Le nom de la localité est attesté sous les formes Portus Ballii vers 746-753, Port Bahil en 1026-1027 et Portbail en 1185[3],[4]. Portbail est l'une des rares communes de la presqu'île du Cotentin qui ait conservé un nom de lieux gallo-romains[5]. Au début du XXe siècle, vers 1900 la graphie en usage du nom de la commune était Port-Bail[6].
À l'époque gallo-romaine, pendant la Pax Romana et sous le règne d'Auguste, une agglomération romaine secondaire voit le jour[10],[11]. Cinq voie romaine arrivaient et partaient de Port-Bail[12], dont une qui longe la côte ouest de la presqu'île, ce qui laisse penser que le port était une escale de la route maritime de l'étain, qui reliait ainsi les Cornouailles au bassin méditerranéen. Charles de Gerville précise que l'agglomération antique était alimentée en eau par un aqueduc[13]. En 1968, sous la nef de l'église Notre-Dame, lors de fouilles dirigées par David Abadie, ont été mis au jour des vestiges de thermes (hypocauste) d'une villa du IIe siècle de notre ère. Outre le baptistère, daté du IVe ou Ve siècle, il a été mis au jour à proximité de ce dernier les restes d'un petit temple gallo-romain (fanum)[14], ainsi que l'existence d'une villa gallo-romaine et de son atrium. En 1845, l'abbé Louis signalait la découverte d'un « grand fragment de mosaïque »[13]. Certains quartiers de Portbail disparurent au cours du IIIe siècle à la suite des crises politiques, conjuguées depuis la fin du IIe siècle à de récurrentes épidémies de peste qui affaiblissent l'armée et les populations, mettant à mal l'économie et l'administration[15].
Moyen Âge
La première mention de Portbail, dans l'état des connaissances, est dans un passage de la chronique de l'abbaye de Fontenelle rédigée vers 830-840 et qui narre que vers 747-750, le jour de marché, s'est échoué sur la plage un curieux esquif, une tour reliquaire, qui renfermait une mâchoire de saint Georges, et plusieurs autres reliques de saints, du bois de la Vraie Croix et un livre des évangiles[16]. Au IXe siècle, Portbail, avec son baptistère, son abbatia[Note 2] et son emporium (port de commerce), est une importante cité portuaire jusqu'aux premiers raids scandinaves[4]. L'archéologue Gilles Laisné a découvert dans le havre de Portbail une pêcherie médiévale de la fin du Xe siècle, 978 d'après les dernières datations[7].
En 1026, Richard III de Normandie donne à son épouse, Adèle de France (Dotalitium Adelae), fille du roi des Francs Robert II le Pieux, en douaire un domaine abbatiam (territoire d'abbaye) nommé Port Bahil situé sur les flots de la Gerfleur avec un port : « Abbatiam necnon quae appelatur Portbail quae est sita super aquam Jorfluctum, cum portu (et encore l'abbaye que l'on appelle Portbail, qui est située sur la rivière Jerfleur, avec son port »[18],[19],[20]. Avant la fin du XIe siècle l'église Notre-Dame est donnée à l'abbaye bénédictine de Lessay et devint un prieuré qui sera déserté dans la seconde moitié du XIIIe siècle. Si l'on se réfère au Livre Noir de l'évêché de Coutances, l'abbé de Lessay était le patron de Portail où était : « une église paroissiale à côté du manoir de l'Abbé et des moines y demeuraient habituellement. Ils célébraient l'office dans cette église les jours fériés et exerçaient en ce lieu l'hospitalité. le curé célébrait pendant la semaine, dans une chapelle située non loin de l'église paroissiale »[16]. En 1083, Anquetil de Claids, pour ce qu'il possède à Portbail, est vassal de Robert d'Aubigny[21].
Au XVe siècle, le port, correspondant à un ancien emporium carolingien et cité au début du XIe siècle en tant que portus ducal, était contrôlé par les seigneurs de Barneville. À la fin du Moyen Âge, Robert du Saucey, déclare y tenir des droits de coutume sur les navires entrant dans le havre, et jouit d'un « droit de prisée des vins », ce qui lui permet de « goûter et avoir un tonneau, ny du pire ny du meilleur, au prix qu'il aurait cousté au pays d'où on l'aurait pris »[23].
En 2021, la commune comptait 1 497 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2007, 2012, 2017, etc. pour Portbail[34]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 4].
Au XIIe siècle, Anquetil de Claids et son fils, Robert, donnèrent l'église Notre-Dame à l'abbaye de Lessay.
Église Saint-Martin de Gouey des XIe, XIIe, XIIIe, XVe et XIXe siècles. C'est depuis 1909 l'actuelle église paroissiale. Elle a été restaurée dans les années 1950 après de sérieux dégâts en 1944. Elle présente des éléments romans, notamment les modillons de la corniche, et gothiques[38]. Elle abrite sous le porche une Vierge du XIVe, initialement à l'Enfant classée au titre objet aux monuments historiques[39], ainsi qu'une charité de saint Martin du XIVe.
Baptistère paléo-chrétien découvert en 1956, dont les vestiges ont l’originalité d’être hexagonaux. Il fut construit au VIe siècle, au début de la christianisation du Cotentin. C’est l'un des seuls exemplaires de baptistère retrouvé au nord de la Loire et le seul hexagonal en France. Il est classé au titre des monuments historiques[40]. Le baptême par immersion y était pratiqué. Il fut transformé au XIIe siècle en chapelle funéraire (avec cimetière autour) qui a été détruite en 1697. Des ossements et d'autres vestiges y ont été trouvés[41].
Chapelle Saint-Siméon-le-Stylite des XIIe, XIVe – XVIe siècles[42]. Propriété de la commune de Portbail depuis 1931, elle abrite une pietà du XVe et une cloche du XVIe classées au titre objet aux monuments historiques[43].
Pour mémoire
Chapelle Saint-Michel qui a existé jusqu'au XIXe siècle. Elle doit son origine à la transformation, au cours du VIIe siècle du fanum en chapelle probablement funéraire, dédiée à saint Michel, ce dernier étant un saint psychopompe, « un passeur d'âmes », avec l'adjonction d'un chœur à l'est. Elle était entourée de sarcophages et de squelettes[44],[20], et, est un rare exemple de conversion d'un temple païen en édifice chrétien[45].
Son porche sud qui subsiste est surmonté des armes de la famille Pigache : d'argent à trois cornets de gueules[47]. Le manoir est la possession de la famille Briroy jusqu'en 1684, date à laquelle il passe à la famille Pigache de Lamberville qui en avait encore la possession au XVIIIe siècle comme le confirme l'aveu rendu au roi, , qui nous dit qu'il est alors la possession de Jean-Jacques Pigache, écuyer, sieur de Lamberville et seigneur de la Comté et de Grye. La famille Pigache est une vieille famille féodale, originaire de la plaine de Caen, connue depuis le XIIIe siècle et qui s'est maintenue jusqu'en 1967[48]. C'était un quart de fief de haubert tenu du roi et dont le plus ancien possesseur connu était Jacques Le Couvin d'après un aveu rendu au roi le [49].
L'aveu de 1684 nous fournit une description du manoir à cette époque « Manoir seigneurial composé d'un grand enclost de maisons à haute et basse court, fermez et entourez de murailles, deux portes cochères, pour y entrer, plusieurs tourelles et bastions attachés ausdictes, maisons et murailles, le tout couverte d'ardoises, une douve à costé vers le midy, le jardin potager et fruitier y joingnant sur lequel jardin est assis un collombier vollant, le tout se contenant trois vergiez de terre »[49].
Aujourd'hui, l'ancien manoir est partagé en trois propriétés séparées par des murs passant au milieu de l'ancienne cour. Son nom rappelle que son fief dépendait à l'origine du comté de Mortain et relèvera directement du roi, après un partage en 1235 de ce comté entre le roi de France et Mathilde de Boulogne[49].
Manoir de Lanquetot des XVIe – XVIIIe siècles. L'ensemble, fortement dégradé, se distingue surtout par son massif colombier du début du XVIIIe siècle, voisin de la grange. Le logis était en « L » et il subsiste de belles souches de cheminées du XVIIe siècle.
Le , dans les aveux que fait Jacques de Thieuville au roi de France pour son fief du Parc à Saint-Lô-d'ourville, il est dit que trois fiefs nobles relève de la seigneurie du Parc : le fief du Saussey à Saint-Georges-de-la-Rivière, de Mandenaville à Saint-Pierre-d'Allonne et celui de Lanquetot à Portbail, ainsi que dix-sept vavassories[50]. L'aveu nous indique que le fief appartient alors à Jean Voussey, écuyer. Par mariage la terre passa par la suite à la famille Le Kannelieup (Le Cannelier) et jusqu'au XVIIe siècle, changea fréquemment de possesseurs, avant d'être acquis par Jacques Levilly (1615-1678), pour, en 1683, être entre les mains d'Alexandre Hellouin[49].
L'ensemble nous est décrit en 1557 ainsi : il y a là un manoir avec la grange, le colombier, une place de moulin à eau avec plusieurs jardins, « le tout contenant avec une fontaine dedans, nommée la fontaine Saint-Martin, 45 vergées. » Cette fontaine, est la source de Lanquetot, captée en 1950 par le génie rural, et dans laquelle fut découvert un dépôt votif[51] (ex-voto gallo-romains).
Cet ensemble de constructions de la fin du XVIe ou du début du XVIIe siècle porte le nom de la famille Le Bel, sieurs du Quesnay.
On pénètre dans la cour d'une des maisons restaurées par un porche double avec une porte charretière en arc en plein cintre avec double rangée de claveaux et une porte piétonne à linteau plat ; l'ensemble s'appuyant sur un contrefort intérieur. À gauche de la porte charretière une plaque avec l'inscription « Me NICOLAS LE BEL PBRE MA FAICT REDIFIER EN L'AN 1637 ».
Dans le redan de la maison, une meurtrière en « double trou de serrure », pour armes à feu, permet de battre l'entrée. À voir également les demi-fenêtres du rez-de-chaussée, un potager (ou chauffe-plats), dans l'embrasure d'une fenêtre un petit évier, un four de boulanger, ainsi que des graffitis de bateaux gravés sur le manteau de la cheminée[53].
Une autre maison a son étage desservi par un escalier à vis, situé dans une tourelle carrée dont la partie inférieure est incluse dans le bâtiment. En haut de l'escalier, on accède à un colombier. Sur l'un des angles de cette maison, qui a plusieurs portes en arc en plein cintre, des petits jours à montants et linteaux chanfreinés ainsi que des demi-fenêtres avec larmiers ou linteau en accolade plate, il a été placé, lors de la restauration, un cadran solaire en pierre calcaire avec en dessous un écu aux armes de la famille Le Bel : d'azur à trois besants d'argent, à la bordure d'or.
Un des bâtiments est doté au rez-de-chaussée d'un four à pain et d'un puits accessible aussi bien de l'intérieur que de l'extérieur afin de fournir de l'eau au village. Une échauguette est présente sur une autre maison avec fenêtre à meneau « à la Crosville » et une remarquable souche de cheminée. Enfin une dernière maison a son pignon percé de très nombreux trous de boulin[53].
Manoir de la Volière occupé au XVIIe siècle par la famille Jouan qui portait : d'argent à six roses de gueules. Il dépendait du fief d'Ozeville-Rucqueville[Note 5] qui appartenait en 1486 à noble homme Colin Sorin. On note, Nicolas Jouan (v. 1642-1675), sieur de Rucqueville, qui épousa en 1663 Anne du Pert, dont il eut neuf enfants dont Jacques Jouan (Gouey, 1667 - ) et épousa Françoise-Charlotte de Saint-Julien. Il fut inhumé dans le chœur de l'église Saint-Martin de Gouey. Leurs terres à Rucqueville relevaient du fief de Brucourt[54].
Ferme du Val au nord-ouest du bourg, le long du vallon du ruisseau de Lanquetot. Cet ancien fief était dans la famille Du Pert qui portait : d'argent au lion rampant d'azur[49].
Ferme de Gennetot. Ce fief relevait du Dick et fut attribué en 1665 à la famille Poërier, puis à Jacques Levilly (1615-1678). Au début du XVIIIe siècle, la ferme était la possession des Pierrepont[49].
La Vauverderie, près des Vautiers, et à l'est du Dick et du Haut de Gris. Il dépendait de la Comté et présente encore une petite tourelle basse avec toiture de pierre[49].
Villa des Jasmins, édifiée au début du XXe siècle, côté nord, face à l'église, et qui a été épargnée en 1944[55].
Ruines d'un fortin bâtie sous le Premier Empire, en remplacement du fort Saint-Anne de 1745[56],[57], détruit par la mer en 1765.
Ancien corps de garde bâti vers 1669, au bord du havre entre le bourg et le village de la Rivière, près de la station d'épuration[58].
Ancien moulin à eau du Dick, aujourd'hui ruiné, et peint notamment par Pierre-Paul Givry[59],[Note 6]. Situé à 500 mètres au sud-ouest du manoir éponyme, sur le Gry, il remonte au XVIe siècle comme le confirme une inscription : « 1574 PIERRE LHOMME[60]. ».
Anciens moulins à vent Cordier, du Moigne, de Folliot, du Cannelier[61].
Pont menant vers la plage. Bâti en 1873, et long de 80 mètres, il est composé de treize arches, ce qui est souvent signe de mauvais présage. Les jours de fortes marées, il arrive que le pont se trouve au ras de l'eau, ce qui donne l'impression de marcher sur l'eau.
Pour mémoire
Poudrière. En 1820, il existait un petit magasin à poudre avec guérite de factionnaire dans l'ancien cimetière de Portbail, situé a peu près à l'emplacement de l'actuelle salle des Fêtes[58],[7].
Portbail a vu en 2004 l'organisation de la première Gainsbarre, une course cycliste Élite nommée en souvenir de Serge Gainsbourg.
Grand raid VTT (52, 35 et 20 km) et course pédestre (6 et 11 km).
Festival de l'enfant.
Fête de la musique.
La fête de la plage se déroule tous les 15 août, elle a remplacé depuis 2011 la fête du port qui commençait à s’essouffler.
Foire aux livres et cartes postales tous les quatrièmes samedis du mois dans l'église Notre-Dame d'octobre à février et en extérieur sur le quai Aubert de mars à septembre.
Rando goûter découverte de patrimoine accessible aux familles pendant les vacances scolaires.
Personnalités liées à la commune
Jacques Férey (1770-1846), né à Canville, militaire lors des campagnes de Vendée et d'Italie. Capitaine en 1808, il sert dans la Grande Armée et est décoré de la Légion d'honneur dans Moscou. Encore présent à Waterloo, il se retire à Portbail où il meurt[62].
Eugène Bretel (1842-1933), premier producteur industriel de beurre, né dans la commune.
René Fenouillère (1882-1916), footballeur international, né dans la commune et mort au front.
Flavie Flament, présentatrice TV, y passe régulièrement ses vacances.
Héraldique
Les armes de la commune de Portbail se blasonnent ainsi : D'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de trois étoiles de même, et en pointe d'un fer de lance d'argent.
Ces armes, qu'arbore la commune de Portbail, sont en fait celles de la famille Hellouin de Ménibus, à la différence que le fer de lance est renversé dans le blason des Hellouin.
Michel de Boüard, « Le baptistère de Portbail », Cahiers archéologiques, tome IX, 1957.
Michel de Boüard, « Nouvelles fouilles autour du baptistère de Port-Bail », Annales de Normandie, tome XVII, no 4, décembre 1967.
Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN978-2-9159-0709-4), p. 175-176.
René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN978-2-35458-036-0), p. 469.
↑Fondée probablement au VIe siècle, elle est l'un des premiers établissements monastiques du diocèse de Coutances avec les abbayes de Saint-Marcouf, Saint-Pair, Saint-Sever, Landelles et Saint-Fromond. Il est à noter que ces abbayes de première génération sont implantées sur les frontières, terrestres ou maritimes, du diocèse de Coutances[17].
↑Jean Barros, la fait relever de l'honneur d'Aubigny[21].
↑Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
↑Rugueville sur les cartes est une orthographe fautive.
↑Il se disait l'élève de Guillemet (1841-1918) et exposa régulièrement au Salon des artistes français de 1880 à 1897. À partir de 1889, les rivages du Val de Saire apparaissent souvent sur ses peintures[59].
↑Alain Souchon passe à plusieurs reprises ses vacances à Portbail pendant son enfance[63]
Références
Altitudes : répertoire géographique des communes[64].
↑Georges Bernage, « Noms de lieux scandinaves dans le canton de Barneville-Carteret », Vikland, la revue du Cotentin, no 1, avril-mai-juin 2012, p. 6 (ISSN0224-7992).
↑« Le terroir de Portbail », Vikland, la revue du Cotentin, no 1, avril-mai-juin 2012, p. 5 (ISSN0224-7992).
↑Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes et Bénédicte Guillot (avec la collaboration de Gaël Léon), ArchéoCotentin : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, t. 2, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN978-2-8151-0790-7), « S'approprier la presqu'île : encadrement, contrôle territorial et développement des lieux de pouvoir », p. 15.
↑Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN2-7134-0053-8), p. 35.
↑ a et bJean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Dans l'histoire, t. 2, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 440 p. (ISBN2-9505339-2-2), p. 77.
↑Florence Delacampagne, « Seigneurs, fiefs et mottes du Cotentin (Xe – XIIe siècles) : Étude historique et topographique », dans Archéologie médiévale, t. 12, (lire en ligne sur Persée.), p. 185.
↑Jean-Michel Renault, « Revue monumentale et historique de l'arrondissement de Coutances : Canton de Saint-Sauveur-Lendelin », Annuaire du département de la Manche, Julien-Gilles Travers, 28e année - 1856, p. 59 (lire en ligne).
↑Jeannine Bavay, « Une activité importante de la Côte des Isles au XVIIIe siècle : les salines », Vikland, la revue du Cotentin, no 2, juillet-août-septembre 2012, p. 46 (ISSN0224-7992).
↑Site gallica.bnf.fr, « Rapport de l'Ingénieur en Chef, situation au : 2e section - de la Haye-du-Puits à Carteret », dans Rapports et délibérations : Manche, Conseil général, 1re session ordinaire de 1890, intégral (consulté le ).
↑« RAA SP 94 », sur manche.gouv.fr, (consulté le ).
↑Ouest-France, édition du 31 janvier 2019, « Comme je m'y étais engagé, j'ai demandé au préfet d'accepter ma démission de maire délégué de Portbail. Il a accepté par arrêté du 26 janvier »
↑« Municipales à Port-Bail-sur-Mer. François Rousseau maire de la commune nouvelle », Ouest-France, (lire en ligne).
↑François Caligny Delahaye, « Le fanum de Portbail », dans Laurence Jeanne, Laurent Paez-Rezende, Julien Deshayes, Bénédicte Guillot, et la collaboration de Gaël Léon, ArchéoCotentin, t. 2 : Les origines antiques et médiévales du Cotentin à 1500, Bayeux, Éditions OREP, , 127 p. (ISBN978-2-8151-0790-7), p. 105.
↑Université Inter-Âges de Basse-Normandie - Antenne de Cherbourg (préf. Rodolphe de Mons), Blasons armoriés du Clos du Cotentin, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, , 214 p. (ISBN2-85480-543-7), p. 109.
↑« Portbail il y a un siècle », Vikland, la revue du Cotentin, no 1, avril-mai-juin 2012, p. 13 (ISSN0224-7992).
↑Jean Barros, « Combats navals au large des côtes de 1793 à 1815 », Vikland, la revue du Cotentin, no 1, avril-mai-juin 2012, p. 63 et 65 (ISSN0224-7992).
↑Guy Le Hallé (préf. Hervé Morin, photogr. Yves Buffetaut), Châteaux forts de Basse-Normandie, t. II, Louviers, Ysec Éditions, , 160 p. (ISBN978-284673-215-4), p. 106.
↑ a et bJean Barros, Le canton de Barneville-Carteret (Côte des Isles) : Le patrimoine, t. 1, Valognes, Éditions de la Côte des Isles, , 391 p. (ISBN2-9505339-1-4), p. 267.