La sonate K. 424 en sol majeur est notée Allegro. Elle est rythmiquement animée d'une cellule entendue dès la première mesure, qui relance perpétuellement le mouvement de la pièce[1].
Premières mesures de la sonate en sol majeur K. 424, de Domenico Scarlatti.
Manuscrits
Le manuscrit principal est le numéro 7 du volume X (Ms. 9781) de Venise (1755, Ms. 9781), copié pour Maria Barbara ; les autres sources manuscrites étant Parme XII 14 (Ms. A. G. 31417), Münster II 31 (Sant Hs 3965)[2]. Une copie figure dans le manuscrit Ayerbe de Madrid (E-Mc, ms. 3-1408, no 17)[3] et à Lisbonne ms. FCR/194.1 (no 52)[4].
(es) Laura Cuervo Calvo, « El manuscrito Ayerbe : una fuente española de las sonatas de Domenico Scarlatti de mediados del siglo XVIII », Ad Parnassum, Ut Orpheus Edizioni, vol. 13, no 25, , p. 1–26 (ISSN1722-3954, OCLC1006521868, lire en ligne).
(es) Celestino Yáñez Navarro (thèse), Nuevas aportaciones para el estudio de las sonatas de Domenico Scarlatti. Los manuscritos del Archivo de Música de las Catedrales de Zaragoza, Université autonome de Barcelone, (lire en ligne)
Les dates indiquées sont celles de l'édition des Essercizi et de la copie des volumes — et non la date de composition des œuvres.Les accolades figurent les paires ou les triptyques des manuscrits de Venise, Parme, Madrid et Saragosse, etc.Voir aussi : Concordances des catalogues et manuscrits des sonates