: Antoine-Paul-Jacques de Quelen Stuer de Caussade, marquis de Saint-Megrin, puis comte, puis duc, de La Vauguyon, brigadier le , maréchal de camp le , déclaré lieutenant général en , par pouvoir expédié le précédent
: Charles-Antoine de Guerin, marquis de Lugeac, déclaré brigadier en , par brevet expédié le , maréchal de camp le , lieutenant général le [2]
: Charles chevalier de Clugny de Tenissey, brigadier le
: René Georges Marie marquis de Montécler
: Marie Claude comte du Chilleau
: Alexandre comte de Damas
: Étienne de La Martellière
: Pierre Chevallier
Historique des garnisons, combats et batailles du régiment
: levé à 20 compagnies
: attribution de 2 canons de 4 en tant qu’artillerie régimentaire
: suppression de l’artillerie régimentaire
: porté à 24 compagnies
: un bataillon composé d’une compagnie de grenadiers et de 15 compagnies ordinaires, toutes de 45 hommes
: un bataillon de campagne de 13 compagnies dont une de grenadiers
: augmenté d’un bataillon de 13 compagnies de miliciens de 45 hommes
Lors de la réorganisation des corps d'infanterie français de 1762, le régiment conserve ses deux bataillons et est affecté au service de la Marine et des Colonies et à la garde des ports dans le royaume. L'ordonnance arrête également l'habillement et l'équipement du régiment comme suit[4] Habit, veste, parements, culotte blancs, collet et revers verts, doubles poches en long garnies chacune de quatre boutons à distance égale, trois sur la manche, quatre au revers et quatre au-dessous : boutons blancs et plats, avec le no 41. Chapeau bordé d'argent.
↑Cinquième abrégé général du militaire de France, sur terre et sur mer, Pierre Lemau de La Jaisse, Paris, 1739
Annexes
Sources et bibliographie
Lieutenant général de Vault, Mémoires militaires relatifs à la guerre d'Espagne sous Louis XIV, vol. 1, Imprimerie Royale (Paris), , 910 p. (lire en ligne).
Chronologie historique-militaire, par M. Pinard, tomes 5 et 8, Paris 1761 et 1778
Louis Susane, Histoire de l'ancienne infanterie française, t. 6, 1851, p. 44 à 60 [1]