La sonate K. 392 en si bémol majeur est notée Allegro.
Premières mesures de la sonate en si bémol majeur K. 392, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits
Le manuscrit principal est le numéro 5 du volume IX (Ms. 9780) de Venise (1754), copié pour Maria Barbara ; les autres sources manuscrites étant Parme XI 5 (Ms. A. G. 31416), MünsterIV 69 (Sant Hs 3967)[1] ; le numéro 24 du manuscrit Ayerbe de Madrid (E-Mc, ms. 3-1408)[2] et à la Morgan Library, au sein du manuscrit Cary 703 (no 59)[3].
(es) Laura Cuervo Calvo, « El manuscrito Ayerbe : una fuente española de las sonatas de Domenico Scarlatti de mediados del siglo XVIII », Ad Parnassum, Ut Orpheus Edizioni, vol. 13, no 25, , p. 1–26 (ISSN1722-3954, OCLC1006521868, lire en ligne).
(es) Celestino Yáñez Navarro (thèse), Nuevas aportaciones para el estudio de las sonatas de Domenico Scarlatti. Los manuscritos del Archivo de Música de las Catedrales de Zaragoza, Université autonome de Barcelone, (lire en ligne)
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates