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ρ3 Arietis est parfois simplement désignée ρ Arietis[1].
Nomenclature et histoire
La figure de الحمل al-Ḥamal, « l'Agneau », dans le ciel arabe traditionnel.
Al Butain II est le nom porté par ρ Ari dans certains catalogues contemporains. C’est l'arabe بطين buţain, diminutif de بطن baţn "ventre", qui existe dans les calendriers arabes traditionnels et s’applique au groupe ερζ Ari dans la figure de الحمل l’Agneau arabe, c’est-à-dire non pas la figure du Bélier gréco-arabe, adopté par les astronomes avec la traduction de la Μαθηματική σύνταξις de Claude Ptolémée, et qui porte le même nom, mais de la figure de UDU = Immeru », l’Agneau mâle venu de Mésopotamie par la voie aranéenne tel qu’il figure dans le calendrier arabe traditionnel des Manāzil al-qamar. Ce nom s'explique par le fait que la figure de الحمل al-ḥamal, littéralement « l'Agneau mâle de moins d'un an", est plus grand que celui que nous connaissons par les Grecs, puisque les Pléiades sont situées sur sa Queue (arabe الألية al-Aliya)[2],[3]. Revevé dans la transcription ’Al-Buţain’ à partir des textes arabes, notamment le traité de ᶜAbd al-Raḥmān al-Ṣūfī (964)[4], par Richard Hinckley Allen (1899) [5], il est repris comme nom par Jack W. Rhoads (1971) pour les étoiles du groupe πρεζ Ari, numérotées dans l’ordre de I à IV[6] et passe ainsi sur la toile[7].
↑ (de) Paul Kunitzsch, Arabische Sternnamen in Europa, Wiesbaden : Otto Harrassowitz, 1959, p. 51.
↑ Roland Laffitte, Le ciel des Arabes. Apport de l’uranographie arabe, Paris : Geuthner, 2012, pp. 85-86.
↑ (ar/fr) Hans Karl Frederik Christian Schjellerup, Description des étoiles fixes composée au milieu du Xe siècle de notre ère par l'astronome persan Abd-al-Rahman Al-Sûfi. Traduction littérale de deux manuscrits arabes de la Bibliothèque royale de Copenhague et de la Bibliothèque impériale de Saint-Pétersbourg…, Saint-Pétersbourg : Eggers et Cie, 1874, repr. Fuat Sezgin, Islamic mathematics and Astronomy, vol. XXVI, Frankfurt am Main : Institut für Geschichte der arabisch-islamischen Wissenschaft an der Johann Wolfgang Goethe-Universität, 1997, p. 135.