La sonate K. 237, en ré majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate précédente, ouvrant le volume IV des manuscrits de Venise[1]. Pestelli la qualifie de « décoloration d'hispanisme »[2].
Premières mesures de la sonate en ré majeur K. 237, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits
Le manuscrit principal est le numéro 2 du volume IV (Ms. 9775) de Venise (1753), copié pour Maria Barbara ; l'autre est Parme VI 4 (Ms. A. G. 31411)[3]. Une copie figure à Cambridge (GB-Cfm), manuscrit Fitzwilliam, ms. 32 F 12 (no 9) copié en 1772[4] et une autre à Saragosse (E-Zac), source 2, ms. B-2 Ms. 31, fos 59v-61r, no 30 (1751–1752)[5].
(it) Giorgio Pestelli, Le sonate di Domenico Scarlatti : proposta di un ordinamento chronologica, Turin, Giappichelli, coll. « Archeologia e storia dell'arte » (no 2), , iv-294 (OCLC313316263, BNF43197837)
(es) Celestino Yáñez Navarro (thèse), Nuevas aportaciones para el estudio de las sonatas de Domenico Scarlatti. Los manuscritos del Archivo de Música de las Catedrales de Zaragoza, Université autonome de Barcelone, (lire en ligne)
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates