La communauté de communes était administrée par son conseil communautaire, composé de conseillers municipaux représentant chacune des communes membres.
Afin de financer l'exercice de ses compétences, la communauté de communes percevait une fiscalité additionnelle aux impôts locaux des communes, avec fiscalité professionnelle de zone (FPZ) et sans fiscalité professionnelle sur les éoliennes (FPE)[3].
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Conformément aux dispositions légales, une communauté de communes a pour objet d'associer des « communes au sein d'un espace de solidarité, en vue de l'élaboration d'un projet commun de développement et d'aménagement de l'espace[8] ».
Notes et références
↑ ab et c« Communauté du Val-de-Saire : 22 ans d'histoire : Créée en 1994, la communauté de communes du Val-de-Saire aura connu cinq présidents. Des projets ont émergé de cette entité capricieuse », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
↑Chrismaël Marchand, « Charles Poisson, ancien maire de Quettehou, est décédé : Ancien maire de Quettehou et ex-président de la com com du Val de Saire, Charles Poisson nous a quittés, dimanche 2 avril 2017, à l'âge de 77 ans », La Presse de la Manche, (lire en ligne, consulté le ).
↑« Philippe Lebresne : du collège à la politique : De l'école de Valcanville à sa retraite, Philippe Lebresne a défendu ses racines, tout en regardant vers le lointain et en étant attentif aux autres », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le )« Élu conseiller municipal en 1983 et adjoint au maire depuis 1991, Philippe s'intéresse de près à la vie de sa commune. En 1994, il se présente aux élections des conseillers généraux ».
↑« Guy Monnier : « J'ai le sentiment du devoir accompli », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le )« Battu au 2e tour de l'élection à Morsalines, Guy Monnier perd également la présidence de la communauté de communes ».
↑« Yves Asseline à la tête de la communauté de communes », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le )« Après de nombreuses discussions en amont et entre maires du canton afin de trouver un candidat qui satisfasse chacun, c'est le maire de Réville, Yves Asseline, qui devait être désigné en interne avant l'élection. Seul candidat, l'élection devenait simple ».