Il devient ensuite professeur au Collège de France de 1932 à sa retraite anticipée par la politique de Vichy qui écarte les juifs de la fonction publique[7].
Vie privée
Selon son biographe et ami, Jacques-Germain Février, Isidore Lévy était, dans sa pensée et dans son cœur, d'un réduit secret, et défendant une pudeur ombrageuse.
Isidore Lévy, « Sur quelques noms sémitiques de plantes en Grèce et en Égypte », Revue archéologique, Paris, Leroux, no 1, , p. 334-344 (BNF30811825)
Le Grand-prêtre égyptien du Musée de Cherchell, Paris, Leroux, (BNF30811819)
Recherches sur les sources de la légende de Pythagore, Paris, Leroux, , 152 p. (BNF32381370)
La légende de Pythagore de Grèce en Palestine, Paris, Champion, coll. « Bibliothèque de l’École des hautes études. Sciences historiques et philologiques » (no 250), (BNF30811821)
↑Cf. son dossier de Légion d'honneur sur la Base Léonore (cote 19800035/1277/47237).
↑ a et bJames Germain Février, « Isidore Lévy (1871-1959) », Annuaires de l'École pratique des hautes études, vol. 93, no 1, , p. 13–20 (DOI10.3406/ephe.1961.4527, lire en ligne, consulté le )
James-G. Février, « Isidore Lévy (1871-1959) », École pratique des hautes études, Section des sciences historiques et philologiques. Annuaire 1960-1961, , p. 13-20 (lire en ligne)
Christophe Charle et Eva Telkès, « 50. Lévy (Isidore) », dans Charle Christophe, Telkès Eva. Les professeurs du Collège de France – Dictionnaire biographique 1901-1939, Paris, Institut national de recherche pédagogique, , 139-140 p. (lire en ligne) (Histoire biographique de l'enseignement, 3)
Comptes rendus
Paul Mertens, « Mélanges Isidore Lévy », L'antiquité classique, t. 25, no 1, , p. 287-292 (lire en ligne)
Crahay Roland, « Isidore Levy, Recherches esséniennes et pythagoriciennes », L'antiquité classique, t. 34, no 2, , p. 669-670 (lire en ligne)
Eugène De Faye, « Isidore Lévy, Recherches sur les sources de la légende de Pythagore. », Revue des Études Grecques, t. 43, no 199, , p. 131-133 (lire en ligne)