Premières mesures de la sonate en sol mineur K.8, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits et éditions
L'œuvre est imprimée dans le recueil des Essercizi per gravicembalo publié sans doute à Londres en 1738[1], puis chez Preston/Roseingrave[2]. Des copies manuscrites se trouvent dans Münster V 40 (Sant Hs 3968[3]), Vienne G 52 (VII 28011 G)[4] et Q 15112 (no 1), Q 15117 (no 2)[5] ; une autre en Espagne, Orfeó Catalá (E-OC) no 28[6]. En France paraît dès 1737/1738, chez Boivin et Leclerc, et de nouveau chez Boivin, vers 1740/1742 (Opera prima)[7],[8],[9].
Des variantes rythmiques sont visibles sur les reproductions ci-dessous (éditions Boivin et Pitman). Elles ont été éditées dans le volume IV de la sélection de sonates préparées par Susanne Cox, chez Henle (2015)[10].
(it) Águeda Pedrero-Encabo (trad. de l'espagnol par Francesco Paolo Russo), « Una nuova fonte degli «Essercizi» di Domenico Scarlatti: il manoscritto Orfeó Catalá (E-OC) », Fonti Musicali Italiane, no 17, , p. 151–173 (présentation en ligne).
(es) Celestino Yáñez Navarro (thèse), Nuevas aportaciones para el estudio de las sonatas de Domenico Scarlatti. Los manuscritos del Archivo de Música de las Catedrales de Zaragoza, Université autonome de Barcelone, (lire en ligne)
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates