Ancienne paroisse du Bas-Poitou, elle devient au cours des XIXe et XXe siècles la principale ville de la Côte de Lumière. Importante station balnéaire, port de pêche, de commerce et de plaisance, la ville possède deux casinos et accueille le Vendée Globe tous les quatre ans.
La commune compte 13 940 habitants au sein d’une agglomération comprenant 43 080 habitants, d’une aire urbaine comptant 49 914 habitants et d’une zone d’emploi de 68 323 habitants selon le découpage de l’Insee en 2010.
Le territoire municipal des Sables-d’Olonne s’étend sur 870 hectares. L’altitude moyenne de la commune est de 10 mètres, avec des niveaux fluctuant entre 0 et 26 mètres[1],[2].
Communes limitrophes
La commune déléguée des Sables-d'Olonne est bordée à l'est par la commune de Château-d’Olonne et au nord par la commune d'Olonne-sur-Mer. Avec la commune de L'Île-d'Olonne, elles forment le pays des Olonnes[3].
Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevées de 1971 à 2020 à la station La Roche-sur-Yon, située à 35 km dans les terres. Le climat des Sables-d'Olonne est plus doux l'hiver, moins pluvieux et plus ensoleillé que celui de La Roche-sur-Yon, avec notamment plus de 2 100 heures d'ensoleillement par an[5].
Le tableau ci-dessous indique les moyennes relevées à la station « La Roche-sur-Yon - Les Ajoncs » depuis 1971.
Relevé météorologique de La Roche sur Yon de 1971 à 2020
La commune est desservie par la gare des Sables-d'Olonne qui accueille des trains TER Pays de la Loire quotidiens à destination ou en provenance de Nantes ou La Roche-sur-Yon et des TGV quotidiens à destination ou en provenance de Paris-Montparnasse, via Nantes et La Roche-sur-Yon. Les premiers TGV à arriver aux Sables-d'Olonne étaient tractés par des motrices Diesel le temps que la ligne reliant Nantes aux Sables-d’Olonne via La Roche-sur-Yon soit électrifiée[8]. Les TGV tractés ont ensuite été remplacés par des TER de 2004 à 2008, année où le TGV a été réintroduit grâce à l'électrification de la ligne[9].
Les Sables-d'Olonne disposent au sein des Sables-d'Olonne-Agglomération d'un réseau de transport en commun baptisé Oléane, anciennement Tusco (pour Transports urbains des Sables-d’Olonne, du Château d’Olonne et d’Olonne-sur-Mer)[10], exploitant 9 lignes de mini-bus urbains (3 le dimanche), 13 lignes de bus urbains, ainsi qu'un bac desservant trois débarcadères dans le port[11].
On peut également noter que, par le passé, de 1898 à 1925, la ville bénéficiait des services du tramway des Sables-d'Olonne, un tramway électrique qui circulait sur le remblai et qui, sur une distance de six kilomètres, reliait les casinos à la gare. La mauvaise gestion de la compagnie fondée par le directeur du Grand Casino fera abandonner ce mode de transport[12].
Toponymie
Le nom de la commune est lié à l’île d'Olonne. Le nom est attesté sous les formes Portus Ollone en 1007 et Portus Olonae en 1182[13].
Histoire
L'histoire des Sables-d'Olonne est liée au monde de la mer depuis la fondation en 1218 du havre d'Olonne par Savary Ier de Mauléon, seigneur de Mauléon, sénéchal de Poitou et prince de Talmont, sur un cordon de sable entre La Chaume et le marais d'Olonne.
Une histoire aux racines lointaines
Le pays d’Olonne est occupé par l’homme depuis les temps les plus reculés comme en témoignent les nombreux vestiges découverts dans la région.
La mer recouvrait à l’époque une grande partie de la contrée : Ol-ona, hauteur au-dessus de l’eau, serait peut-être d’origine celtique et aurait donné son nom à quatre des six communes qui composent la région. À cette époque, c’est Olonne qui règne en maître. Sous l’Empire romain, Olonne devient un carrefour important grâce à son petit port du Havre d’Olonne, situé au fond d’une baie bien abritée par la longue île Vertime (l'actuelle côte sauvage et forêt d’Olonne). La création des marais salants et des vignobles à l’Île d’Olonne daterait de cette époque et fera la richesse de cette région pendant 2 000 ans[14].
Du Ve au IXe siècle, le pays est ravagé par de nombreuses invasions, les Normands étant présents jusqu’au Xe siècle. Puis, par le mariage d’Aliénor d’Aquitaine et Henri II Plantagenêt, la région passe pendant plus de cinquante ans sous domination anglaise. Richard Cœur de Lion, leur fils, fait de Talmont sa résidence privilégiée, et des terres d’Orbestier son terrain de chasse favori. C’est au Moyen Âge, sous l’impulsion des seigneurs d’Olonne, que le pays connaît un véritable essor économique. Il s’ensuivra l’émergence d’un fabuleux patrimoine religieux[14].
Les Sables-d’Olonne prennent leur essor
À la fin du Moyen Âge, les échanges maritimes se développent et le pays d’Olonne florissant exporte vers le nord de l’Europe son sel et son vin, les bourgades environnantes (Château-d'Olonne, Vairé, Ste Foy) se consacrent à une activité plus agricole, terres de seigneuries[14].
Le XIIIe siècle verra sortir de l’ombre, ou plutôt du sable, une petite sœur cadette : les Sables-d’Olonne. En effet, pour remplacer le port de Talmont qui s’envase, le prince Savary de Mauléon décide de développer le havre d’Olonne. Il accorde au quartier de La Chaume en 1218 des terres et des droits pour y installer un ensemble urbain[14].
Louis XI, en 1472, sépare Les Sables-d’Olonne de la ville d’Olonne pour en faire le port principal du pays. En effet, d'après un conseil de Philippe de Commynes, le roi ordonne la fortification de la ville de sorte que son port s'accroisse, le , en dépensant 5 000 livres tournois pour cinq ans[15],[16]. La paroisse des Sables-d’Olonne naît au XVIIe siècle, la construction d’une église est décidée. Les guerres de Religion freinent l’expansion de la ville. Les Sablais, fidèles au catholicisme, affrontent les Chaumois, convertis au protestantisme[14].
L’âge d’or et les prémices du tourisme
Le XVIIe siècle marque l’apogée de la ville des Sables-d’Olonne, devenu premier port morutier du royaume. Plus de cent bateaux arment pour la pêche à la morue sur les bancs de Terre Neuve[14]. Puis un long déclin s’amorce au XVIIIe siècle, qui ne disparaîtra qu’avec le développement de la pêche et du tourisme à la fin du XIXe siècle.
Pendant la Révolution, la région est restée républicaine avec pas moins de six prisons aux Sables-d’Olonne, une guillotine et un tribunal révolutionnaire. Sous l’Empire, la ville doit faire face au blocus continental instauré par Napoléon Ier, ainsi qu’à la menace des vaisseaux de guerre anglais[14].
Dès 1845, le port se modernise. La pêche à la sardine et au thon assure l’essor des conserveries (appelées confiseries). Les chantiers de construction navale, sur les quais de la Cabaude, fabriquent des dundees et autres sardiniers.
Quant au tourisme, si les premières réglementations de bains remontent à 1816, il faut attendre 1825 pour voir apparaître les premiers établissements de bains et les bathing machine(en) importées sur le modèle anglais par le négociant Pître Raguet[17],[18]. Les Sables-d’Olonne deviennent une station mondaine fréquentée par l’aristocratie et l’élite artistique et se dote alors de son premier casino : le casino des Bains de Mer (actuel casino des Atlantes). C’est la Belle Époque sablaise[14].
L’arrivée du chemin de fer en 1866 dynamise le tourisme avec « les trains de plaisir » reliant Paris à la « plus belle plage d’Europe ». La grande vogue des bains de mer est née.
Début 1881, la ville est endeuillée par une tempête où périssent cinquante-deux marins-pêcheurs[19].
Un deuxième casino apparaît en 1898, le casino des Pins, et en 1900 on compte plus de 35 hôtels à proximité du Remblai[14].
Dates clés
En 1472, Louis XI sépare les Sables-d'Olonne de la ville d'Olonne.
En 1630, François L'Olonnais (Jean David Nau) nait dans Les Sable D'Olonne.
En 1754, La Chaume est rattachée aux Sables-d'Olonne (arrêt royal du ).
Pendant la Révolution française, la ville est acquise à la République. Elle est assiégée à plusieurs reprises pendant la guerre de Vendée et résiste grâce au ravitaillement par la mer.
En 1816, premier arrêté municipal réglementant les bains sur la plage.
En 1825, les premiers établissements de bains apparaissent, la ville devient une station balnéaire.
Le , le chemin de fer arrive aux Sables en provenance de La Roche-sur-Yon, Bressuire, Saumur, Tours, ligne qui reliera la ville à Paris en train express jusqu'en 1971.
D’azur au vaisseau équipé et habillé d’argent voguant sur une mer de sinople mouvant de la pointe, surmonté de la Vierge aussi d’argent, les bras croisés sur la poitrine et au voile mouvant à senestre, posée sur une nuée du même, accostée de deux chérubins aux ailes déployées d’argent cantonnés l’un en barre à dextre, l’autre en bande à senestre.
Commentaires : Les armes de la ville et la devise « Advocata nostra, ora pro nobis » (« Notre avocate, priez pour nous ») remontent à la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Sous la Révolution, on a supprimé ce qui rappelait l’idée religieuse, mais on revint plus tard aux anciennes armoiries.
Devise
La devise des Sables-d'Olonne : « Advocata Nostra Ora Pro Nobis. » « Ô notre médiatrice, intercède pour nous. »
Logotype
En 1988, le graphiste Patrick Riegert conçoit un premier logotype pour la commune. Celui-ci est amélioré en 2003 par la direction de la Communication de la mairie, l’office de tourisme et l’Agence Bertaud[21],[22].
Le , une série harmonisée de nouvelles identités visuelles est présentée par SEV Communication notamment pour la future commune nouvelle et la communauté d’agglomération créée en [23].
Logotype de 1988 à 2003.
Logotype d’ à 2017.
Logotype depuis le .
Politique et administration
Le , elle constitue une commune nouvelle avec Château-d'Olonne et Olonne-sur-Mer[24].
Les personnalités exerçant une fonction élective dont le mandat est en cours et en lien direct avec le territoire des Sables-d'Olonne sont les suivantes :
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Démographie
En été, la population double de par la présence des estivants[33].
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[34],[Note 1].
En 2016, la commune comptait 14 233 habitants[Note 2], en évolution de −2,53 % par rapport à 2010 (Vendée : +5,33 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (49,6 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (25,1 %).
À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (56,3 %) est supérieur de plus de deux points au taux national (51,6 %).
La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :
43,7 % d’hommes (0 à 14 ans = 10,6 %, 15 à 29 ans = 13,7 %, 30 à 44 ans = 13,2 %, 45 à 59 ans = 19,8 %, plus de 60 ans = 42,6 %) ;
56,3 % de femmes (0 à 14 ans = 8 %, 15 à 29 ans = 8,3 %, 30 à 44 ans = 10,8 %, 45 à 59 ans = 18 %, plus de 60 ans = 54,9 %).
Pyramide des âges du département de la Vendée en 2007 en pourcentage[38]
Hommes
Classe d’âge
Femmes
0,4
90 ans ou +
1,2
7,3
75 à 89 ans
10,6
14,9
60 à 74 ans
15,7
20,9
45 à 59 ans
20,2
20,4
30 à 44 ans
19,3
17,3
15 à 29 ans
15,5
18,9
0 à 14 ans
17,4
Économie
Tourisme
Grâce à ses plages et à ses ports, la ville exploite depuis le XIXe siècle un fort potentiel touristique qui engendre une activité marquée par une forte saisonnalité. En 1900, on comptait 35 hôtels à proximité du remblai et les particuliers ont vite vu l'intérêt de louer tout ou partie de leurs maisons en été. Aujourd'hui, la capacité hôtelière reste importante et il y a deux campings en activité malgré un territoire communal exigu. Les locations en meublés sont également très répandues.
Commerce
Sur le territoire de la commune, on trouve trois supermarchés (dont un à la Chaume), trois marchés couverts (dont un à la Chaume) et de nombreux magasins spécialisés. Les principales zones commerciales sont le Centre (entre le cours Dupont et le quartier du Passage), le Remblai et le quartier Arago. Les communes limitrophes exercent une forte attraction commerciale grâce à leurs centres commerciaux constitués autour d'hypermarchés.
Restauration
Grâce au tourisme et à la présence d'une population importante même hors saison, la ville dispose de nombreux restaurants et bars ouverts toute l'année, principalement sur le Remblai, le port de pêche et à la Chaume.
Port
Le port de plaisance, Port Olona, accueille de nombreuses manifestations nautiques dont la plus prestigieuse est le Vendée Globe.
En 1999, pour faire face à l'érosion du rivage, la municipalité, pionnière en France, a fait appel à Ecoplage, une société sise en Loire-Atlantique, qui installe des drains afin que les vagues des marées n'emportent plus le sable au large[39]. Le procédé permet aussi de récupérer l'eau filtrée pour une piscine. Plusieurs stations balnéaires dont Sainte-Maxime (Var) ont adopté ce système. Le coût est de 1 500 à 3 000 euros le mètre installé et 15 000 euros d'entretien par an pour la ville.
Jean Mauclère (1887-1951), journaliste et auteur de romans populaires. Il a souvent évoqué Les Sables-d'Olonne et sa région dans des études savantes et des récits fictifs.
André Dechezelles (1909-1997), magistrat, premier président de la cour d'appel de Paris, membre du comité de l'ONU pour l'élimination des discriminations raciales.
Yves Dechezelles (1912-2007), avocat, défenseur des droits de l'homme, ancien résistant, compagnon du 42.
Paco Rabanne (1934-2023), couturier, réfugié aux Sables-d'Olonne avec sa mère à cause de la guerre civile espagnole. Il sera élève au lycée de l'Abbaye Sainte-Croix.
Claude Robin (1941-2010), international français de football
Le Remblai (promenades Lafargue et Clemenceau), bordé de nombreuses villas du XIXe siècle, faisant face à la mer et figurant à l'inventaire des monuments historiques[44] ainsi que plusieurs autres disséminées dans le centre-ville.
l'église Notre-Dame-de-Bon-Port, place de l'Église, construite entre 1646 et le XVIIIe siècle, sa façade ouest évoque la Renaissance ; à la Révolution, elle devient le temple de la Raison avant d'être un grenier à grain puis elle retrouve sa vocation en 1800[45], située en plein centre ;
l'église Saint-Pierre, rue des Deux-Phares ;
l'église Saint-Michel, rue Gambetta ;
l'église Saint-Nicolas et Sainte-Anne, place Sainte-Anne de la Chaume ;
l'abbaye Sainte-Croix, rue de Verdun, construite de 1633 à 1639, elle abrite, après le départ des sœurs, l'hôpital militaire, un camp d'internement, un centre de perfectionnement militaire, est réquisitionnée par les Allemands puis, rachetée par la municipalité, c'est un centre culturel, le musée des Sables, l'école de musique, et, actuellement, la médiathèque [46],[47] ;
la chapelle Notre-Dame-de-Bonne-Espérance, dite Notre-Dame-des-Marins, construite en 1850, abrite une statue de la Vierge en bois polychrome, ancienne figure de proue d'un navire, qui aurait sauvé la vie de Flandrine de Nassau, naufragée au large de Bourgenay. Elle se trouve au 37 de la rue de l'Amidonnerie ;
La chapelle de la communauté des Béatitudes, rue du Petit Montauban de la Chaume.
La chapelle du Sacré-Cœur, rue Flandrine de Nassau.
Le quartier de l'île Penotte, ruelles piétonnes et façades ornées de mosaïques de coquillages.
Ses halles et marchés :
les halles centrales, au cœur de la ville, de style Baltard, abritent un marché quotidien et un marché de producteurs locaux, les mercredis et samedis ;
L'association du musée du Sable[49] (près de 15 000 échantillons de sables provenant de toute la planète).
La roseraie de la Mérinière.
La côte sauvage au nord et au sud de la baie des Sables, réputée des surfers pour ses plages et reef breaks.
Loisirs
Détente et sports
Les Sables-d'Olonne sont la seule station balnéaire française de la côte Atlantique à posséder deux casinos : « Les Pins », dans le quartier de la Rudelière, aménagé dans le style Louisiane ; il propose des soirées avec groupes musicaux et dispose d'un minigolf ; et « Les Atlantes », situé dans le Palais des Congrès, sur le Remblai.
Cette section contient une ou plusieurs listes. Le texte gagnerait à être rédigé sous la forme de paragraphes synthétiques. Les listes peuvent demeurer si elles sont introduites par une partie rédigée et sourcée, de façon à bien resituer les différents éléments (juin 2016).
Le cinéma multiplexe Le Grand Palace (capacité totale de 800 places).
Les Tennis du Casino des Sports, fondés dans les années 1930, furent un centre tennistique particulièrement dynamique pendant plusieurs décennies, recevant même pour leurs tournois d'été les meilleurs joueurs nationaux français. Le Tennis-Club Sablais, situé de l'autre côté du boulevard, à deux pas, fut créé au début des années 1970. Situé près du lac de Tanchet, mitoyen du parc boisé de la Rudelière, le club est ouvert à l'année et comporte 10 terres battues et 6 quicks (dont 2 couverts, un court en terre battue synthétique et 4 mini-tennis).
Hippodrome de la Malbrande à Talmont-Saint-Hilaire : courses hippiques de trot, de galop et de haies de juin à septembre (diurnes et nocturnes) organisée par la Société des courses des Sables-d'Olonne.
Le golf des Olonnes à Olonne-sur-Mer, et le golf de Bourgenay à Talmont-Saint-Hilaire.
L'aéroclub de la Vendée au Château d'Olonne : baptêmes de l'air.
Le Poisson à Roulettes, café-concerts.
Le Club hippique sablais à La Malbrande juste à côté de l'hippodrome sur la route de Talmont-Saint-Hilaire accueille petits et grands.
L'association Les Tables d'Olonne : une association de jeux de société, qui accueille toute l'année les joueurs, débutants ou passionnés.
ARMADA, association des professionnels de Port olona, pôle nautique regroupant accastilleurs (AD, Big Ship, U Ship), mécaniciens, voiliers, distributeurs de marques vendéennes (Jeanneau, Beneteau), bateaux-écoles et loueurs de voiliers et de bateaux moteurs.
L'institut Sport Océan.
Sports nautiques sablais.
Club de chars à voile des Olonnes.
Club Canoë-Kayak Côte de Lumière (CKCL)
La Golden Globe Race 2018 est une course nautique qui célèbre le 50e anniversaire de la Golden Globe Challenge.
Le Vendée Globe est une course nautique autour du monde en solitaire, organisée tous les quatre ans, et qui met la ville en effervescence pendant plusieurs mois. Lauréat 2016-2017 : Armel Le Cléac'h, Dauphin : Alex Thomson, Troisième : Jérémie Beyou.
La Course Croisière EDHEC en 2005 et du 19 au (40e édition). 1er évènement étudiant européen rassemblant plus de 6000 étudiants autour d'une semaine de régate, de raid sportif et d'animation sur un village.
Course nautique de voiliers Mini 6.50, Classe Mini : «Les Sables-Les Açores (Horta)-Les Sables»
Course nautique de voiliers de 40 pieds, Class40 : «Les Sables-Madère-Les Sables» en 2007 et «Les Sables-Horta-Les Sables» en 2009 et 2011.
L'Amicale Plaisance de Port Olona, association qui regroupe les propriétaires de bateaux de plaisance et propose des programmes de navigation permettant à chacun d'élargir avec plus de sécurité son programme de navigation.
La Saison Culturelle (octobre à mai) aux Atlantes et à l'Auditorium.
Le festival Simenon : tous les printemps, au mois de juin, une association locale organise un festival centré sur l'œuvre de Georges Simenon. Films, pièces de théâtre, discussions au palais de justice, repas « bien arrosés » dans les rues et animations diverses.
Le festival du jeu des Sables d'Olonne (au mois d'avril depuis 2013) : une grande animation multi-jeux (jeux de société, jeux vidéo, jeux de rôles, jeux de figurines, etc.) au centre des congrès des Atlantes.
Art sur Mer : événement artistique sur la plage (réalisation de fresques par des peintres et graffeurs).
Les Mots à la Bouche, apéritif-lecture.
La fête des vieux métiers, à L'Île-d'Olonne, à la mi-juillet.
Chant'Appart (février-mars). Association Chants-sons présidée par Christian Gervais.
Le Souffleur d'Arundel, festival de la comédie amateur et professionnel (35 dates en été, depuis 2006).
La Grande Bordée, organisée par la Commune Libre de la Chaume évoque la vie du port de pêche d'autrefois, un hommage est rendu aux péris en mer et une parade de bateaux a lieu dans le chenal.
Le Premier Bain de l'Année, organisé par la marque 4-20-5 tous les 1er janvier aux Sables-d'Olonne, invite les plus courageux à se baigner dans l'océan pour fêter le nouvel an.
Worthing (Royaume-Uni) depuis 1998 dans le cadre de la communauté de communes des Olonnes.
Notes et références
Notes
↑Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations de référence postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population de référence publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2019, millésimée 2016, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2018, date de référence statistique : 1er janvier 2016.
↑« M. Louis Guédon (U.D.F.), âgé de quarante ans, a été élu, dimanche 20 janvier, maire des Sables-d'Olonne. Il succède à Albert Prouteau, décédé. »[1]
↑(fr) « Présentation » sur le site officiel du festival « La Déferlante », consulté le 2 juillet 2009
Pour approfondir
Bibliographie
Michel Brossard, Maisons d'armateurs des Sables d'Olonne, Beaupré, 2008, 240 p.
Michel Brossard, Petit Dictionnaire sentimental et fantaisiste des Sables d'Olonne, Beaupré, 2010, 240 p.
Michel Brossard, Petit Dictionnaire sentimental et fantaisiste de La Chaume, Beaupré, 2015, 240 p.
Philippe Courage, Les chemins de fer aux Sables-d'Olonne : 144 ans d'histoire des trains et des tramways, Le Poiré-sur-Vie, Vents et marais, 1997, 125 p.
Magali Grandet, James Fortune, Un hiver aux Sables-d'Olonne : le temps d'un Vendée Globe, Montreuil-Bellay, Éditions CMD, 1998, 68 p.
J.-J. Meunier, Guide historique et pittoresque du baigneur aux Sables d'Olonne, 1854.
Roland Mornet, Cent ans de l'histoire du port des Sables d'Olonne : De la fin du XIXe siècle à la fin du XXe siècle, Geste éditions, 2013, 424 p.
Hervé Retureau (photographies d'Antoine Tatin), Les Sables-d'Olonne, La Crèche, Geste éditions, collection « 365 jours », 2015, 280 p. (ISBN978-2-36746-270-7)
Hervé Retureau, Petite Histoire des Sables d'Olonne, La Crèche, Geste éditions, collection « Petite histoire », 2013, 213 p.
Louise Robin, Michel Brossard, Alain-Pierre Daguin, Villas et édifices balnéaires des Sables d'Olonne, Beaupré, 2011, 384 p.
Mathias Tranchant, Les origines des Sables-d'Olonne : à la conquête des eaux et des sables, La Crèche, Geste éditions, 2012, 243 p.
Les Sables d'Olonne autour de la révolution, pièces marquantes, 18e et 19e siècles, Ville des Sables d'Olonne.
Le guide de l'étranger aux Sables d'Olonne et aux environs…, E. Serpeau-Delidon.
Note : La commune absorbante et l’année de fusion sont indiquées entre parenthèses à la suite du nom de l’ancienne commune ; lorsqu’une commune issue d’un regroupement est composée en italique, cela signifie qu’une nouvelle entité est créée.