan atau coba peralatan pencari pranala.Tag ini diberikan pada Februari 2023. Komunikasi tempat kerja merupakan bentuk pertukaran informasi dan ide verbal dan non-verbal antara satu orang/kelompok dan orang atau kelompok lain dalam suatu organisasi. Ini termasuk email, pesan teks, catatan, panggilan telepon, dan banyak lagi. Komun…

Lighthouse in Michigan, United States LighthouseFrankfort Light Frankfort North Breakwater Lighthouse.LocationFrankfort, MichiganCoordinates44°37′50″N 86°15′08″W / 44.6306°N 86.2522°W / 44.6306; -86.2522TowerFoundationTwo-story metal over breakwaterConstructionSteel clad frameHeight67 feet (20 m)ShapePyramidal towerMarkingsWhite with Black markings, Parapet and LanternHeritageNational Register of Historic Places listed place LightFirst lit1873Foc…

United States army general (1888–1980) Not to be confused with William Simpson (portrait artist). William Hood SimpsonGeneral William Hood Simpson in 1959.Nickname(s)Big Simp[1]Born(1888-05-18)May 18, 1888Weatherford, Texas, United StatesDiedAugust 15, 1980(1980-08-15) (aged 92)San Antonio, Texas, United StatesBuriedArlington National Cemetery, Virginia, United StatesAllegiance United StatesService/branch United States ArmyYears of service1909–1946Rank GeneralServ…

U.S. Bureau of Land Management map showing the principal meridians of Louisiana, Mississippi, and Alabama The Huntsville meridian begins on the northern boundary of Alabama, in latitude 34° 59′ 27 north, longitude 86° 34′ 16″ west[1] from Greenwich, extends south to latitude 33° 06′ 20″ north, and governs the surveys in the northern district of Alabama. Within the city of Huntsville, Alabama, Meridian Street coincides with the Huntsville Meridian for most of its length north…

Strictly DynamiteJimmy Durante, Lupe Vélez dan Mills Brothers dalam sebuah cuplikan dari film tersebut.SutradaraElliott Nugent (tak disebutkan)ProduserPandro S. Berman (produser eksekutif)Ditulis olehJack HarveySinematograferEdward CronjagerPenyuntingGeorge CroneDistributorRKO Radio PicturesTanggal rilis 11 Mei 1934 (1934-05-11) Durasi71 menitNegaraAmerika SerikatBahasaInggris Strictly Dynamite adalah sebuah film Hollywood Pre-Code Amerika Serikat tahun 1934 garapan Elliott Nugent. Film te…

PurbayanDesaKantor Desa PurbayanPeta lokasi Desa PurbayanNegara IndonesiaProvinsiJawa TengahKabupatenSukoharjoKecamatanBakiKode pos57556Kode Kemendagri33.11.10.2014 Luas... km²Jumlah penduduk... jiwaKepadatan... jiwa/km² Purbayan adalah desa di kecamatan Baki, Sukoharjo, Jawa Tengah, Indonesia. Pembagian wilayah Desa Purbayan terdiri dari dukuh: Botoijo Krasiyan Kudurejo Ngawen Pandeyan Purbayan Sawahan Sawahan Baru Tegalrejo Tempel Perumahan Di dalam Desa Purbayan terdapat beberapa perum…

MunduDesaNegara IndonesiaProvinsiJawa TengahKabupatenKlatenKecamatanTulungKode pos57482Kode Kemendagri33.10.19.2001 Luas21,3480 haJumlah penduduk3.315 jiwaKepadatan... jiwa/km² Mundu (Jawa: Mundhu) adalah desa di kecamatan Tulung, Klaten, Jawa Tengah, Indonesia. Desa ini dibagi menjadi dua wilayah kebayanan (kadus) dan terdiri atas sembilan belas padukuhan yang terbagi dalam 9 RW dan 24 RT. Asal Usul Nama Desa Mundu konon menurut cerita para sesepuh desa berasal dari Buah Mundu. Hanya …

PolandiaJulukanPutih dan MerahAsosiasiFederasi Bola Voli PolandiaKonfederasiCEV (Eropa)PelatihNikola GrbićPeringkat FIVB? (per 2 Desember 2023)Kostum Kandang Tandang Ketiga OlimpiadePenampilan10 (Pertama kali pada 1968)Hasil terbaik (1976)Kejuaraan DuniaPenampilan18 (Pertama kali pada 1949)Hasil terbaik (1974, 2014, 2018)Piala DuniaPenampilan7 (Pertama kali pada 1965)Hasil terbaik (1965, 2011, 2019)Kejuaraan EropaPenampilan25 (Pertama kali pada 1950)Hasil terbaik (2009)pzps.pl (dalam bahas…

此條目可参照英語維基百科相應條目来扩充。 (2021年5月6日)若您熟悉来源语言和主题,请协助参考外语维基百科扩充条目。请勿直接提交机械翻译,也不要翻译不可靠、低品质内容。依版权协议,译文需在编辑摘要注明来源,或于讨论页顶部标记{{Translated page}}标签。 约翰斯顿环礁Kalama Atoll 美國本土外小島嶼 Johnston Atoll 旗幟颂歌:《星條旗》The Star-Spangled Banner約翰斯頓環礁地…

Сельское поселение России (МО 2-го уровня)Новотитаровское сельское поселение Флаг[d] Герб 45°14′09″ с. ш. 38°58′16″ в. д.HGЯO Страна  Россия Субъект РФ Краснодарский край Район Динской Включает 4 населённых пункта Адм. центр Новотитаровская Глава сельского посел…

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