En 1965 est créé le SIVOM (syndicat à vocations multiples) de Montaigu. Le district de Montaigu est créé en 1969. En 1971, un autre syndicat, le syndicat de pays de Maines et Boulogne est créé. Il fusionne avec le SIVOM de Montaigu en 1996 pour donner naissance au syndicat mixte Montaigu-Rocheservière, chargé de la gestion des déchets ménagers, d'une piscine multi-sports, d'un service anglais et d'un service prévention routière pour les communautés de communes de Montaigu, de Rocheservière, et les communes de Cugand, Treize-Septiers et La Bruffière.
Le SDCI notait qu'il « apparaît que des synergies ont été développées entre les CC du Canton de Rocheservière et des Terres de Montaigu. Ce regroupement est souhaité par les élus locaux des deux CC. Le périmètre du bassin de vie de Montaigu couvre la quasi-totalité des limites de la nouvelle CC.L’intégralité du nouveau territoire est couvert par le SCoT du Pays du Bocage Vendéen » et prescrivait donc leur fusion[4].
En conséquence, après consultation des conseils municipaux et communautaires concernés, le préfet a prononcé la fusion de ces intercommunalités au , formant ainsi une nouvelle structure intercommunale dénommée Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière[5].
Territoire communautaire
Géographie
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Composition
La communauté de communes Terres-de-Montaigu comprenait en 2016 les 10 communes suivantes[2] :
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité percevait la fiscalité professionnelle unique[2] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
Réalisations
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Notes et références
Notes
↑Le , Antoine Chéreau est élu président de la communauté de communes[11]
Références
↑ a et b« Naissance d'une communauté : Le district de Montaigu nait en 1969, alors que bien peu d'élus en France choisissent cette option. L'économie et l'organisation territoriale l'imposent », Terres de Montaigu, no Numéro spécial 40 ans, , p. 6-7 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Terres de Montaigu : le territoire communautaire s'élargit », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le )« Depuis le 1er janvier, nous avons la joie d'être à dix, souligne, en préambule, Antoine Chéreau, le président de Terres de Montaigu. La salle du conseil est désormais trop petite. Plutôt que d'engager des travaux importants pour réaliser une nouvelle salle, nous avons choisi de profiter des équipements des communes ».
↑« Arrêté no 2016-DRCTAJ/3-606 portant création de la communauté de communes “Terres-de-Montaigu, communauté de communes Montaigu-Rocheservière” », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Vendée, no 73, (lire en ligne).
↑« District : 5 ans encore de péréquation », Ouest-France, .
↑« Henri Joyau, premier président de la communauté de communes », Terres de Montaigu, no Numéro spécial 40 ans, , p. 4-5 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Jacques Champain à la tête du district », Ouest-France, .
↑« Jacques Champpain : Président du District de 1998 à 2001 », Terres de Montaigu, no Numéro spécial 40 ans, , p. 9 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
↑« Antoine Chéreau élu président du district de Montaigu », Ouest-France, .
↑« Budget : le canton augmente la voilure », Ouest-France, .
↑Céline Bardy, « Antoine Chéreau, une histoire politique singulière : Très proche de Philippe de Villiers, le maire de Montaigu a aussi la confiance de Bruno Retailleau qui en a fait le 1er vice-président de la Région. Une exception politique en Vendée », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le )« J'ai quitté la France à 18 ans et j'y suis revenu à 25 pour travailler au cabinet de Philippe de Villiers. » Entre-temps, il a fait des études de philosophie en Belgique, où il a rencontré son épouse, astrophysicienne, avec qui il a six enfants. Est passé par l'Angleterre, l'Allemagne et au moment de se trouver un métier, a rejoint le conseil général de Vendée ».