Pendant une trentaine d'années, Normand Génois enseigne l’éducation physique dans une école secondaire. Passionné de plein air et de nature, il voyage en Europe et en Amérique latine avant de s'installer en Suisse, puis à New-York[1],[2].
À partir de 1992, il signe des textes dans des revues littéraires, notamment dans Estuaire, Nouaison et la revue Poésie des Éditions de l’Oésie à Québec. Il participe également à de nombreux événements littéraires (lectures publiques, spectacles, etc.)[1],[2],[3].
En poésie, il fait paraître L'écrin des jours (Éditions du Noroît, 2002), Le même souffle (Éditions du Noroît, 2007), Va-nu-pieds (Éditions du Noroît, 200), À hauteur d'arbre (Éditions du Noroît, 2013) ainsi que Paysages sans titre (Les Éditions de l'Écume, 2021)[4],[5],[6].
En collaboration avec Jean Désy, il publie également un recueil de poésie qui s'intitule Bras-du-Nord (Mémoire d'encrier, 2015)[7].
↑Anne-Josée Cameron, « Le 8e festival Québec en toutes lettres célèbre les écrivains québécois », ICI Radio-Canada -,
↑Claude Paradis, « La fin du monde calcule ses heures : analyse de Va-nu-pieds de Normand Génois », Québec français, no 156, , p. 58–59 (ISSN0316-2052 et 1923-5119, lire en ligne, consulté le )